au pire, on les emmerde, on peut pas nous test. (maxya)

pour mettre le souc, je suis un orfèvre

Tu ouvres les yeux, tu es dans ton jardin. Tu as du t'assoupir pendant que tu .. que tu faisais quoi au juste ? Ah oui, tu te souviens. Tu étais sorti de la piscine avec ton chien et tu avais décidé de sécher au soleil. Enfin, maintenant il faisait presque nuit, quoi. Tu prends ton portable et vas dans ta boîte de réception. Et dire que Madge a réussi à te convaincre de l'accompagner à la soirée à la plage de demain .. Enfin, tu comptais y aller dans tous les cas, mais tu ne pensais pas y aller accompagné. Bof, peu importe, tu ne penses même pas que vous allez passer toute la soirée ensemble. Bref. T'as une soudaine envie de voir Maxya. Cette fille a toujours été là pour toi, et pourtant, aussi étrange que cela puisse paraître, tu ne l'avais jamais vue en chair et en os avant de venir habiter ici. Mais petit à petit vous étiez devenus de plus en plus proches, ne cessant jamais de vous parler, de tout vous raconter. Elle a finit par plus en savoir sur toi que quiconque d'autre. La seule à qui tu as tout confié, sans exception. Et inversement. Et même maintenant que vous vivez dans la même ville, ça n'a absolument pas changé. Vous êtes même encore plus proches qu'avant, parce que oui, c'est possible. Alors tu lui envoies un sms, lui demandant si elle avait prévu quelque chose pour ce soir. Réponse négative. Ouf. Comme ça tu pourras aller la voir. Tu rentres dans ta maison, attrapes une bouteille de rhum et monte dans ta chambre pour te préparer. T'as envie de faire la fête et t'en as pas envie en même temps. Décidément, disons que t'es assez indécis en ce moment. En même temps que tu sors un jean, un débardeur, une chemise et un caleçon, tu bois dans ta bouteille. Et tu actives ta chaîne hifi. Quelques minutes plus tard, t'es sorti de la douche et habillé. Maxya te dit de te dépêcher, alors tu passes la vitesse supérieure. Une petite ligne de cocaïne plus tard, tu prends le volant vers la maison de ta bestoùùhnèèteùùùh comme tu aimes lui dire quand tu es pété. Arrivé devant chez elle, pas très net, tu te gares. Et une idée te vient en tête. Une de ces idées qu'on ne peut avoir que quand on est défoncés, bien sûr. Au lieu de passer par la porte d'entrée comme toute personne normalement constituée le ferait parce qu'en plus de ça, ses parents t'adorent, non, toi tu préfères grimper sur l'arbre qui se trouve devant la fenêtre de sa chambre et, par chance, puisque sa fenêtre est ouverte, tu rentres par là, sans bruit. Sa musique est à fond, elle ne t'a pas entendu entrer. Elle est assise sur son lit, dos à toi. Tout ce que tu trouves à faire, c'est d'aller chuchoter un petit « bouh » au creux de son oreille et elle se met à hurler de peur. Tu éclates de rire et te laisses tomber sur son lit, comme un sac à patates. Sans réfléchir, tu t'allumes une cigarette et la regarde, calmant ton rire. « maaaaax, flippe paaaas comme çaaa. »

