Sujet: on ne peut jamais être tranquille ➜ PV fay Mar 24 Avr - 14:01
❝ biatch❞
Marre des cours. C'est chiant, ennuyant. Bref c'est la total loose. Après une matinée à passer son temps à gribouiller sur une feuille, Zwei décida que cette après-midi, s'était détente. Suite à un rapidos déjeuner où il dégusta un délicieux sandwich maison et une pomme, il grimpa (par les escaliers, ce n'est pas un singe non plus) sur le toit du bahut. Généralement peu de gens viennent jusqu'ici parce que c'est interdit. Sauf que de l'interdit, Zwei s'en balance. De plus c'est un endroit assez calme où personne ne vient te faire chier. Sur le toit, le jeune se trouva un coin pour s'allonger et regarder le ciel. Il le fait souvent durant ces moments de solitude. Faut le dire, il n'a pas beaucoup d'amis dans le coin, et ne cherche pas à en avoir. Toujours à se morfonde, il apprécie ces petits moments. Cela lui permet de réfléchir, de se remettre en question, et d'avoir un tas de remords. Si la mort de son frère fait partie de ses remords ? Bien évidemment, et c'est bien le seul. Depuis qu'il n'est plus là, Zwei est un zombie vivant. Sortant son paquet de clope, il s'en grilla une. Que c'est bien un peu de tranquillité dans cette jungle de tarés. Qui a parlé de tranquillité ? Car c'était sans compter sans la venue de sa grande amie, Fay. Bitch.
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RELATIONSHIP. -
Sujet: Re: on ne peut jamais être tranquille ➜ PV fay Mar 24 Avr - 17:00
Revenge. Go !
Tu fulmines, alors que ton stylo gratte le papier nerveusement, avec cruauté, traçant quelques arabesques dans sa chair. Tu es agacée, & cela se sent dans ta façon d’agir. Lorsque tu relèves tes yeux vers le tableau noir, c’est pour mieux fusiller du regard les quelques lignes qui y sont dessinées. Tes pensées sont toutes dirigées vers Zwei… Tu as eu beau le manipuler, lui faire croire monts & merveilles, il ne semble pas plus touché que cela. Oh, bien sûr, tu as bien comprit qu’il allait se venger, qu’il voulait que tu souffres autant que tu avais pu endommager son orgueil & son amour propre… Mais rien ne venait. Bien sûr, il avait tenté quelques petites choses, mais rien de très intéressant. Ce petit jeu ne t’intéresse pas. Enfin, la sonnerie retentit, signant la fin de ta matinée. Tu soupires, ranges tes affaires dans le dernier sac à la mode que tu as déniché – avec ton argent de poche - & sors de la classe aussi vite que possible. Bien entendu, tu as tout suivi & tout retenu. Tu n’es pas une de ces pimbêches de cheerleaders qui ne pensent qu’aux entraînements & aux garçons, au détriment de leurs cours. Néanmoins, tu le serais sans doute, si tes parents ne t’obligeaient pas à un minimum.
Tu cours en quatrième vitesse t’acheter une salade à grignoter & file sur le toit. Tu sais qu’il est interdit d’y aller… Mais honnêtement, au lycée, tu te fiches des interdits. Personne ne pourrait réellement t’empêcher de faire ce dont tu as envie. Certains ont essayé, mais personne n’y est parvenu. Le toit n’est pas très grand, mais assez pour que tu aies le temps de fouiller du regard & trouver une touffe blonde, agacée par le vent. Il ne te faut que quelques secondes pour déterminer son appartenance à Zwei. Super ! S’il y a bien quelqu’un que tu n’as pas envie de voir en cet instant, c’est bien lui. Ses manières puériles & inutiles de te nuire te lassent. Pourtant, tu ne vas pas partir pour autant. Le soleil darde ses rayons sur ta peau & la réchauffe. En tant que frileuse, tu ne peux mieux rêver… Alors tu t’assois, malgré sa présence à quelques mètres, & ouvre l’espèce de bocal dans lequel se trouve ta nourriture. Au bout de quelques secondes pourtant, tu déclares, acerbe :
« Sans vouloir être désagréable – ce n’est pas mon genre, tu me déranges. En plus, la moindre des choses aurait été de me proposer une taffe… La politesse, tu connais ? »
Ce petit jeu, de savoir qui agacera le plus l’autre au bout de quelques minutes, t’amuse. Être en présence de ce jeune homme te file la nausée. Tu ne parviens toujours pas à lui pardonner. Si tu étais toujours la petite fille innocente & naïve que tu étais quelques années auparavant, tu aurais pu lui accorder le bénéfice du doute. Te dire qu’il n’avait pas fait exprès… Que ce n’était pas de sa faute. Mais voilà, tu as changé. Et la jeune femme que tu es devenue est incapable de penser à cette éventualité. C’est de sa faute, si tu as perdu le seul garçon qui ait compté à tes yeux. C’est de sa faute, si tu persistes à être malheureuse & à te sentir vide, malgré toutes ces soirées que tu fais & tous ces garçons que tu côtoies. Tout est de sa faute. S’il ne veut pas te faire payer ce que tu as osé lui faire, alors tu continueras de l’agacer. Jusqu’à ce qu’il soit à bout & qu’il te montre enfin ce qu’il peut être…
Spoiler:
Désolée j'ai fait qu'introduire, mais je ferai mieux la prochaine fois, c'est le temps que je prenne un peu Fay en main xD.