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| u're mine, girl. (rose-may) | |
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Auteur | Message |
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MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: u're mine, girl. (rose-may) Jeu 12 Avr - 17:48 | |
| Déchiré, défoncé. Tu sais même pas comment t'as fais pour rentrer en entier. Sûrement même que tu marches plus très droit. Un véritable déchet ambulant. C'est tout ce que t'es. Et ça te fais rire, ça te fais jouir. T'es bon à rien. Bon qu'à ça. Te mettre la tête à l'envers. Chaque jour que Dieu fait. Plus défoncé que la veille, moins que le lendemain. C'est juste un putain de jeu. Une façon comme une autre de passer ton temps. Désolée maman ton fils se pète le cervelet. Elle est bien loin l'époque des crêpes et verres de lait. Aujourd'hui, ça sonne plus marijuana, tequila et autres substances du style. Tes yeux rouges te trahissent mais rien à faire. T'es du genre à en avoir rien à foutre de tout, en fait. Ou presque. Il y a toujours cette fille. Rose-May. T'aura beau toujours te dire qu'elle est une fille parmi tant d'autre. Mais au fond, tu sais très bien que c'est faux. Elle serait vraiment une fille comme les autres, tu l'aurai jeté, elle aussi. Elle serait même pas là, à tes côtés. Mais t'es bien dans ton monde, plongé au cœur de tes petites illusions. Retardant, toujours, le retour à la réalité. Allongé sur ton pieu, les yeux fermés, tu dessines des cercles - enfin, ce qui ressemblerait à des cercles si tu serai clean - sur ce morceau de peau dénudé. T'es bien. Mais pour rien au monde, tu lui dira. Plutôt crever que de lui avouer ça. Doucement, tu te relèves, t'asseyant sur le lit. Fixant ce bout de peau qui reste à ta vue. Un léger sourire s'esquisse au coin de tes lèvres. Dans ton cerveau embué par l'alcool que t'as ingurgité toute la nuit, fuse une idée. Et quelle idée. « - T’sais quoi. J’ai bien envie de t’imposer ma marque, juste là. » Tu glisses ton doigt une nouvelle fois, au creux de ses reins. Et t'aimes déjà l'idée d'écrire ton nom, juste là. Que ça lui plaise ou non, d’ailleurs. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Jeu 12 Avr - 18:40 | |
| T'es morte. Complètement morte, sur le lit d'un mec que tu connais depuis un an mais que t'as l'impression de connaitre par cœur. Alors qu'en fait, pas du tout. T'as l'impression qu'entre vous, ça va pas durer longtemps, qu'il est tout ce que tu déteste, mais il te plait bien plus que tu ne le dis, vilaine fille. Il fait des mouvements avec son doigt sur ta peau hâlée et ça te donne la chair de poule, de légers frissons remontent le long de ta colonne vertébrale mais tu te fais violence pour pas lâcher un soupir qui trahirait le plaisir que tu prends. T'aime sentir sa chaleur, son corps tout près du tien, son regard sur toi, mais tu lui diras jamais. Il te plait, il te plait juste. C'est pas de l'amour, c'est du sexe, seulement du sexe. Au fond relation libre, tu te dis que c'est juste un plan cul régulier et presque disponible vingt quatre heures sur vingt quatre. Et puis le contact de son doigt contre ton bas-ventre cesse et t'as juste envie qu'il repose son putain de doigt sur ta peau qui a la chair de poule. Parce qu'il te manque déjà, ce contact. Alors t'attend, en faisant comme si t'avais rien remarqué, t'ouvres pas les yeux et tu sens juste le matelas bouger un peu. Y'a un putain de blanc depuis un bon moment et voilà qu'il le brise d'un coup : « T’sais quoi. J’ai bien envie de t’imposer ma marque, juste là. » T'ouvre les yeux lorsqu'il repose son doigt sur ta peau même si ça te fait un bien fou, t'as juste pas envie qu'il applique l'idée débile qu'il vient de t'exposer. T'as pas envie qu'il arrête de passer son doigt sur ta peau mais tu te dis qu'il y a pas d'autre solution, tu te redresse en virant sa main d'un geste rapide mais pas brutal. T'es pas encore assez bourrée pour dire amen à toutes ses conneries. « Faut vraiment que t'arrêtes de fumer. » Tu le regardes comme s'il était le pire des débiles, tu lèves les yeux au ciel et ton regard se perd dans le sien. Il a les yeux défoncés et ça gâche toutes les beautés de ses pupilles, ses pupilles qui rendent les filles totalement folles. Tu penses que c'est aussi ça qui fait son charme. Et puis tu décides de pas t'arrêter là, de continuer sur ta lancée pour le persuader que c'est pas une excellente idée. Tu penses déjà à la douleur que tu vas ressentir, au fait que tu pourras plus serrer de mec sans qu'il voit ce tatouage qui signifie un truc comme "tu es à moi". « Et puis, tu veux faire ça comment ? » Tu connais déjà la réponse, mais t'es trop bourrée pour réfléchir. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Jeu 12 Avr - 20:31 | |
| T’aimes bien ton idée. Cette idée de la marquer comme tienne, d’une telle façon. Une façon qui montrerait à tout les mecs qui passeront juste après toi, qu’elle est à toi. Qu’elle t’appartient. Qu’elle est tienne. Juste un « Jerk » indélébile. Marqué à vie. Sur cette peau où t’aimes tant passer tes doigts. Cette idée est ancrée dans ton esprit. Rien à faire si elle ne veut pas. T’as pas demandé son avis de toute manière. T’as juste cette foutue idée en tête. Et pour toi, c’est juste comme ça. Et pas autrement. T’es un putain de possessif quand même. Manière plutôt implicite de l’avouer. Que tu tiens à elle. Que c’est pas juste un coup comme ça. Quand t’en as envie. Que cette histoire de « relation libre » est juste un prétexte pour ne pas assumer ce qu’elle te fait ressentir. Débile. Tout comme toi. T’y peux rien. C’est juste comme ça. T’as toujours ton doigt qui glisse doucement au creux de ses reins. Alors que l’image de ce foutu « Jerk » t’apparaît très clairement. Brusquement, tu la sens se relever. Virant ton doigt de sa main. Tu fronces les sourcils. T’avais encore envie de la caresser comme ça, pendant un moment. « - Faut vraiment que t'arrêtes de fumer. » C’est ce que tu te dis aussi. Parfois. Peut-être que t’aurai un peu plus de neurones si tu te grillais moins de spliff. Peut-être que tu serai capable d’être autre chose qu’un branleur si tu ralentissais la marie-jeanne. Mais non. Tu ne prends même pas la peine de lui répondre. Simple provocation. Tu ne fais juste que la regarder. Plongeant tes pupilles défoncées dans son regard chocolat. Ton sourire en coin n’a pas quitté tes lèvres. Tu la trouves belle, comme ça. Ici, maintenant. Sur ton pieu. Un peu défoncée, un peu bourrée, un peu moins maitresse de ses actes et pensées. « - Et puis, tu veux faire ça comment ? » Maigre tentative de te stopper dans ton élan. Tu sais très bien qu’elle sait comment on s’y prends. Mais ça te fait sourire un peu plus. Cette pseudo résistance. T’as jamais aimé les filles soumises. Et Rose-May est tout sauf ça. Sûrement une des choses qui te plaît chez elle. En plus de son physique qui te rends dingue. « - Avec une aiguille et de l’encre de chine, tout simplement. » que tu lui réponds, sur un ton léger. T’as ça quelque part dans un coin de ta chambre. Prêt à l’emploi. Il reste juste qu’à le chercher.
