Sujet: ON SE MET MAL ? ❥ PLUME. Lun 23 Avr - 17:35
❥ Il est 23 heures et je me fais chier. En temps normal, je suis de sortie vers cet heure là, mais disons qu’aujourd’hui j’avais un petit peu envie de rester chez ma tante et à me déchirer la tête toute seule devant un bon film. Et puis, comme ma tante n’est pas la ce soir ainsi que demain, peut-être que je pourrais prévoir une petite soirée à l’improviste. Je pris donc mon téléphone qui se trouve sur mon lit et je saisi le numéro de ma meilleure amie, Plume. Je compose un texte : « Viens chez moi. Entre sans frapper ♥. » J’envoie et hop, c’est parti. La soirée promettait d’être géniale. Plume a souvent tendance à ne jamais réponse à mes texto mais jusqu’ici elle n’a jamais manqué une soirée en ma compagnie et je sais qu’elle est ravie de venir squatté ma chambre. J’en profite donc pour me rouler un bon pétard ou plutôt deux car j’suis pas égoïste et je compte bien lui en faire profiter. Je reçois un texto de mon dealer de cocaïne, une nouvelle substance que j’essaie seulement depuis deux jours. Un truc qui me met bien. Je n’en suis pas encore dépendante, mais j’aime bien. Il me dit alors qu’il a quelque chose pour moi et qu’il est juste devant ma porte. Je sors vêtue d’un simple short et d’un haut vraiment décolleter et il me sert ma dose. Je lui file les 50€ et je rentre sans dire un mot. Je dépose la drogue sur ma table de nuit tout en attendant ma meilleure amie.
Je la vis arriver avec le grand sourire, comme si elle savait déjà comment allait se terminer notre petite soirée à l’improviste. Je lui dépose un baiser amicale sur la joue et je la laisse s’installer près de moi sur mon lit. Je mis un film d’horreur, mais laissant la lumière allumé afin de voir le visage de mon amie. Car après tout, on ne va pas faire que de regarder ce film. J’attrape le bédo que je lui avais roulé et lui tendis. « Il est vraiment bon, tu devrais gouter. » terminais-je tout en lui donnant. Évidemment, elle n’allait pas refuser surtout si sa vient de moi. J’attrape mon briquet, mis mon pétard dans ma bouche et je le craque tirant quatre lattes d’affiler tout en recrachant la fumé par la bouche et le nez.
MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC Invité
Invité
- MERRYMAKER..
RELATIONSHIP. -
Sujet: Re: ON SE MET MAL ? ❥ PLUME. Ven 27 Avr - 11:59
on se met mal ?
Putain de repas de famille barbant. Mot d'ordre : comédie. Il fallait jouer la famille unie, heureuse et comblée. Ma mère souriait à s'en déformer le visage, mon père s'affairait auprès du barbecue dans un élan de bonne humeur qui lui était rare, très rare (de sorti uniquement pour les grandes occasions en fait). Mes oncles et mes tantes affichaient eux aussi un rictus heureux, pleins d'hypocrisie. Je n'aimais décidément pas cette ambiance de minauderie en veux tu en voila. « Qu'est ce qu'elle est belle ta tunique Pam ! » Non, ça tata tu vois, c'est aussi moche que ta couleur de cheveux de merde. Le repas était interminable. Les plats s'enchainaient et je ne voyais pas la fin de ce clavaire. Ma famille était tout simplement pitoyable, je ne me reconnaissait dans aucun d'eux (ou bien si, il y avait peut être la soeur de mon père, discrète mais pleine de bon sens) Le dessert venait d'être déposé sur la table quand mon portable vibra « Viens chez moi. Entre sans frapper ♥. » Un sourit malicieux s'étira sur mon visage. C'était ma Maxine, la fille dont j'avais besoin en ce moment. Passer du temps avec elle était toujours un bon remède contre ma famille nauséabonde. Ses éclats de rire avaient pour effet de me calmer aussitôt, je ne pouvais me passer d'elle. J'avais du renoncer à bon nombre de soirées pour être présente à ce diner familial, mais il était hors de question que je refuse une invitation chez ma bibiche. « Ca marche ma poule, je me dépêche, prépare la défonce, j'en ai bien besoin. » Après avoir composé ses brefs mots, je déposai sur la table la serviette que j'avais soigneusement dépliée sur mes genoux au début du repas (j'avais tout de même une certaine éducation, il ne faut pas croire), reculai doucement ma chaise et me levai. « Veuillez m'excuser, mais j'ai besoin de prendre l'air » adressai je sur un ton provocateur et enjoué à mes voisins, sentant le regard réprobateur de ma mère se poser sur moi. Évidemment, elle ne pouvait rien dire. Engueuler sa fille chérie devant toute la famille ne faisait pas parti des us et coutumes. Je lui adressai un sourire exagéré et ajoutai « Ne t'en fais pas maman, tu ne remarqueras même pas mon absence, après tout, t'es plutôt la championne dans se domaine là » Miséricordes. Je venais de clamer haut et fort la véritable identité de ma mère, mère plus préoccupée par ses ongles et son brushing que par sa famille. Mais je m'en foutais. Je jubilai plutôt, les hostilités étaient ouvertes. Je montai rapidement dans ma chambre, enfilai un t-shirt loose et un short en jean quelque peu destroy. Je saisi mon paquet de clopes que je rangeai dans mon sac en peau de vison et hésitai quelques secondes à prendre mon pochon. Après tout, j'avais envie de me mettre la tête à l'envers « Maxine aura bien ce qu'il faut, la sienne est toujours ouf » pensai je tout en rangeant mon pochon magique dans la boite qui trônait sur mon bureau. Je montai dans ma voiture et me dirigeai vers la maison de ma biche.