Maxya était tranquillement en train de glander. Elle avait du supporter toute la journée sa mère et tout son blabla quotidien sur les cheerleaders. Elle se demandait bien comment elle pouvait autant la supporter,car elles étaient complètement différentes l'une de l'autre. C'est pas comme si elles se complétaient,non,Maxya ne savait pas toujours de quoi parler avec sa mère ,c'était un peu gênant de parler avec elle de garçons car elle la voyait toujours comme la fille pure et non pas comme une fille aimant faire la fête et profitant de sa jeunesse. Elle préférait la laisser dans son trip plutôt que de devoir la tirer de la réalité et au moins, elle avait la paix,c'était bien mieux. Sa sœur était pareil qu'elle. Leur mère prenait peine à voir qu'elles rejoignirent les cheerleaders plutôt que le club du théâtre,club auquel elle appartenait quand elle était plus jeune. Maxya avait tout sauf l'esprit théâtral. Autant elle était bonne menteuse mais pas bonne comédienne puis ce que ses traits la trompaient souvent. Comme à cet instant,avec son sourire faux aux lèvres signifiant qu'elle voudrait bien que sa mère se la boucle un peu. Sauf que cette dernière ne s'en rendait pas compte et continuait,continuai jusqu'à ce que Maxya échappe plus tard dans la soirée,au miracle. Elle s'était inventée une excuse de merde pour pas venir manger avec eux en bas et pendant ce temps, elle se fumait sa clope à la fenêtre, et regardait les gens qui défilaient en bas de chez elle. Sa mère accourait toutes les dix minutes pour s'assurer que sa fille était vivante. Ce qui fit chier plus qu'autre chose cette dernière qui finit par fermer à clef sa chambre et mit la musique à fond pour ne pas à avoir à supporter sa voix crécelle. Mon dieu,elle avait eu de la chance de ne pas lui ressembler,elle aurait mal fini. Elle s'alluma son pet,rejoignit la fenêtre et parlait pendant ce temps à Jordan,qui semblait vouloir la voir. Elle n'avait rien de prévu de toute manière puis c'était quand même son meilleur ami. Elle se demandait parfois comment elle faisait pour supporter ce dernier et ça devait être réciproque vu les nombreuses fois où ils s'étaient engueulés mais il savait tout d'elle et elle également. Elle pouvait se permettre de le juger plus que quiconque et vis-versa. Mais c'était pas non plus une relation de bizounours,de plein repos mais elle savait que même si il était défoncé,elle pourrait compter sur lui. Bref. Assise sur son lit,après avoir terminé son pet,elle retourna s'asseoir sur son lit, et alors qu'elle allait envoyer un message à Jordan pour qu'il se grouille un peu ,un chuchotement surgit de nulle part la fit hurler de peur. Y'avait que lui pour faire ça. Lui ,défoncé. Elle se demandait bien d'où il sortait quand elle remarqua qu'elle avait laissé la fenêtre ouverte et qu'il en avait profité pour se glisser discrètement par la. Il en rigolait, alors qu'elle reprenait petit à petit ses esprits. T'es con. J'ai frôlé la crise cardiaque. Tu connais pas ce qu'on appelle frapper à la porte ? Dit-elle avant de se lever du lit pour éteindre la musique et de lui balancer un coussin sur lui,en évitant le visage pour ne pas que le coussin prenne feu. Puis elle le rejoignit sur le lit,s'allongea à ses côtés et lui piqua sa clope de sa bouche. Tu me dois bien ça. Elle ne comptait pas la lui rendre. Elle était bien la,à côté de lui. Puis elle posa sur sa tête contre son torse ,puis ferma les yeux pendant quelques secondes. Elle avait bien envie de le faire chier ce soir. Comment,elle n'en avait aucune idée,mais elle chercha tranquillement et pour ne pas éveiller les soupçons,elle parlait comme si de rien n'était. T'es ouf comme mec. Je me demande comment je fais pour te supporter. Heureusement que les voisins sont habitués à te voir faire des trucs de ce genre,sinon les flics débarqueraient tous les quatre matins. Lança-t-elle en riant,persuadée si des voisins l'avaient vu,ils n'auraient pas réagi puis ce qu'il savoir que Jordan squattait souvent ici et qu'il était habitué à faire des choses peu communes.

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Tu t'attendais bien entendu à ce qu'elle hurle, c'était couru d'avance, mais cela a tout de même provoqué ton hilarité. C'que tu peux être gamin, en particulier quand t'es défoncé. Tu t'installes sur son lit, clope au bec, comme si t'étais chez toi. Enfin, vu que c'est un peu ta deuxième maison ici, c'est normal quoi. « T'es con. J'ai frôlé la crise cardiaque. Tu connais pas ce qu'on appelle frapper à la porte ? » « Pète un coup Max, sois pas aigrie avant l'âge ! T'sais bien que j'préfère les fenêtre, c'est plus .. insolite. » Et tu te prends un coussin dans le ventre. Tu soupires. Qu'est-ce qu'elle peut être susceptible quand elle s'y met. Elle devrait quand même avoir l'habitude à force que tu la surprennes. C'pas plus mal en plus l'initiative, y a des filles qui adorent ça et qui seraient ravies qu'un mec prenne des initiatives comme ça, mais elle, elle râle. Enfin, faut dire aussi que c'est pas trop le genre de surprises tellement appréciées quoi. Tu tires une taffe et elle vient s'allonger à tes côtés, tu passes un bras autour de ses épaules. Et comme si c'était normal, elle te prend ta cigarette. Gonflée la minotte quand même. « Tu me dois bien ça. » Tu la laisses tirer un coup et lui reprends. « J'te dois rien du tout. Puis c'est pas bien de fumer mademoiselle, tu risquerais d'avoir un cancer du poumon et tout, non vraiment, faut éviter. » Tu ris, l'hôpital qui se fout de la charité, c'est exactement ça en fait. Puisque t'es le dernier à pouvoir faire la morale en terme de cigarette, alcool, cannabis ou toute autre drogue. Ah ben il est beau le meilleur ami, vraiment pas clean comme mec. Elle appuie sa tête contre ton torse et ferme ses yeux. Tu la regardes, elle a l'air apaisée, calme. C'est mignon. Tu fermes tes yeux à ton tour et ta main libre lui caresse la joue tant dis que de l'autre tu portes ta clope à tes lèvres. « T'es ouf comme mec. Je me demande comment je fais pour te supporter. Heureusement que les voisins sont habitués à te voir faire des trucs de ce genre,sinon les flics débarqueraient tous les quatre matins. » Tu rigoles. Elle n'a pas tort. Faut dire que niveau conneries de ta part, les voisins de Maxya sont rodés. Grimper sur le toit depuis la fenêtre de sa chambre : fait. Te promener à moitié à poil dans le jardin complètement déchiré : fait. Entrer en douce par la fenêtre : fait à l'instant. Tomber de l'arbre : fait. Et du coup, faire hurler Maxya de peur : fait. T'en oublies sûrement quelques uns, mais n'empêche que t'en as fait des conneries. « Jamais t'arrêtes de râler ? T'façon j'sais que tu m'aimes trop pour ne plus me supporter. » Tu esquisses un sourire et cale ta cigarette entre ses lèvres. T'es trop généreux. « MAXYA ! j'ai faim. » Autant dire que .. ça te prend comme une envie de pisser.