Dernière édition par Zadig "Jerk" Holm le Ven 13 Avr - 1:40, édité 1 fois |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Jeu 12 Avr - 21:05 | |
| T'es sûre que ça le fera pas changer d'avis, t'es sûre qu'il lâchera pas le morceau et qu'il va apposer sa marque sur toi, sur ton corps. Tu sais que tu seras juste son objet, tu seras à lui avec son nom sur toi. Jusqu'à la fin de ta vie, il va être marqué sur ta peau jusqu'à la fin de ta vie. Alors que t'es persuadé que dans deux ans, tu saurais même plus son nom. Sauf s'il fout sa putain de marque dans le creux de tes reins, sauf s'il te marque et que tu deviens officiellement sienne. Enfin officiellement... c'est un bien grand mot, un très grand mot. Sauf qu'il sera là, son image sera toujours là dans ton esprit s'il arrive à te foutre sa putain d'aiguille dans la peau. Et puis oui, t'avais raison, il a pas oublié, il abandonne pas. « Avec une aiguille et de l’encre de chine, tout simplement. » Tout simplement, sans blague ! Tu frémis, il va le faire et t'en es consciente. Il t'a pas demandé ton avis et s'il doit faire ça de force, tu sais qu'il le fera, quitte à te faire mal s'il en éprouve la nécessité. Tu flippes, tu te dis que t'es condamnée à subir sa marque sur ta peau jusqu'à la fin de ta vie. Merde alors, tu peux rien faire contre ça et pourtant, tu veux pas te laisser faire comme ça. « T'es malade, tu crois vraiment que je vais porter ta... marque... même quand je serai toute ridée. Sans moi, fais ça avec une autre. » dis-tu, calmement pour bien lui faire comprendre que tu déconnes pas et que tu veux pas de son encre sur toi. Mais tu sais que c'est pas ça qui l'arrêteras. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Jeu 12 Avr - 22:16 | |
| Tu te lèves brusquement du pieu. Comme pour lui montrer que ouais, tu vas le faire. Ici, et maintenant. Cette idée ne restera pas qu’une idée. Tu veux voir ton foutu surnom sur son corps. Tu veux la marquer comme on marquerait du bétail. C’est un peu fou de ta part. T’en est juste pas conscient. C’est tout. L’alcool et la drogue te pousse aussi à le faire. Foutue adrénaline. Clean, t’aurai jamais eu cette idée. C’est certain. Mais maintenant que tu l’as annoncé clairement. Tu veux pas faire marche arrière. Rien à faire qu’elle en ai pas envie. Rien à faire, si ça lui fout les jetons. « Jerk » jusqu’au bout. Elle t’appartient, merde. Qu’elle le veuille ou non. Et ce tatouage fait à l’ancienne sera une façon de plus de lui montrer que t’es pas du genre à lâcher prise. A moitié à poil, tu commences à fouiller ta piaule. Mais où sont les choses quand on a besoin d’elles. « - T'es malade, tu crois vraiment que je vais porter ta... marque... même quand je serai toute ridée. Sans moi, fais ça avec une autre. » T’as envie de rire. Bien sûr que t’es malade. C’est maintenant qu’elle s’en rend compte ? Elle a peur. Ça se sent dans l’intonation de sa voix. Mais tu t’en fous. Tu veux le faire. A elle. Et pas une autre, comme elle dit. Il y a que ton avis qui compte là-dedans. Même si c’est elle qui va se faire marquer. C’est toi qui décide. « - Aurai-tu peur Rose ? J’t’ai connu moins craintive que ça. C’est limite décevant là.. » Tu souris, encore. Alors que tu continues de fouiller, de chercher cette foutue encre. Au bout d’un certain temps, tu finis par la trouver. Le reste, tu sais déjà où le trouver. « - Si c’est la douleur qui te fais si peur, fouilles sous le lit, tu trouvera de quoi te décoincer un peu plus. » Tu poses l’encre sur le lit, enfile un t-shirt et commence à te diriger vers la porte. Histoire d’aller chercher une aiguille et tout ce dont t’aura besoin pour la tatouer. « - Bouges pas de là, je reviens. »
Dernière édition par Zadig "Jerk" Holm le Ven 13 Avr - 1:39, édité 1 fois |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Jeu 12 Avr - 22:52 | |
| Il vient de se lever, tu sens ton heure approcher et tu sais que tu pourras pas y échapper, même si tu fais tout pour. T'as envie de partir en courant pour pas avoir son nom à jamais sur ta peau, pour pas que l'encre touche le plus grand organe de ton corps, pour pas saccager ta première protection, cette protection si fragile et si belle qui recouvre ton corps depuis que t'es dans ce monde. Tu sais que ça va faire mal, tu sais que ça va faire mal à ton mental aussi, qu'il va pas simplement te marquer un "Jerk" sur la peau, mais aussi dans le cœur et dans la tête. Tu lui dis qu'il est dingue, que t'en veux pas de son putain de tatouage, mais il t'écoute pas, il s'en branle et tu le sais depuis le début. Tu sais que c'est perdu d'avance parce que tu connais son tempérament. « Aurai-tu peur Rose ? J’t’ai connu moins craintive que ça. C’est limite décevant là.. » Putain de manipulateur en plus de ça ! Il te ferait presque croire que l'idée vient de toi, et pas de lui. Qu'il faut accepter parce que sinon... Parce que sinon t'es qu'une pauvre pleurnicharde d'ex-capitaine de l'équipe de Lacrosse. Et puis, il continue et tu dis rien. Tu te contente de faire un peu la gueule parce que t'as clairement pas envie de faire ça. « Si c’est la douleur qui te fais si peur, fouilles sous le lit, tu trouvera de quoi te décoincer un peu plus. » En plus, ça se voit qu'il est déchiré, parce qu'il sait très bien que tu fumes pas de trucs illicites et que de toutes façons, t'en as pas envie. Il sait que c'est pas de la douleur dont t'as le plus peur. Ou du moins, pas la douleur physique, mais la torture mentale et sentimentale qu'il va te faire subir. Et puis, il a trouvé l'encre, il la pose sur le lit et tu sens ton cœur se serrer dans ta poitrine. Il a toujours son putain de sourire aux lèvres, il est satisfait de sa trouvaille, il sait qu'il aura ce qu'il veut de toi et t'y peux rien. C'est indépendant de ta volonté et c'est tout. « Bouges pas de là, je reviens. » Et puis en plus, il croit que tu vas rester là, les bras balant à attendre son aiguille de pied ferme... Tu te lèves, t'enfile tes fringues à toute allure, tu prends tes chaussures et tu descends les escaliers quatre à quatre. T'es presque à la porte, mais tu sais qu'il est là et qu'il t'a sans doute entendu descendre. Ce dont t'as peur, c'est d'entendre sa voix derrière toi et qu'il sache que t'as tenté de fuir. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Jeu 12 Avr - 23:19 | |
