[PARTY] pretty -really?- little liar ♣ VOLTAIRE
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MessageSujet: [PARTY] pretty -really?- little liar ♣ VOLTAIRE   [PARTY] pretty -really?- little liar ♣ VOLTAIRE EmptyDim 22 Avr - 18:10

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Un ponch. Une bière. Une tequila. Vérifier les cartes d’identité c’est juste pour la forme. Parce que la moitié d’entre eux en a réclamé une falsifiée à un pote à moi, et je l’ai vu faire des merveilles avec cette petite tête blonde qui me demande une Vodka, et ce brun qui voudrait un peu de rhum. Je sais pertinemment qu’ils n’ont pas vingt-et-un ans, mais je fais comme si, histoire que la soirée soit un petit peu plus animée. Parce que si tous ces morveux carburent à l’Oasis, on risque fort de s’emmerder. « T’as pas envie d’un peu d’herbe avec ton verre ? C’est – 20% ce soir. » Je lance un clin d’œil à la cheer qui me tend un billet discrètement, et un sourire de remerciement se dessine sur mes lèvres. Ben quoi, faut bien en profiter non ? En plus je suis commerçant moi, j’ai le sens des affaires. En réalité je lui ai fait tarif plein, mais ces nanas me sortent pas les trous de nez. C’est bien joli quand ça agite des pompons, mais ça n’a pas toujours l’air super futé. J’préfère encore les Lacrosse, des filles qui se tirent les cheveux en s’insultant sur le terrain, c’est quand même plus sexy. Bref, je me suis fait un beau chiffre, assez pour en avoir marre de faire le service. Je me tourne vers mes collègues de soirée, plaçant mon index et mon majeur devant ma bouche pour leur signifier que je prends une pause cigarette –plutôt pause joint en fait-. En vérité, j’ai bien l’intention de leur fausser compagnie pour le reste de la soirée. Ils vont pas me foutre en taule pour ça hein, au pire ils n’accepteront pas mon volontariat la prochaine fois. Mais vu que les âmes charitables ça manque cruellement, je suis presque certain que mon escapade ne me portera pas vraiment préjudice. Je m’éloigne du stand en enfonçant mes pieds nus dans le sable –putain j’aime cette sensation-, observant du coin de l’œil trois lycéens qui se désapent en vue de plonger dans l’eau en hurlant à la mort. Youhou, un bain de minuit à … vingt-deux heures. A ma droite, c’est un boutonneux qui vomit, entouré de potes qui se tordent de rires, hilares, et qui dégainent leurs portables pour immortaliser la scène. Je n’aimerais pas être à sa place, sûr que les salopiauds du blog ne vont pas le louper. Alala, je me fais trop vieux pour ces conneries. Je sors un joint que je me suis soigneusement roulé avant de venir, et qui repose au fond de ma poche avec quatre semblables, une silhouette un peu en retrait attirant mon attention. Je frissonne sous la légère brise marine, prenant la direction de l’esseulé.