Maxya l'écoutait lui parler tout en grimaçant parce que fallait toujours qu'il lui rappelle son côté "je m'emporte très vite " avec sa susceptibilité de merde. De toute manière,il était pareil lui, même si il jouait les insensibles. D'un soupir,elle finit par lui lancer Tu sais que t'es chiant quand t'es défoncé? Encore plus que la normale. Mais elle ne lui en voulut plus pour longtemps puis ce qu'elle le rejoignit sur le lit. Jordan , c'était son meilleur ami quoi. Même si parfois leurs engueulades étaient épiques,ils se réconciliaient très rapidement et l'histoire était vite oublié. Fallait dire qu'elle avait un caractère de merde quand elle s'y mettait mais qu'il était chiant quand il le voulait donc forcément ça créait des étincelles. Maxya n'avait pu tirer qu'un seul coup puis ce que monsieur lui saisit la cigarette. Elle s'apprêtait à râler,une énième fois lorsqu'il commença à lui sortir sa morale à deux balles,qui ne tenait même pas debout. Et la voilà en train de rire,se foutant à la fois de sa morale à la con et de lui. Lui,Jordan,le fumeur de cigarette,de pet,de marijuana bref de tous les drogues les plus plausibles du monde. C'était assez marrant d'entendre ça de sa bouche à lui et elle n'avait pu se retenir d'étouffer de rire,non,non fallait qu'elle partage son rire avec lui. Monsieur s'inquiète pour ma santé ou bien monsieur n'est seulement qu'un sale radin? Lui demanda-t-elle avec un grand sourire,connaissant déjà la réponse mais avant envie de savoir ce qu'il allait lui répondre. Elle était bien installée auprès de lui, elle était un peu plus calme que tout à l'heure,fallait avouer qu'un mec qui passe par ta fenêtre et qui te chuchote un "bouh" dans ton oreille , c'était pas commun et que forcément tu pourrais avoir plutôt peur. Le moment risquerait de n'être plus aussi calme parce qu'eux ces deux là,ils pouvaient pas rester calme ensemble. Un grand sourire se dessina sur ses lèvres quand elle l'entendit lui dire qu'elle l'aimait trop. C'est dingue ce qu'il pouvait être arrogant quand il s'y mettait. Mais c'est vrai qu'elle l'aimait le Jordan arrogant, ça lui donnait ce côté qui faisait toujours rire Maxya. Bah tiens,je t'aime trop oui. N'inverse pas les rôles allons. Lui dit-elle un sourire aux lèvres. C'était une sorte de rituel entre eux. Lui disait qu'elle l'aimait trop et elle disait que lui l'aimait trop. D'habitude,c'était l'inverse ,on soutenait la personne qu'on l'aimait plus que l'autre mais faut croire qu'ils aimaient faire l'inverse de ce que les autres faisaient. Ça les différenciait. Puis sûrement d'un instant de gentillesse,Jordan cala sa cigarette dans la bouche de Maxya,qui en profitait pour faire son plein de nicotine mais elle s'attendait à ce qu'il lui demande quelque chose en retour et il lui lança qu'il avait faim. Maxya ne répondit rien et puis se leva avant de tirer Jordan vers la cuisine. Ils étaient seuls, les parents semblaient être déjà dans leur chambre ou bien parti chez des amis et puis Maxya sortit de quoi faire à manger. Faudra que tu tiennes encore quelques minutes,j'dois préparer un truc. Tu m'aide? Elle avait sorti de quoi faire un gâteau et comme ils adoraient se bouffer la pâte ensemble,pas besoin de le cuire. Rien que pour rire,elle sortit un tablier de sa mère et l'enfila par dessus la tête de Jordan et l'attacha à sa taille et sortit son portable pour le prendre en photo,le rangea dans sa poche tout en pouffant de rire. Sa connerie ne s'arrêtait pas là. Alors qu'ils étaient en train de préparer la pâte,Max lui lança une grosse poignée de farine,de toute façon fallait que ça dégénère. T'es mieux comme ça. Déclara-t- elle en lui souriant et en rigolant. Elle savait que la vengeance de Jordan sera terrible mais qu'importe, c'était comme ça entre eux.