| Sans rien ajouter de plus, tu quittes ta piaule. L’esprit tranquille. Partant à la recherche d’une aiguille. La maison est bien silencieuse. En même temps, à l’heure qu’il est, c’est normal. Tu fais gaffe de pas faire un seul bruit. Histoire de pas réveiller le paternel. T’es pas con au point de foutre le bordel pour te faire tuer cinq minutes plus tard. Surtout que t’es comme qui dirait, dans un état pas franchement normal. En bref, t’as pas tellement envie de te faire buter là tout de suite, donc tu l’as met clairement en sourdine. Tu traverses la maison, en réfléchissant où est ce qu’il peut y avoir une aiguille dans cette immense espace. La cuisine ? Non, sûrement pas. Tu rebrousses chemin vers le salon. T’as déjà vu ta mère faire de la couture. Doit bien avoir une aiguille dans les parages. T’arrives dans la dite pièce et allume la lumière. Autant chercher dans un endroit éclairé. Tu cherches, ne te doutant même pas que Rose-May est en train de te faire faux bond. Au bout d’un certain temps, tu finis par trouver ton précieux instrument. Avec une petite bobine de fil blanc. T’es fier de toi. Quel con. Tu repars, éteignant bien la lumière. Faisant un crochet par la salle de bain, histoire de prendre un coton tige, de quoi mettre de l’eau et quelque chose où mettre l’encre. T’as tout ce qu’il faut. T’es content. Il t’en faut peu. Avec ton butin, tu retournes vers ta piaule. Où t’espères que la brune t’attend bien sagement. Quel con tu fais. Tu croyais vraiment qu’elle allait attendre bien sagement que tu reviennes pour apposer ta marque. Bien sûr que non. T’ouvres la porte. « - Je.. » tu t’arrêtes en pleine phrase. Elle est plus là, la garce. Ses fringues ont disparues. Ses chaussures aussi. Tu poses tout sur le lit et fais demi-tour. Légèrement sur les nerfs, qu’elle soit partie comme ça. Te laissant comme le con que t’es. Tu descends les escaliers en vitesse. Tu l’aperçois bien vite, près de la porte. Tu t’avances aussi doucement que tu peux jusqu’à elle. Venant poser une de tes mains sur ses hanches. Et t’approches tes lèvres à son oreille, lâchant un : « - Où tu crois aller comme ça, Rose ? » T’as l’impression d’être le grand méchant loup qui vient d’intercepter une brebis qui tenterait de s’échapper. C’est ta proie, ouais. Et tu comptes pas la laisser partir comme ça. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Jeu 12 Avr - 23:39 | |
| T'es là, t'as traversé l'entrée, t'as presque la sensation d'être libre. Tu cherches ta veste, parce que tu peux pas la laisser là, toute seule, sans défense. Il risquerait d'y avoir des représailles sur elle, et ça, tu peux pas l'admettre. Il est tellement con qu'il en est capable, te la découper et te la mettre sur ton paillasson, il en est capable et tu le sais. Alors tu fermes ta gueule, tu cherches cette putain de veste en te demandant presque si tu l'as pas laissé à la soirée à laquelle vous étiez précédemment tous les deux. T'es sûre qu'il va bientôt arriver, te choper entrain de vouloir t'échapper, t'échapper de cette maison que tu commences à connaitre par cœur. T'as même jouit dans le lit de Mr. et Mrs. Holm pendant qu'ils étaient pas là, meilleur orgasme de ta vie, peut-être. Cette pensée te fais frémir mais tu continues à chercher. Tu vas voir dans le salon, parce que c'est là où il t'a servit un whisky, comme si les verres que t'avais bu à la soirée t'avais pas suffit. Et elle est là, balancée sur la table basse parce que c'est aussi le premier truc qu'il t'a enlevé avant de t'emmener dans sa chambre où il a décidé de te mettre à poil. Tu la prends, tu l'enfiles et tu files vers la porte. Tu t'arrêtes nette en entendant des pas dans les escaliers. T'as envie de fuir encore plus vite, mais tu t'arrêtes parce que courir comme ça à toute vitesse, ce serait peut-être risqué. Pour tes muscles, pour ton tibia qui a du mal à s'en remettre encore aujourd'hui et aussi pour ta relation avec lui. Alors tu t'arrêtes, tu te laisse enlacer et tu laisses un frisson secouer ton corps quand il approche ses lèvres de ton oreille pour te susurrer quelques mots. « Où tu crois aller comme ça, Rose ? » T'oses même pas répondre un "dans ton cul" parce que c'est juste trop basique pour être réellement efficace. Et ça ne saurait que l'exciter encore plus. Tu fermes les yeux, t'es conne, tu t'es faite avoir super facilement. Comme une débutante, tu devrais avoir honte de toi, et t'as honte de toi en fait. « J'vais voir un mec, j'ai pas que toi à satisfaire, j'suis désolée. » dis-tu pour le faire chier et pour qu'il te laisse partir. Un sourire en coin se dessine sur tes lèvres, t'es pas décidée à le suivre et tu crois qu'il l'a bien compris. Tu penses que t'es toujours pas à l’abri et qu'il va sans doute s'énerver. T'auras à peine le temps d'ouvrir la porte pour te barrer, t'es au courant et c'est bien ce qui t'emmerde, mais qui ne tente rien n'a rien. Il suffit qu'il te lâche quelques dixièmes de secondes et t'es dehors. Tu te sens si faible face à lui que ça te fait peur. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Jeu 12 Avr - 23:53 | |
| La garce, t’en revient pas. Elle a failli te filer entre les doigts. Mais t’es arrivée à temps. Avant qu’elle n’ouvre la porte et qu’elle ne t’échappe vraiment. T’es énervé. Clairement. Qu’elle ait osé te faire ça. Partir, sans rien dire. Comme une voleuse. Mais en même temps, tu kiffes bien. Tu kiffes le fait qu’elle ne se soumet pas à toutes tes volontés. Cette petite rébellion t’exciterait presque. Elle te résiste. Mais pas pour longtemps. T’es pas prêt à lâcher prise. Loin de là. T’as pas bougé tes fesses dans toute la baraque pour la laisser filer gentiment. Elle l’aura cette foutue marque. Tu le jures. Quitte à utiliser la violence et à le regretter le lendemain. Rien à faire. Tu veux la marquer et tu le fera. « - J'vais voir un mec, j'ai pas que toi à satisfaire, j'suis désolée. » Tu serres les mâchoires. Un peu plus. Elle le fait exprès, tu le sais. Vous êtes comme ça. Mais ça t’énerves, toujours autant. L’idée de l’imaginer avec d’autres te rend fou. T’as déjà péter les plombs, plusieurs fois. A la vue de ta Rose-May au bras d’un autre. T’es un putain de jaloux, doublé d'un possessif. Pitoyable, pathétique. T’as toujours ta main sur sa hanche. Elle te tourne encore le dos. Elle ne bouge même plus. Presque à ta merci. D’un mouvement quelque peu brusque, tu la fais pivoter. Pour qu’elle te fasse face. Pour pouvoir plonger tes yeux bleus dans les siens. Un sourire carnassier s’étend sur ses lèvres. Tu la domine. Impossible qu’elle s’échappe, comme ça. T’as bien trop de force pour elle. Et puis, t’as pas envie de faire de grabuge et de réveiller la maison. Alors tu resserres ta prise, collant presque ton torse à son buste. Ton regard se fixant au sien. Tu sais bien qu’elle a peur. Mais t’es sur ta lancée, plus rien ne t’arrêtera. « - Tu vas arrêter tes conneries oui, c’est qu’un putain de tatouage à la fin ! » tu parles doucement. Histoire qu’on vous choppe pas dans cette position. Un tatouage. Non, c’pas juste ça. Tu le sais bien. Mais t’as envie qu’elle pense le contraire. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Ven 13 Avr - 0:14 | |