Volt. Ouais vous savez, comme le chien qui veut devenir une star dans le dessin animé. Ben lui c’est un peu pareil, sauf qu’il suce pas pour réussir –bon le chien non plus remarque, même si l’histoire ne le dit pas-, il raconte des conneries. Le stéréotype du mythomane, quoique je crois que ce qualificatif s’applique uniquement à des pauvres gus’ qui ne peuvent pas s’en empêcher. Lui, c’est juste pour ne pas avoir l’air trop con et passer pour la petite vierge effarouchée qui gerbe quand il fume un bédo qu’il est réellement. Et blablabla j’ai fait une méga partouze ce week-end, et blablabla j’ai goûté une héroïne d’enfer qui m’a déchiré le nez … C’est limite s’il te raconte pas qu’il chie des arc-en-ciel. Y’aurait qu’à le faire pisser dans un pot et lui coller une nana à poil sur les genoux pour que sa réputation s’écroule comme un château de cartes. J’ignore s’il se refuse de baiser parce qu’il a promis de ne pas le faire devant le petit Jésus, ou si c’est parce qu’il n’a pas envie de baiser qu’il l’a promis devant le petit Jésus pour ensuite se donner bonne conscience. Allez savoir. Je hausse les épaules devant tant d’incertitude, esquissant un sourire carnassier qui ne laisse rien présager de bon. Attention vautour, planquez vos enfants. C’est bizarre qu’il soit seul, d’habitude y’a toujours son jumeau collé à ses basques. Il est sans doute en train de se taper une morveuse –parce que lui je crois bien qu’il le fait vraiment-. Le Volt il est soit en pleine dépression, soit en train de bouder. Il s’est peut-être découvert un poil au menton et ça le traumatise gravement. Putain j’suis méchant des fois, il est mignon quand même –je sais, ça n’a aucun rapport-, et puis j’étais sûrement pareil à son âge –enfin, j’espère que non-. Je m’approche innocemment du gamin qui fixe l’océan de ses yeux clairs. Faut lui concéder ça, il a un putain de visage de petit ange innocent, et je le vois parfaitement vêtu de la robe d’enfant de chœur. Je glisse un joint entre mes lèvres, les mains dans les poches. « T’as du feu mec ? » Approche classique, jusque là rien de bien folichon. En fait j’ai un briquet qui se voit d’ailleurs à travers mon jean, mais peu importe. « Alors Volt, tu t’es tapé combien de gonzesses cette semaine ? T’as pas des conseils à me donner par hasard, parce que je tombe que sur des coups tout pourris en ce moment. » Je me fous ouvertement de sa gueule, et je suis à peu près certain qu’il comprend l’intonation ironique de ma voix. Je lui ai déjà montré que son pipeau ça ne marchait pas avec moi, ce n’est donc pas la première fois. Je passe mon bras autour de ses épaules genre ‘super pote’, retirant mon bédo pour lui faire une confidence. « Allez t’inquiètes pas va, c’est pas grave si t’es encore puceau. J’vais t’apprendre comment faire s’tu veux. » Couche supplémentaire, là je le pousse dans la tombe que j’ai gentiment creusé. Mais quelque chose me dit que le gamin ne va pas se laisser faire aussi facilement. Enfin, si j’arrive à l’énerver tout rouge ça sera déjà une bonne soirée.
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MessageSujet: Re: [PARTY] pretty -really?- little liar ♣ VOLTAIRE   [PARTY] pretty -really?- little liar ♣ VOLTAIRE EmptyDim 29 Avr - 9:28

Les roses sont rouges, les violettes sont bleues. J'ai cinq doigts et je t'offre celui du milieu.


Je glisse ma main dans la poche de mon jean, attrapant mon paquet de clope pour en sortir une Marlboc, la calant au coin de mes lèvres en avançant la flamme de mon briquet vers le bout. Elle s’embrase, j’aspire une bouffée, jette un regard circulaire autour de moi. Mes yeux se posent sur un pauvre mec, gerbant ses tripes dans le sable encore tiède sous les yeux de ses potes riant aux éclats, se foutant ouvertement de sa gueule. C’est réellement pitoyable, je le plains. J’me marre doucement, l’alcool me monte à la tête. Petit toussotement, un soupir et j’inhale de nouveau la fumée nocive, me noircissant davantage les poumons. Je jette un coup d’oeil sur l’écran de mon portable. Il est à peine vingt-deux heures, la soirée risque d’être longue. Sérieusement, qu’est-ce que je fous là ? Je ne suis pas à ma place ici, je le sais. Le malaise s’installe, je déteste ça. C’est une véritable torture que d’assister à ce genre de soirées. Je repense à la cheer qui se frottait à moi il y a à peine cinq minutes, grimaçant de dégoût, à deux doigts de me faire gerber. C’est le genre de minette que personne ne regarderait sans son mètre quarante-cinq de jambes, son regard de chatte en chaleur et ses trois heures passées devant un miroir à masquer ses imperfections à l’aide de son maquillage. Bordel, elles sont bien mignonnes tant qu’elles se la ferment et gardent leurs distances. Les femmes me font rire, me donnent la gerbe avec leurs manies et leurs gloussements de dindes. Honnêtement, elles me font de la peine. Misogyne certifié. Mouvement machinal, je porte ma cigarette à ma bouche et inhale la fumée jusque dans mes poumons, appréciant la sensation de brûlure que me procure ce geste. Tout de suite, je me sens mieux, je me sens moins con. Moi qui pensais en avoir terminé avec la cigarette, c'est plutôt pathétique, non ? Priant pour que mes poumons me pardonnent ce dernier écart - enfin, dernier, ça c'est pour me donner bonne conscience, t'me vois ? -, je m'efforce de marcher droit, maudissant mon frère et Louise de m'avoir traîné jusqu'ici. Comment vous dire cela en un terme politiquement correct... Cela me troue gravement le cul de devoir passer ma soirée sur cette plage en présence de catins et de toxico. J'ai autre chose à faire, jouer à skyrim par exemple ou me laisser crever dans mon lit, seul. Mais comme l'a si bien dit mon frère, ne pas venir serait du suicide social et je ne tiens pas spécialement à devenir le bouc émissaire du bahut. Mine de rien, je tiens à mon semblant de réputation et ma tranquillité. Nouveau soupir, qu'est-ce que je me fais chier.