Clope au bec, je sonnai à sa porte. Maxine m'ouvrit, radieuse comme toujours. Son sourire me remonta illico le moral et je me rappela que j'allais passer une bonne soirée. Je rentrai dans sa maison que je connaissais par cœur et me dirigeai vers sa chambre « Il est vraiment bon, tu devrais gouter. » Maxine me tendit alors un joint. Quelle délicate attention «Exactement ce dont j'avais besoin, tu ne peux pas imaginer à quel point ma famille est barge.» Nous nous installions alors devant un film d'horreur même si, j'en étais certaine, nous allions passer l'heure du film à parler, déconner, rire. Tout se qu'on savait faire quoi. Le oinj' faisait peu à peu se effet et je commençai à planer. Qu'est ce que c'est bon. « Bon alors ma biche, quoi de beau dans ta vie de bonasse ? » lui dis je tout en lui adressant un petit coup de coude dans les côtés.
Sujet: Re: ON SE MET MAL ? ❥ PLUME. Lun 30 Avr - 14:35
J‘étais posée chez moi, complètement en train de planer alors que la journée venait à peine de débuter. Et oui, mes journées se résume plus qu‘à un seul mot d‘ordre : bédo. J‘en prend tous les jours et sa me calme, sa me fait du bien. J‘en avais drôlement besoin aujourd‘hui, comme la plupart des jours en faite. C‘est mon quotidien et je ne compte pas arrêter d‘aussitôt. Non non. Personne ne changera cela en moi. J‘entendis mon téléphone vibrer, surement Plume qui répond à mon message. Je vois donc s‘afficher ma biche sur l‘écran, j‘acquiesce un magnifique sourire. Je savais déjà que c‘était une réponse positive avant même d‘ouvrir le texte. « Ca marche ma poule, je me dépêche, prépare la défonce, j'en ai bien besoin. » De toute façon, c’était prévue. Et elle sait pertinemment que je ne suis jamais sans rien.
Toujours devant mon film, j’attendis mon amie qui ne devrait plus tarder. J’entend ensuite son arrivée et elle sonna - pourtant je lui avais bien dit d’entrer sans frapper ni même sonner -. Ma tante n’était pas là alors je pouvais faire ce que bon me semble et surtout faire une petite journée comme ça. Et peut-être même que je lui demanderais de dormir ici. Après tout, on va très bien rigoler. Cette journée promet des surprises. « J’t’avais dis de rentrer direct bichette. » lui dis-je avant de refermer la porte derrière elle. Alors que j’ai mon pétard entre les doigts, j’attendis qu’elle me regarde pour le lui tendre ensuite et préciser que c’est une tuerie. Elle le savait très bien, j’ai toujours du bon shit et personne n’en a jamais été déçue à chaque fois que je leurs faisait test. « Exactement ce dont j'avais besoin, tu ne peux pas imaginer à quel point ma famille est barge. » me dit-elle. Je passe une main dans mes cheveux, avant d’entrer dans ma chambre. Je ferme la porte et je me jette dans mon lit histoire d’en rouler un autre. Plume passait la journée avec sa famille aujourd’hui, ouais elle m’en avait parlé la veille. Pour ma part, je n’ai plus vraiment de famille. J’ai une jumelle qui ne doit même pas se rappeler que j’existe et ma mère, elle est certainement trop occupé avec Rachaëlle pour se préoccupé de moi. Un point commun avec Plume surement, sa famille je la connais peu, je ne les ai vue qu’une seule fois et je dois avoué que je ne sais pas trop comment elle s’en sort avec une telle famille. Bref. « Qu’est-ce qu’il y a eu encore ? » demandais-je assez curieuse. Ouais, j’adore en savoir un peu plus chaque jour sur sa famille. Toute façon, il est évident qu’elle m’en aurait dit plus si je ne lui avais pas demander. Elle a souvent tendance à me raconter sa vie et moi sa me plait. « Bon alors ma biche, quoi de beau dans ta vie de bonasse ? » me demande-t-elle. Je lui affiche un sourire, avant de sortir le tosma de mon tiroir. Enfin ce qu’il me restait. Il me manque des feuilles slim pour rouler mes pétards. Je fis une grimace de merde avant de posés mes yeux sur elle. « Ma tante me paye le permis. Je passe le code demain après-midi. Il faut que je trouve un truc avant ce soir pour me mettre bien demain. Il ne me reste plus que ça. » dis-je tout en montrant mon bout de bédo. Il y avait de quoi rouler une dizaine de tard-pé, mais avec Plume il est évident que demain il n’y aura plus rien. « Oh putain, j'ai plus de feuilles, dis-moi que tu en as avec toi ! » demandais-je à la jeune femme. Cette dernière n’apporte pas souvent de choses quand elle vient à la maison, car elle sait très bien que j’ai toujours ce qu’il faut. Mais là, peut-être qu’avec un peu de chance elle avait quelque chose. Et puis, toute façon si je cherche bien je peux peut-être trouver une ou deux feuilles qui traînent. Finalement en y réfléchissant, j’ai caché de la cocaïne dans un bocal. Je me lève de mon lit et part à la recherche de ma drogue. Une fois que je l’ai dans les mains, je retourne près de la jeune femme. « Sa te dit d’essayer ? » Ça allait être une première pour moi, je préfère le faire avec quelqu’un c’est plus marrant pensais-je.