| N'empêche que t'aimes sentir son bras entourer ta taille, t'aimes sentir son corps contre le tien, encore. T'aime le faire chier, t'aime votre relation, t'as pas envie que ça change. Tu te dis que de toute façon, ça ne peut pas changer. Tu penses que c'est bientôt la fin, que de toutes façons, tu seras juste sa "copine" pendant deux mois, mais qu'après ce sera chacun chez soi et qu'il en aura plus rien à foutre de toi, de ce tatouage et de tout le reste. T'as pas envie de te faire avoir comme ça, t'as envie de lui résister et de bien montrer que ton caractère c'est pas juste une façade, c'est ton vrai caractère et qu'il arrivera jamais à te dompter parce que t'es une bête sauvage, pas un animal de compagnie. Il te retourne et te force à te coller contre lui, t'as pas envie, ce contact est trop proche, tu sais que tu vas être obligée de céder et que t'as pas le choix. Que si tu résiste encore un peu, il va te frapper. Sauf que t'as pas envie de céder aussi facilement. T'as ton regard planté dans le sien et t'essaye d'être la plus calme, la plus posée et la plus froide possible. Faut pas qu'il voit dans tes yeux que t'as peur, que t'as envie de te barrer et que tu veux pas être marquée comme une pute ou comme une vache. « Tu vas arrêter tes conneries oui, c’est qu’un putain de tatouage à la fin ! » Mais pas n'importe quel tatouage, et tu voudrais bien lui rappeler mais t'en as pas la force. C'est comme ça, t'es trop faible pour ça. Tu tente de forcer son étreinte, de t'échapper encore, sauf qu'il t'a pas lâché et c'est presque impossible. T'as tes bras contre son torse qui font pression pour échapper à ça. T'as envie qu'il te lâche et pour une fois dans ta vie, t'as plus envie de le voir pendant quelques temps. T'auras envie demain matin, quand tu te réveilleras en te disant que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve. Sauf que tu te serais déjà réveillée à la vue de son sourire sadique. T'as juste l'impression d'être un morceau de viande dans ses yeux, un morceau de viande qui lui appartient. Sauf que c'est pas le cas, t'es pas un morceau de viande. « Putain mais lâche-moi, j'en veux pas de ton tatouage, merde ! » Toi aussi tu baisses le ton, mais en temps normal, ça t'aurais crié, mais c'est pas pour ça qu'il t'aurait lâché et tu le sais. Ton ton est sec, sexy, tu cherches à reprendre le dessus mais c'est pas bien partit. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Ven 13 Avr - 1:29 | |
| T’es toujours aussi énervé. Même pas moyen de te contrôler. Tu sais bien que t’en est incapable. T’es sanguin, impulsif, partant au quart de tour. Un rien peut te faire sortir de tes gongs. Et elle le sait en plus. En jouant. Cette fille te rend dingue. Son corps t’attire irrémédiablement. Sa voix, son visage. Tout ce qu’elle est t’attire. T’as beau lutter contre ça, contre cette attirance. Tu reviens toujours vers elle. D’une certaine manière elle te tient. Et t’aimes pas trop ça. Tu n’aimes pas ce pouvoir qu’elle a sur toi. Tu préfèrerai pouvoir la jeter comme toutes les autres. Et ne plus jamais avoir à revenir vers elle. Mais non, ça serait trop simple. Beaucoup trop simple. Et t’es qu’un con. Même pas capable de l’assumer. Tu préfères te dire que tu dérailles. Que de toute manière, elle s’en tape de toi. Que t’es rien d’autre qu’un mec de plus qui la saute. Sauf que toi, c’est de manière régulière. Beaucoup trop régulière à ton goût. Eh merde, ça te fais chier à la fin. Ses yeux ne quittent pas les tiens. Ses bras sont collés contre ton torse. Elle essaye en vain de te repousser. Tu resserres toujours plus ta prise. Peut-être un petit peu trop fort. Tu ne sais plus trop. Tu ne sens pas tellement ta force. Si tu lui fais mal, t’en as même pas conscience. Physiquement, mentalement aussi. Peut-être. Tu t’en fous. Tu veux juste qu’elle arrête cette pseudo résistance et qu’elle remonte dans ta piaule. Ce refus d’abdiquer est en train de t’énerver plus qu’autre chose là. Qu’elle arrête ses simagrées, histoire que tu puisses en finir. « - Putain mais lâche-moi, j'en veux pas de ton tatouage, merde ! » Elle n’a pas l’air de vouloir lâcher l’affaire. Ça tombe bien, parce que toi non plus. Et tu sais très bien comment ça va terminer. T’aura ce que tu voudras. C’est juste qu’une question de temps. Mais t’es pas le genre de mec patient. Et elle est clairement en train de jouer avec tes nerfs. Mauvais point pour elle. N’empêche qu’elle a bien de la chance que tes vieux dorment. Parce que vu les nerfs que t’as, c’est pas chuchoter que tu ferai. Tu décolles ton corps du sien. Prenant bien soin d’attraper son bras dans ta main. T’es pas fou au point de ne plus avoir la moindre emprise sur elle. Tu sais très bien qu’elle en profitera pour fuir sinon. « - Arrête de me faire chier, Rose. Tu l’aura que ça te plaise ou non. Et tu le sais très bien ça. » Elle le sait. Tu le sais. Tout le monde le sait. Pas besoin d’en faire toute une histoire. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Ven 13 Avr - 22:49 | |
| T'essaye de t'échapper de l'emprise qu'il a sur toi, mais il resserre ses bras autour de toi, encore, toujours, plus encore. Pour lui, c'est normal, t'en es persuadée, t'es un peu la gazelle et il est le guépard. T'as l'horrible impression que, quoi que tu fasses, tu pourras pas lui échapper. C'est fini, Rose-May, te fais pas d'illusions. Tu vas l'avoir son putain de "Jerk" sur ton bas ventre, à la vue de tous. Il finit enfin par desserrer l'emprise qu'il a sur toi mais il t'attrapes par le bras directement, et il serre fort. Un peu trop fort peut-être... T'as même pas eu le temps de penser à l'éventualité de te barrer entre le moment où il a stoppé le contact entre vos deux thorax et le moment où il a attrapé ton poignet. Tu le regarde avec un air désespéré et il te dit un truc qui t'affliges. Tu relèves même pas. Le seul truc que tu sais, c'est que la maison est un peu trop calme à ton gout. Beaucoup trop calme... « Jerk, tu me lâches tout de suite. J'te jure que je vais voir la police demain matin. » Tu dis ça avec un air sérieux, mais tu l'es pas vraiment. T'es même pas sûre que ce genre de trucs soient interdits par la loi... Tu dis ça à voix haute, aussi... Parce que y'a des possibilités pour que les parents entendent et te sauvent. Alors t'essayes en sachant que ça va l'énerver d'autant plus, en prenant le risque de prendre cher après ça. Tu le défies du regard, t'as envie qu'il croit que tu vas réellement aller voir la police, que son futur acte est hors la loi. Mais t'es aussi persuadée qu'il en a rien à foutre. Tu te prépares à prendre un coup, parce qu'il est bourré, foncedé et énervé. Et t'es sûre que c'est le seul moyen qu'il aura trouvé pour te faire taire. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Lun 16 Avr - 22:39 | |