Cinq shooters plus tard, j'ai les yeux complètement explosés, le coeur en ébullition, le sang congelé dans mes veines. Je sens mes pieds s'enfoncer dans le sable, j'inspire l'air marin, frémissant légèrement lorsqu'un vent frais se lève. Mon regard est rivé sur le sol tandis que je m'efforce de marcher droit. Mettre un pied devant l'autre me demande une force non négligeable, ça me fait doucement rire. La lucidité m'a laissé en plan, cette salope. Je ne suis qu'un autre cadavre à l'abandon, un corps mal ficelé prêt à se décomposer. Un rictus acide s'étire sur mes lèvres lorsque je relève légèrement la tête, mon regard se posant sur une ombre non loin. Sans peine, je le reconnais. Lysandre, Lysiac, Lysias, un truc du genre, j'en sais rien à vrai dire, peu m'importe. Juste un autre imbécile heureux. Un sourire acide s'étire sur mes lèvres lorsqu'il se plante devant moi. « T'as du feu mec ? » Je dévisage longuement l'homme devant moi, essayant de déchiffrer le sens de ses paroles. Quand t'as plus d'alcool que de sang dans les veines, la question la plus simple du monde te semble tout droit sortit de question pour un champion. Finalement, je percute. Je jette un coup d'oeil à la poche avant de son jean avant de le gratifier d'un flamboyant sourire. Le connaissant, c'est pas pour voir ma belle gueule qu'il vient me demander un briquet qu'il a déjà. Qu'il aille se faire foutre. « Désolé, j'ai quedal. » Liar. Bien sûr que j'ai mon briquet sur moi, mais je lui filerais même pas un centime s'il me suppliait à genoux. Puis, lui refiler du feu serait lui donner une raison de rester et le plus vite il aura dégagé, le mieux je me porterais. L'irlandais ne semble pourtant pas pressé de se tirer de là, bien au contraire. Sa voix déchire à nouveau le silence. Oh bordel, c'est hilarant. Je ne me ferais jamais à son accent, j'ai soudainement envie de me marrer. « Alors Volt, tu t'es tapé combien de gonzesses cette semaine ? T'as pas des conseils à me donner par hasard, parce que je tombe que sur des coups tout pourris en ce moment. » Entretenant ma mine désabusée, j'arque légèrement un sourcil, mon sourire s'élargissant de plus belle. Non, je ne lui ferais pas le plaisir de péter un plomb et de lui foutre mon poing dans la figure, c'est tentant, mais ce serait se rabaisser à son niveau. Je lui jette un regard noir, le repoussant sans ménagement lorsqu'il fout ses mains autour de mon épaule. Sait-on jamais, je pourrais choper la même maladie que lui. Paraitrait qu'il est pd comme un phoque et ça ne m'étonne pas pour tout vous dire. « Un conseil ? Chirurgie esthétique dude, ça devrait certainement mieux se passer après. » De ma main, je lui tapote doucement l'épaule, genre le mec remplit de compassion et tout le bordel. Bon d'accord, je lui accorde, il est pas dégueulasse physiquement, si j'étais une meuf je cracherais pas dessus. « Allez t'inquiètes pas va, c'est pas grave si t'es encore puceau. J'vais t'apprendre comment faire s'tu veux. » Là, il commence sérieusement à me taper sur le système, j'garde pourtant mon calme. Parce que bon, je vaux absolument rien au corps à corps et j'vois pas pourquoi je m'énerverais pour ses beaux yeux, ça lui ferait bien trop plaisir « J'suis pas puceau. » J'devrais faire dans le cinéma, je suis sûr que je serais crédible. À force de répéter la même phrase en boucle, j'ai fini par me convaincre « Merci, mais ça va, j'me porte bien. Et c'est bon, fait toi une raison, tu toucheras jamais à mon cul. » Pas sûr qu'il veuille y toucher, mais on sait jamais avec ce genre de mecs. C'est sûr, je ne me prends pas pour de la merde. Faut dire, que mon frère jumeau est mon miroir. Une parfaite copie de ma petite personne et je le trouve plutôt bandant. Les complexes, je ne connais pas. « Au fait dude, tu pourras peut-être me servir à quelque chose tant que t'es ici. » Ouais, autant qu’il se rende utile au lieu de dire de pareilles stupidités. Autant tenter de rétablir ma réputation avant qu’il ne se mette à parler aux autres. Ouai, mine de rien, ça me fait flipper qu’il sache pour mon petit secret.
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