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« Monsieur s'inquiète pour ma santé ou bien monsieur n'est seulement qu'un sale radin? » Tellement défoncé que tu rigoles pour un rien, en l’occurrence parce qu'elle vient de t'appeler monsieur. Oui ça te fait toujours bizarre quand on t'appelle de la sorte, mais il faudrait que tu t'habitues à force, les gens ne risquent de t'appeler ni mademoiselle ni madame hein. Parce que bon, jusqu'à preuve du contraire, tu as encore tous tes outils nécessaires. N'empêche que, si tu avais été clean, tu n'aurais pas su répondre à sa question. Non, bien sûr que non tu n'es pas radin. Pas avec les gens que tu affectionnes, et encore moins avec les cigarettes. Mais finalement, est-ce que tu t'inquiètes un peu pour sa santé ? Sans doute que oui, tu t'inquiètes. Mais tu ne le diras pas, tu ne le montreras certes pas non plus. Pourtant, tu n'en penses pas moins. Et puis, de fil en aiguille, tu te retrouves à lui dire que tu as faim. Elle se lève aussitôt et t'attrape par la main pour te faire descendre jusqu'à la cuisine. Dans les escaliers, tu as du te concentrer pour éviter de tomber, et encore tu as réussi à louper une marche. Heureusement qu'elle n'a pas vu, sinon elle se serait fortement foutu de ta gueule. Tu te demandes ce que font ses parents pour ne pas réagir au vacarme que tu fais. Mais tu oublies bien vite cette réflexion quand tu vois Maxya sortir de quoi te faire à manger. « Faudra que tu tiennes encore quelques minutes,j'dois préparer un truc. Tu m'aide? » Toujours volontaire pour faire des gâteaux avec elle, parce qu'au final, vous ne les faites même pas cuire et vous mangez tout, tu te postes devant elle, attendant ses instructions. Tu la vois aller chercher un tablier. Ah ça, c'est au moins pour toi. Par réflexe, tu retires ton t-shirt et le jette plus loin. Mauvais réflexe sans doute. Elle enfile le tablier autour de ton cou et le noue autour de ta taille, puis sort son portable pour te prendre en photo, et tu tapes la pose. Téléphone rangé, tu retires ton pantalon, et t'approches d'elle, lui faisant un clin d’œil. « Tu sais Max, un mec en tablier, il n'a rien en dessous .. J'enlève mon caleçon ? » Un sourire en coin t'apparait, tu arrives par miracle à garder ton sérieux. Ce n'est pas le cas pour elle qui t'envoie de la farine dans la figure. « T'es mieux comme ça. » Tu éclates de rire et te secoue comme un chien avant de prendre un œuf et de lui écraser sur la tête. Et hop, ça c'est fait. Tu fais le tour de la cuisine, cherchant à l'esquiver en cas de contre-attaque, atteins le frigo et y trouve une bombonne de chantilly. Parfait. Tu l'ouvres et le brandis tel une arme dangereuse. « Un seul pas et je tire. » que tu lui dis d'un ton se voulant effrayant. Mais elle a eu le malheur de faire ce pas, et tu as appuyé fort sur la bouteille de chantilly, lui envoyant le jet de sauce en pleine figure. Et tu éclates à nouveau de rire. Et puis, pour couronner le tout, tu t'approches d'elle, un grand sourire aux lèvres, et lui lèche le visage d'un coup de langue pour lui retirer la crème. « Exquis. »

» l'ennui nous pousse à faire des choses stupides. (andreas et maxya)
» Je me venge,à ma façon chéri. (blake et maxya)
» LIFE IS A BEACH. are you ready to pass on the other side ? ☆ maxya
» (côme) ce soir, nous danserons avec les étoiles dans un ballet lumineux.
» on ne peut jamais être tranquille ➜ PV fay

au pire, on les emmerde, on peut pas nous test. (maxya)

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