| Tu ne comprends pas pourquoi elle fait tout un plat de cette histoire. C’est qu’un putain de tatouage, comme tu dis. Mais non. T’es peut être trop défoncé pour l’comprendre. Ou peut-être que non, t’as juste pas envie d’écouter ses arguments. T’as juste envie qu’elle se taise. Qu’elle arrête ses conneries, cette putain de résistance et qu’enfin, elle abdique. Mais tu sais que non. Elle te laissera pas le faire. Pas de son propre gré. T’as pas non plus envie de la frapper. Ce n’est pas que t’as des principes. Mais quand même, t’abaisser à frapper une fille, ça, jamais. Non, t’as clairement une autre idée en tête. Si jamais elle continue à pas vouloir te laisser faire. T’as toujours son poignet dans la main. Que tu serres. Un petit trop. Mais ça par contre, tu t’en fous. « - Jerk, tu me lâches tout de suite. J'te jure que je vais voir la police demain matin. » Elle te menace. T’hésites entre le rire et tes nerfs qui grimpent encore un peu plus. Aller voir les flics ? Comme si ils en avaient quelque chose à foutre qu’un mec tatoue une meuf ! Non, c’pas tellement le fait qu’elle t’annonce ça comme ça, qui te donne envie de rire et de t’énerver. C’est cette façon de te tenir tête alors qu’elle sait pertinemment que quand t’as quelque chose en tête, tu lâches pas le morceau aussi facilement. T’es chiant, t’es qu’un petit con. Et tu le sais, c’est triste. Elle continue à te regarder dans les yeux, essayant de te défier du regard. Tu la lâche pas des yeux. Hors de question de les baisser devant elle. Tu souris, déjà amusé parce qu’il va se passer par la suite.. « - Bon, si c’est comme ça que tu le prends.. » Et puis tu te baisses légèrement, passant une main derrière ses cuisses. Ne lâchant toujours pas sa main. Et tu la portes. Contre ton épaule. Comme si c’était un sac à patates. Elle est pas lourde. Tu sais plus. L’alcool et la drogue peut être, qui te font penser que t’es genre un Hulk en puissance. Tu la maintiens bien contre ton épaule et fais demi-tour, direction les escaliers. « - T’as pas intérêt d’hurler et de réveiller mes parents, Rose.. » |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 17 Avr - 11:15 | |
| Tu vois un sourire s'étendre sur ses lèvres, le genre de sourire qui te fait peur. Tu sais que la police en a rien à foutre, et il a l'air de le savoir aussi. Tu sens son regard sur toi, t'as pas envie de baisser les yeux non plus parce que t'es loin d'être une soumise, que tu veux pas qu'il le croit en tous cas. Tu veux pas lâcher le morceau, cette marque, t'en veux pas et tu le revendiques ! Tu le revendiqueras jusqu'au bout ! C'est dégradant, t'as de plus en plus l'impression que t'es sa chose, que t'es son objet sexuel, la pute et le mac. Il est de plus en plus possessif, le tatouage en est la preuve... Pourquoi pas à une autre ? Pourquoi pas à la prochaine pétasse qu'il mettra dans son lit ? Pourquoi à toi ? T'as peur, un peu, mais ça, tu l'avoueras jamais. T'as peur de devoir avoir ça sur la peau toute ta vie, de plus pouvoir te mettre en maillot de bain sans que tout le monde sache que t'es son objet. T'as pas envie que les mecs te laissent tomber en voyant son surnom sur ton bas ventre et t'as simplement envie de partir et d'en finir avec cette relation. Oui, parce que t'y penses... Y mettre fin, ce serait pas en accord avec ta volonté réelle, mais avec ta raison, si, totalement même. T'aimerais pouvoir lui échapper, dès maintenant. Au lieu de ça, il sourit, il se baisse légèrement et il passe son bras derrière tes cuisses, tu te sens tomber sur son épaule. Putain de merde, il t'a eu. Il t'a, tu peux plus rien faire. T'as fait abstraction de la phrase qu'il a prononcé juste avant, tout ce que tu vois c'est qu'il t'a entre ses mains, à sa merci. Il se dirige vers les escaliers et te dit : « T’as pas intérêt d’hurler et de réveiller mes parents, Rose.. » Il a carrément lu dans tes pensées, c'est affolant comme il te connait bien. Bordel, t'aimerais tellement pouvoir crier. Tu sais pas quoi gueuler, mais tu sais que tu vas le faire. Tu prends une courte inspiration, t'as peur de ce qu'il va faire. S'il te menace comme ça, c'est qu'il a une idée derrière la tête, une autre idée pour te faire souffrir. Tu prends une nouvelle inspiration, tu attrapes ses cheveux à l'aide de ta main libre et tu tires sa tête vers l'arrière. « LAISSE-MOI. MERDE ! QU'EST-CE QUE T'AS PAS COMPRIS DANS LE FAIT QUE J'AI PAS ENVIE QUE TU ME... » |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Lun 23 Avr - 17:34 | |
| Fini de jouer. Marre d’attendre qu’elle te donne enfin une quelconque permission. De par ton geste, tu lui fais comprendre que c’est toi qui décide. Histoire que le message passe encore mieux. Même si tu sais, qu’elle avait déjà compris que tu irai au bout de ta pensée. Quoi qu’elle en dise, quelque soit son avis. Sa résistance ne fait que retarder l’échéance. De quelques minutes au plus. Tu veux apposer ta marque sur sa peau hâlée et tu le feras. Mais t’es pas con. Tu sais aussi que jusqu’au bout, elle ne se laissera pas faire. Rose-May est comme ça. Et c’est pour ça que tu ne t’es pas encore lassée d’elle. Entre autre. Tu resserre ta prise. T’as pas non plus envie de la faire tomber par terre. T’as pas envie de la blesser. Malgré les nerfs qu’elle t’a mis. Avant qu’elle ne commence à crier, parce que t’es persuadé qu’elle va le faire, tu t’avances assez rapidement vers les escaliers. Pour vous faire retourner dans ta chambre. Mais t’as pas le temps de poser le premier pied, qu’elle se met aussitôt à gueuler. Venant agripper tes cheveux de sa main et te tirant en arrière. Manquant de te faire perdre l’équilibre. « - LAISSE-MOI. MERDE ! QU'EST-CE QUE T'AS PAS COMPRIS DANS LE FAIT QUE J'AI PAS ENVIE QUE TU ME... » Mais qu’elle se taise, bordel. Ta maison a beau être grande, t’es pas sûr que ses cris soient passés inaperçus. Pour la faire taire, tu lâches sa main pour venir poser la tienne sur sa bouche. Qu’elle te morde, qu’elle essaye et tu la jette par terre. Oubliant vite ton désir de ne pas trop lui faire de mal. « - Tu vas la fermer oui, putain ! Je m’en tape de tes envies, Rose. Tu te tais ou je te jure que si mes parents rappliquent, je serai pas aussi calme que je tente de l’être. » Tu commences à monter les escaliers, assez rapidement. Histoire qu’elle n’alerte pas tout le monde. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Lun 23 Avr - 18:47 | |
| Tu sais que t'as le don de le gonfler, que t'as le don de le mettre hors de lui. Cependant, tu vois aussi qu'il arrive à garder son calme, parce qu'il fait nuit, parce que ses parents sont là... Parce qu'il a peut-être pas envie de te casser quelque chose, ce serait tellement facile pour lui de te casser de nouveau le tibia. Il sait que ce serait la punition suprême et que tu pourrais même plus être remplaçante dans l'équipe de Lacrosse, le Lacrosse, c'était un peu ta vie lors de l'année passée, mais maintenant, c'était fini. Un rêve envolé. Et il a le pouvoir de te mettre plus bas que terre, de t'enfoncer encore plus dans ta médiocrité. Il est là, il te tient sur son épaule comme si tu n'étais qu'un vulgaire sac de farine qu'il va balancer sur son lit lorsque vous serez arrivés dans sa chambre. Il marquerait son nom sur toi, à la vue de tous, comme le "farine" en caractères noirs sur le tissu écru. Et t'es là, face à cette vérité qui te laisse complètement désemparée. Tu ne pourras pas y échapper, c'est comme ça. Fais-toi une raison rose, il te l'a lui même dit, plus rien ne peut te sauver.
Alors tu cries, t'essayes parce que c'est la seule chose qu'il te reste à faire, tu lui tires les cheveux dans un geste désespéré. Tu sais pas s'il craint ce genre de choses, tu sais qu'il y a peu de chances pour mais si c'est la seule manière d'échapper à ce qu'il t'attend, alors t'es prête à tenter le coup. Il met sa main sur ta bouche, assez violemment et il te parle. Tu fermes les yeux, t'as peur de ce qu'il va t'arriver dans quelques minutes. « Tu vas la fermer oui, putain ! Je m’en tape de tes envies, Rose. Tu te tais ou je te jure que si mes parents rappliquent, je serai pas aussi calme que je tente de l’être. » T'ouvres la bouche avec difficulté, déjà dégoutée par ce que tu t’apprêtes à faire, mais tu lui lèches la main pour qu'il l'enlève. T'as pas envie de le mordre car t'as plus de chances de te faire tuer après ça. Alors tu te contentes d'espérer qu'il enlève ça main en disant que c'est dégueulasse d'avoir ta salive sur sa peau. Tu veux réveiller ses parents parce que c'est les seuls capables de te sauver de ce supplice, tu te dis qu'ils peuvent te foutre dehors et qu'il pourra plus venir te faire chier. C'est peut-être trop en demander. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 24 Avr - 2:45 | |
| Maintenant que t’as monté la première marche, t’es bien décidé à enchaîner les suivantes sans esclandre. Pour enfin, revenir vers ta chambre et faire ce que t’avais prévu de faire. Ce qu’elle est chiante, putain. Tout ce cinéma, pour ça. Pour rien. Pour une foutue marque, qu’elle aurait pu avoir plus vite. Sans tout ce foutoir. Sauf que non. Ça aurait été trop facile. Ça ne l’est jamais. Autant t’y faire, maintenant. Les minutes passent et ton cerveau commence à y voir plus clair. L’alcool et la drogue se dissipant lentement dans ton corps. T’es pas encore très conscient de ce que tu fais, de ce que tu vas faire. Mais il subsiste quand même cette petite voix, au fond de toi, qui te crie aussi de la laisser en paix. Ou alors c’est Rose-May. Et t’es toujours aussi entamé, au final. Tu continues à monter les marches. Parce qu’il est hors de question de rester dans le couloir et t’attendre qu’elle les réveille. Et tu sais bien qu’elle a pas dis son dernier mot. T’as sa main sur sa bouche mais elle n’est pas conne. Et pas aussi défoncé que toi. Elle ne touchant pas à la drogue, elle est bien plus consciente de la scène qui est en train de se dérouler entre vous deux. Soudain, tu sens sa langue sur ta main. Elle a pas osé le faire si ? Tu te concentres sur la sensation. Si, bien sûr que si ! Merde, c’est dégueulasse ça. Mais tu retira pas ta main. Hors de question de la laisser gueuler et réveiller toute la maison. Parce que tes parents seraient les seuls capables de te faire sortir de ton délire. Et plutôt crever que d’en sortir. C’est toi qui décide quand est-ce que ça s’arrête, personne d’autre. Alors qu’elle lèche ta main si ça l’amuse. T’es sûr et certain, qu’au final, elle est plus dégoûtée que toi. Enfin, t’as fini de monter ces foutus escaliers et tu te diriges vers ta chambre. Que t’atteins en quelques pas. Tout au bout du couloir. A l’opposé de celle de tes parents. T’ouvres la porte et vient la poser sur le lit. Ou plutôt la jeter. Ça serait le terme le plus approprié. Tu retournes vite fait bien fait à ta porte, pour la fermer. A clé. Qu’elle hurle, qu’elle crie, qu’elle pleure, qu’elle gémit. Maintenant, y’a personne qui l’entends. « - C’était quand même très dégueu là, ton coup de "je te lèche la main". » T’attrapes une fin de joint qui traîne. Bien décidé à ne pas redescendre maintenant. T’aimes la sensation que te procure le fait d’être défoncé. Cette impression de pouvoir tout réussir, d’être au dessus de tout le monde ; Ce qui est faux, bien entendu. Tu te rapproches du lit, ton stick coincé entre les lèvres et tu récupères vite fait ce qu’il faut pour la tatouer. « - Bon.. t’as fini tes conneries maintenant ? On peut y aller ou t’as quelque chose à dire encore ? » |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 24 Avr - 3:24 | |
| T'as beau lui lécher la main comme une grosse dégueulasse, il te lâche pas. Il enlève pas sa putain de main, t’arrive pas à lui enlever de là... T'as l'impression d'être un chien, que lui, c'est la muselière et que t'es prisonnière. Prisonnière parce qu'il te vire ta liberté d'expression, prisonnière parce que tu connais l'issue de ces minutes de révolte. Prisonnière parce que t'es complètement accro à lui, malgré tout ce que tu peux dire. Il monte les marches, t'es toujours dans la même position. Ca te fait mal au ventre d'être pliée en deux sur son épaule comme ça, mais tu sais qu'il en a rien à battre parce que t'aurais pas dû te barrer comme ça. Tu sais qu'il en a rien à foutre de savoir si ça va pour toi ou pas, car il est pas du genre à s'inquiéter pour toi. T'es presque persuadée que tu pourrais crever sans que ça ne lui fasse quoi que ce soit. T'façon tu t'en fous ou du moins... t'es censée t'en foutre. Sauf que c'est pas le cas. Tu te demande où cette relation va vous conduire, t'es dans l'incompréhension la plus totale. Et il te jette sur le lit, te sortant de ta rêverie, parce que tu tentais plus rien, ton cas est désespéré de toute façon... La partie est finie, tu vas te faire marquer. Il va fermer la porte à clé, pendant que tu es affalée sur le lit et que tu tentes de te relever difficilement. T'as envie de gerber, mais tu le feras pas, ce serait trop beau... « C’était quand même très dégueu là, ton coup de "je te lèche la main". » Ouais, tu le sais, que c'était dégueulasse, surtout pour toi. Tu sais que cette main, elle a touché des trucs que tu préfères même pas imaginer. T'as pas envie de savoir, t'as pas envie de comprendre et tu te dis que t'as quand même bien fait. Tu te laveras les dents demain matin et ce sera parfait. Tu le regardes rallumer une fin de joint, tu te dis qu'un jour, il va crever à force d'en fumer et que ce sera bien fait pour sa gueule. Tu te dis que tu pleureras même pas à l'enterrement, histoire de le faire chier jusqu'au bout et de paraitre plus forte que tu ne l'aies. Il a ramassé tous les trucs qu'il faut pour te tatouer et il te demande : « Bon.. t’as fini tes conneries maintenant ? On peut y aller ou t’as quelque chose à dire encore ? » Si t'as des trucs à dire ? T'as envie de gueuler, de partir en courant, de sauter par la fenêtre si ça peut t'éviter ça. Tu le regardes, dans les yeux. « Passe-moi un verre de Whisky, grouille. » T'es pas d'humeur, t'as juste envie de te saouler la gueule pour pas te souvenir de cet affreux moment. Tu préfèrerais qu'il te déshabille pour te baiser, plutôt que pour te mettre sa marque sur le bide. T'es "avec lui" depuis pas longtemps, alors si ça dure... il fera quoi ? Il te marquera au fer rouge ? Manquerai plus que ça, tiens. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 24 Avr - 3:53 | |
| T’as gagné. C’est terminé. Ça en est fini pour elle. Elle va l’avoir cette foutue marque. Tu vas enfin pouvoir marquer ce putain de Jerk sur sa peau. T’es un putain de borné, un putain d’égoïste quand même. A penser qu’à ta gueule. A ne pas te soucier de ce qu’elle peut ressentir, elle. A ce moment précis. A quelques minutes, si proche de se faire tatouer. Comme du vulgaire bétail. Jerk, putain de Jerk. Tu portes tellement bien ton surnom. Surtout maintenant. Face à Rose-May. Avec cette attitude d’enfoiré fini. Tu serai plus conscient de tes actes et paroles, peut être que tu te ferai vomir. Ou pas, finalement. « - Passe-moi un verre de Whisky, grouille. » Tu souris en coin. Préférant nettement moins cette attitude-là. Tu poses ce qui va te servir à la tatouer sur le lit. Partant de l’autre côté de la chambre, histoire de trouver de quoi la faire boire rapidement. Tu vois une fiole neuve de whisky posé sur ton bureau complétement en bordel. Tu sais pas trop ce qu’elle fout là. Mais tant mieux, elle en aura bien besoin. Tu reviens vers elle, lui tendant le liquide ambré. « - J’ai pas de verres et à mon avis, t’en aura pas besoin. » T’attends qu’elle attrape la fiole et qu’elle en boive une gorgée. Ou deux. Avant de venir sur le lit aussi. Et de te rapprocher complétement d’elle. Ta main vient naturellement se glisser sur son visage. Et tes doigts caressent légèrement sa joue. Ton regard vient s’ancrer au sien. Et il vaut mieux pour toi que t’arrêtes immédiatement ça. Avant d’oublier complétement ce que tu veux faire pour autre chose. Au moment où ton autre main vient épouser la chute de ses reins, tu coupes tout contact. Autant visuel que tactile. « - Mh.. tu devrai retirer ton haut et t’allonger. » Tu te relèves du lit, terminant ton joint et venant l’écraser dans un cendrier, attendant qu’elle s’exécute. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 24 Avr - 4:18 | |
| Tu lui demandes du whisky et t'as presque envie de te lever pour lui piquer son joint. T'as besoin d'un anesthésiant parce qu'autant dire que tu vas avoir mal. Tu le sais, tu le sais que tu vas souffrir et que personne va pouvoir venir t'aider. Tu le sais que c'est fini pour toi et que tu pourras plus rien faire pour y échapper. T'auras tout essayé, la faute vient pas de toi. T'as vraiment tout tenté, t'as rien à te reprocher. Tu veux pas baisser les bras, mais t'es obligée parce que face à une porte fermée à clef et au bitume qui se trouve en dessous de la fenêtre de Jerk, t'es coincée. Sauter, c'est au minimum de péter de nouveau le tibia. Tenter d'ouvrir la porte, c'est perdu d'avance et c'est lui qui va te péter le tibia. T'étudies la situation, mais non, y'a rien à faire, tu peux pas t'échapper. C'est toujours trop compliqué et trop risqué... Il a un sourire en coin qui a le don de te saouler, t'as juste envie de lui faire bouffer son joint... Il revient bien vite en te tendant une flasque de whisky et t'es toujours assise sur son lit. « J’ai pas de verres et à mon avis, t’en aura pas besoin. » T'attrapes la flasque, tu bois deux gorgées, tu sais que tu vas vite finir saoule, mais tant pis. Si ça peut t'aider à oublier, alors allons-y à fond ! Tu rebouches la flasque et il s'approche de toi, il pose sa main sur ta joue, il caresse ta peau et ton regard se plonge dans le sien. Y'a un putain de truc entre vous, n'empêche. Tu le sais ça, qu'il y a un truc en plus qui fait que... que ça se passe aussi "bien", que votre relation dure depuis déjà quelques temps. Tu sens son autre main au dessus de ton pantalon et t'aimerais juste qu'il le vire pour pouvoir sentir ta peau contre la sienne. Sauf qu'il coupe tout contact, tu fermes les yeux et tu t’effondre sur le lit pendant qu'il te tourne le dos et qu'il finit son joint. « Mh.. tu devrai retirer ton haut et t’allonger. » Tu t’assois de nouveau, tu quittes le t-shirt que t'as remis quelques minutes plus tôt et tu te couche une nouvelle fois. Ca y est, il va te marquer à jamais. « ... C'est bon. » Tu fermes les yeux, tu prends une grande inspiration et tu te prépares à souffrir le martyr pendant plusieurs dizaines de minutes... |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 24 Avr - 4:45 | |
| Rose-May prends la flasque et boit deux gorgées. Tu la regardes faire, toujours ce putain de sourire collé sur les lèvres. Tu lui aurait bien proposé de fumer mais tu sais bien que c’est pas son genre, alors elle se contentera de cette fiole. Qu’elle la vide, si elle veut. Tu t’en fous. Un moment figé dans le temps, où tu redeviens «normal » juste le temps de quelques secondes. Juste le temps de la frôler de tes doigts. En tentant tant bien que mal de vider ton esprit de toutes les idées qui te passent par là. T’aurai pas envie de la tatouer à ce point, t’aurai peut-être succombé à tes envies. Mais non. D’abord ça. On verra le reste plus tard. Ton joint écrasé dans le cendrier, t’attrapes ton paquet de clopes qui traîne par là. En allumant une et venant la caler entre tes lèvres. Tu viens récupérer les aiguilles et les prépare. Prenant bien soin quand même de l’anesthésier avant, avec ton briquet. Sait-on jamais, tu sais pas où ces merdes ont traînés. Tu t’occupes de terminer de préparer tes instruments avec la bobine de fil. Quand enfin, elle brise le silence qui s’était fait dans la pièce. « ... C'est bon. » Tu te retournes au son de sa voix. Ton précieux instrument en main. Elle est allongée sur le dos, yeux fermés. Tu la trouves belle, comme ça. C’est un autre sourire qui se dessine sur tes lèvres. Que tu vires vite fait, secouant la tête. T’écrase ta clope à moitié fumée et tu reviens sur le lit. Revenant près d’elle. Tes doigts viennent frôler l’endroit pile où tu veux poser ta marque. Juste à droite, sur le bas du ventre. Tu descends son bas, juste à peine, pour avoir accès plus facilement à ce morceau de peau. Qui bientôt ne sera plus vierge. Tu récupères l’encre de chine et en verse un peu dans le bol que t’avais apporté quelques temps plus tôt. Juste avant que tu ne la retrouves devant la porte d’entrée. Tu trempes ta triple aiguille dedans. Avant de venir poser ton autre main sur son bas, pour bien étirer sa peau. Pas besoin d’écrire ton surnom avant de le tatouer. C’est juste quatre lettres. Pas un dessin super détaillé. Tu lui lance un : « - T’es prête ? » Plus pour signifier que tu vas commencer que pour le savoir vraiment. Parce qu’au fond de toi, tu sais qu’elle n’a pas vraiment accepté ce qu’il va suivre. Et sans attendre sa réponse, tu piques sa peau de ton aiguille. Commençant à la marquer. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 24 Avr - 8:15 | |
| T'ouvres un oeil lorsqu'il frôle ta peau de ses doigts, tu kiffes, ça te fait du bien. Tu te mords la lèvre et tu fermes de nouveau les yeux, juste après les avoir ouverts. T'es fatiguée, mais tu vas pas pouvoir dormir, maintenant t'as réalisé que c'était pas une petite heure de boulot, mais que c'était plusieurs heures. Tu rouvres les yeux, tu vois ses aiguilles et tu le sens qui descend légèrement ton jean pour avoir libre accès à ton ventre. T'as envie de te lever et de fuir encore, parce que ce qu'il va t'arriver est un moment beaucoup trop proche dans le temps, à ton goût. Et dire que ça serait commencé depuis plus d'une demi-heure si t'avais pas fuit. Une demi-heure de passée et c'était "bientôt" fini. T'allais les sentir passer, les minutes de cette demi-heure. Il est pas conscient de ce qu'il fait, alors t'as peur qu'il pique trop fort, trop loin, que tu saignes à fond. Et pendant que tu penses à tout ça, pendant que t'imagines ce qui va t'arriver dans les prochaines secondes, tu sens sa main se poser sur ton bas-ventre, étirer ta peau. « T’es prête ? » Non, non, bien sûr que... Il a piqué. Pour la première fois, et il s'arrête pas là car le mouvement est répétitif. Ta bouche s'ouvre, t'as envie de crier, de pleurer, mais t'as même pas la force de le faire. T'as mal putain, t'as super mal, il te fait mal et t'es impuissante. Tu lâches dans un souffle un « Non... » qui est la réponse à la question posée précédemment. Ca te brûle, t'as super mal, t'as pas l'habitude et sans être douillette... ça tue. Tu vas lui faire payer ça, mais tu sais pas encore comment. La brune rouvre les yeux, les ferme, au grès de la douleur qui continue et qui ne s'arrête pas. Tu cherches la flasque de whisky que t'as laissé près de toi en tâtonnant, tu la trouves pas et t'as besoin de boire. Et finalement, ta main trouve un truc métallique tu saisis, que t'ouvres et que tu portes à ta lèvres sans trop te poser de questions. Tu fais gaffe à pas t’étouffer car il te laisserait crever, interdiction de t'asseoir ou de bouger.. et tu le sais. Tu reposes la flasque près de toi, à portée de main. T'as mal, tu souffres... Et dans un geste purement humain, tu saisis le bras qui étire ta peau et tu serres parce que t'as mal. Tu plantes tes ongles dans sa peau, t'as tous tes muscles de contractés, t'as envie de mourir. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 24 Avr - 9:14 | |
| Ton instrument pique sa peau. T’es satisfait. Et tu sais que tu le saura d’autant plus quand tu pourra contempler ce fameux Jerk, écrit bien distinctement sur son bas ventre. Marqué à jamais. A jamais. Ca résonne dans ta tête. Alors que tu répètes le mouvement une fois, puis deux, puis trois. T’arrêtes de compter. Tu relèves légèrement le visage pour l’observer. La bouche entre ouverte. Tu devines facilement son envie de crier, de s’enfuir, de t’échapper, de te tuer. Certainement. T’imagines même pas la douleur qu’elle doit ressentir. Pas totalement conscient de ce qu’implique le fait de la piquer de ta triple aiguille. « - Non... » Tu rebaisses les yeux vers l’endroit où tu la marques. Faudrait pas non plus que tu te rates. Ou alors t’es pas certain d’avoir la vie sauve par la suite. Déjà qu’à cet instant, c’est limite. Tu continues, de la piquer. Encore et encore. Observant peu à peu la première lettre de Jerk se dessiner sur sa peau. T’es complétement obnubilé par ce que tu lui fais. Ce que tu lui fais subir. Un peu ailleurs aussi, à cause de l’alcool et de la drogue qui n’ont pas totalement quitté ton sang. Tu la sens légèrement bougé sous tes mains. Vraiment légèrement. Pas assez pour te faire réagir. Tu devines sans avoir besoin de regarder qu’elle a du attraper la flasque, histoire de noyer la douleur dans l’alcool. Rose-May souffre le martyr et toi, pauvre con, tu continues. A piquer et repiquer. Ayant hâte de voir le résultat. Et puis, une des ses mains vient saisir ton bras qui étire sa peau. Elle serre, fort, très sort. Et c’est lorsque que ses ongles viennent s’enfoncer dans ta peau. Que tu prends conscience du seuil du douleur que t’es en train de lui faire atteindre. T’as finis le J, tu commençais tout juste à t’attaquer au E. Mais tu t’arrêtes. Lui laissant un peu de répit. T’as beau être un connard fini, t’es pas complétement inhumain non plus. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 24 Avr - 9:41 | |
| T'as l'impression de faire de l'acuponcture chez une chinoise pas très net. T'as l'impression qu'on est entrain de te faire trois prises de sang en même temps, t'as l'impression que ça continue, que le diable, si tant est qu'il existe, vient te piquer de sa fourche toutes les secondes. Il t'a piqué combien de fois ? T'en sais rien, tu comptes pas, t'essayes d'oublier la douleur, tu tentes de penser à autre chose... Tu tentes d'imaginer l'une de ses caresses, vos soirées baises, tu préfèrerai d'ailleurs qu'il soit en toi à cet instant plutôt qu'entrain de t'enfoncer des putains d'aiguille dans la peau. T’avale ta salive, rien de tout ce à quoi tu peux penser ne marche, parce que t'as trop mal, beaucoup trop mal. Ca brûle, ça pique, t'as des sensations bizarres, t'as l'impression de sentir l'encre courir sous ta peau. C'est sûrement le cas d'ailleurs, il va l'avoir raté son putain de tatouage et ce sera bien fait pour ta gueule. T'aurais pas dû te le faire cette nuit, t'aurais dû partie avec un autre mec, seulement c'était pas les autres mecs que tu voulais, c'était lui. Connerie de débutante. Pourtant tu sais très bien comment il est, tu sais que c'est un connard fini, que tu devrais le détester et pas l'aimer comme tu le fais. Parce que ouais, tu l'aimes bien, quand même. Sinon tu serais pas là, t'en aurais rien à foutre. Et d'un coup, alors que ta main est agrippée à son bras, il arrête de piquer. T'ouvres les yeux, parce que tu te demandes ce qu'il lui arrive. Et tu te demandes si c'est pas ta main qui le gêne, s'il va pas t'engueuler parce que t'as bougé et que tu l'empêches de faire son tatouage. Tu vires ta main, t'as la peau un peu humide, parce qu'avoir tous tes muscles contractés comme ça.. ça te fait suer. Ta respiration est un peu forte, un peu difficile aussi. On sent bien que t'as mal à en crever, que t'as vraiment mal. Ca continue à brûler, tu sais que ça va gratter et qu'il t'impose de mois de souffrance pendant lesquelles tu pourras pas te gratter. Tu peux même pas t'exposer un peu au soleil tant qu'on est en septembre et qu'il fait beau, et ça te fait bien chier. Remarque, tu préfère qu'il t'ai fait ça lors du mois de septembre plutôt qu'au mois de mai ou de juin, ça aurait été plus emmerdant. Tu lèves la tête et t'observes le "J" qui est dessiné sur ton bas ventre. Tu sais que t'es pas encore sortie d'affaire, plus que quatre. Et encore, t'as peur qu'il repasse encore par dessus, histoire de finaliser. Tu t'écroules de nouveau sur le lit, t'es véritablement crevée et mine de rien, avoir mal, ça te crèves encore plus. T'aimerais vraiment pouvoir dormir pendant qu'il te marque, ça ferait au moins un point positif à ce tatouage... Mais non. T'as trop mal, beaucoup trop mal. Tu tournes la tête pour regarder le mur, t'as pas envie qu'il voit à quel point t'es faible, à quel point il te fait mal. Il a gagné, il doit être content... Toi, t'as juste honte, tu te sens mal, t'as mal, tu te sens bafouée et t'as l'impression de lui appartenir, encore plus qu'avant. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) Mar 24 Avr - 12:23 | |
| T’as arrêté de piquer sa peau pour la laisser respirer un peu. Lui laisser un peu de répit. Mais pas trop non plus. Le silence de ta chambre est juste perturbé par sa respiration légèrement forte, que tu devines difficile. Tu fixes l’endroit où t’as commencé à apposer ta marque. Sa peau est un peu gonflé, rougi à cause de toute les piquées que tu lui a fais subir. Soudain, tu te dégages du lit. Pour aller poser l’aiguille sur une surface clean de ta chambre. T’attrapes le gant que t’avais rapporté et l’eau. Avant de revenir t’asseoir à ses côtés. Tu trempes un coin du gant dans l’eau avant de venir le passer délicatement sur sa peau. Tu sais pas pourquoi tu fais ça, ni si ça va servir à quelque chose. Mais tu le fais quand même. Une minute ou plusieurs. Tu sais plus trop. Tu te contentes juste de le faire. En faisant attention de pas appuyer ou de ne pas gratter la surface. Histoire de ne pas abîmer le début de ta marque. Quand tu décides que ça suffit, t’arrêtes et tu sèches avec un autre coin du gant, sec. Parce que faire un tatouage sur une surface mouillé bah.. ça sert un peu à que dale. Tu te relèves pour tout reposer plus loin. Et t’attrapes un spliff déjà tout près. Commençant à le fumer, en revenant avec ton aiguille près d’elle. T’attrapes un cendrier avant de revenir t’asseoir sur le lit. Et de recommencer à la tatouer. Tu replonges ton instrument dans l’encre de chine et t’apprêtes à recommencer. T’ouvres la bouche pour dire quelque chose. Mais finalement, tu t’abstiens. Tu reviens placer ta main libre sur sa peau. Et tu recommences à la faire souffrir le martyr. Juste parce que tu l’as décidé. Juste parce que t’es qu’un petit con qu’a pas trouvé un autre moyen de la faire tienne qu’en la tatouant, qu’en apposant ta marque sur sa peau. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC Contenu sponsorisé | Sujet: Re: u're mine, girl. (rose-may) | |
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| | | | u're mine, girl. (rose-may) | |
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