Il est tard. Une ombre se dessine, Riley. Seul le bruit de ses pas sur les pavés résonne dans pacific street. Un vent frai vient fouetter son visage et ses jambes simplement vêtu d’un short court. Riley ferme sa veste en cuir et plonge ses mains dans ses poches. La tête vide de toutes pensées elle marche tel un zombie en direction de la plage. Après quelques minutes elle aperçoit enfin cette eau bleue et ce sable fin. Le bruit des vagues accompagne à présent le claquement des dr martens sur le sol. Machinalement elle sort une cigarette de son paquet, portant cette tige fine à ses lèvres elle embrase le bout de sa clope à l’aide de son briquet et tire une longue latte. JJ descend rapidement les quelques marches bétonnées amenant sur la plage. Elle laisse ses yeux bleu se perdrent dans l’horizon quelques minutes avant de se ressaisir et d’avancer légèrement. S’arrêtant net elle remarque qu’elle n’est pas seul. Un jeune homme est assis dans le sable, le visage tourné vers la mer. JJ le jauge, tire sur sa clope et entreprend de tracer sa route, seulement prise d’une certaine curiosité elle avance de quelques pas. Surprise, JJ hausse un sourcil et laisse échapper un,
« Tiens t’es toujours en vie. »
Traian. Il avait disparu de la circulation depuis environ une semaine. Riley ne s’était pas vraiment inquiéter connaissant plus que bien le phénomène, elle était maintenant habitué à ce qu’il s’éclipse pendant un moment pour ensuite revenir comme si de rien n’était. Un sourire se dessine vaguement sur les lèvres de la brunette, elle se laisse tomber de tous son long au coter du jeune homme, et le reluque comme à son habitude. Elle remarque qu’il tient entre ses doigts un joint finement roulé, jetant sa clope elle extirpe des mains le bédo de celui qu’elle considère comme son meilleur ami et le porte à ses lèvres.
« Tous le monde te cherche partout, les profs m’ont demandés où t’étais j’leur ai sorti que tu devais surement dormir, j’étais défoncé le jour là et j’ai zapé que ca faisait cinq jours que t’étais pas venu, du coup je te conseille de pas revenir tous de suite parce qu’ils n’ont pas trop aimé.»
Elle tire de nouveau sur le joint et le rend à son propriétaire. Passant ses mains dans le sable elle s’amuse à le faire glisser entre ces doigts, ses yeux aussi bleus que l’eau plonger dans ceux de Traian. Perdue dans ses pensées elle se rendit compte qu’elle le connaissait depuis longtemps maintenant, en effet avant d’être son ami il avait était son mec. Avec lui elle avait passé des journées entières enfermées, à baiser et se défoncer la gueule. Ca avait été un amour fort mais destructeur qui s’était finalement mal terminer, pour JJ. Elle l’avait hait au plus au point pour ce qu’il lui avait dit lors de leur rupture, elle qui n’avait jamais aimé lui avait finalement accordé ce privilège et sa fierté en avait prit un coup lorsqu’il l’avait jeté. Leur réconciliation se passa dans un pieu, ce jour là ils comprirent tous deux qu’ils n’étaient pas fait pour être en couple mais qu’ils ne pouvaient pas non plus ce passé l’un de l’autre. C’est surement mieux ainsi, la relation amical un peu spécial qu’ils entretiennent aujourd’hui et très certainement moins destructrice pour eux, bien que pas totalement saine et normal aux yeux de tous. Sucer son meilleur pote c’est assez bizarre, en fait. Enfin pour les autres.
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Sujet: Re: Traian & Riley ▼ Jeu 31 Mai - 6:05
Petites retrouvailles.
Riley & Tray
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Première fois du mois que je rentrais à la maison ce matin. Je ne m’attendais pas réellement à un accueil comme on peut voir dans les films à l’eau de rose américain mais… Je sais pas, j’aurais espéré juste qu’on m’ignore et qu’on m’laisse revenir dans ma chambre, dormir en paix. J’avais passé toute la nuit à marcher car j’étais un bled à côté d’Oceanside où on avait fait la fête jusqu’au petit matin. Bon j’avoue j’étais revenu un peu à l’ouest si je puis dire. Je m’étais vidé 4 bouteilles entière de vodka à moi seule et étrangement j’avais fumé qu’un pauvre petit joint cette nuit là, je m’épate. En fait à cette fête y’avait surtout des BCBG, fils à papa, très richousse et moi c’est pas trop mon délire voir pas du tout. Ce genre de personne m’exaspère car elles se croient tout permis. Bref, je m’égare, je disais donc que ce matin j’étais revenu chez mes vieux depuis un certain bout de temps, je me suis fais intercepté par mon beau père et celui là, comme d’hab m’a pas loupé. Il a de suite vérifié l’état de mes yeux et mon haleine et m’a foutu une baffe monumentale qui m’a fait claquer la tête contre le mur. Ce con m’a fait saigné mais j’étais si KO que j’ai même pas pu me défendre, et même, qu’est ce que je pourrais faire dans ce cas ? Me battre avec lui ? Ce son serait capable de porter plainte contre moi et vu mes antécédents médicaux et que les flics me connaissent trop bien déjà, je sais parfaitement de quel côté la balance serait : le beau père sans hésitation. J’avais juste eu la force de rouvrir légèrement les yeux et voir ma mère assise sur les escaliers avec sa bouteille de whisky en main. Dire que cette conne est dans cet état à cause de moi, si elle croit me faire culpabiliser et réagir en faisant sa victime, elle peut courir. Je sais que je suis aimé par personne, les 2 chouchoux sont ma putain de sœur et mon connard de frère, qui en passant, je ne vois jamais, mais j’m’en porte pas si mal. Quoique si, j’vois juste ma sœur au lycée, mais l’ignorance on connait très bien. Heureusement, j’eu juste le temps de me relever, difficilement mais j’y suis arrivé et j’me suis barré d’la baraque en les maudissant. Depuis, j’ai marché encore et encore, jusqu’à divaguer un peu en ville. Je voyais tout flou, j’avais chaud, je transpirais, ça faisait 2 jours que j’m’étais pas lavé, j’avais un mal de crâne abominable et je vomissais minimum une fois par heure. Classe non ? D’ailleurs j’ai eu la mauvaise idée de passer devant mon lycée où le directeur fumait à l’entrée et m’a interpellé. De réflexe, j’m’avance vers lui en le regardant droit dans les yeux pour lui montrer que j’ai pas peur mais étrangement lorsqu’il parlait, je voyais ses lèvres bouger mais mes oreilles n’entendaient rien. J’ai un cerveau intelligent, j’sais ! Et sans que j’m’y attende, je lui dégueule à ces pieds et j’me barre en courant pour pas qu’il me colle une retenue de plus. Même si je me doute parfaitement que lorsque j’vais revenir en cours après cette semaine entière d’absence, la retenue j’vais l’avoir, mais pour l’instant si j’peux fuir, je peux.
20h, j’étais enfin à la plage, j’étais assis face à la mer entrain d’me rouler un joint tranquillement. J’avais besoin de prendre l’air et d’me changer les idées vu cette journée merdique. J’m’allume difficilement mon joint, à cause du vent, mais au bout de 5 essaies, j’y arrive. Je me tire une latte et putain que ça fait du bien. J’ai l’impression que tous mes soucis s’envolent à chaque fois, c’est juste magique. Les joints c’est la vie, comment les gens font pour vivre sans ? J’me le demande… J’avais mon téléphone portable à côté de moi et je voyais que j’avais 16 appels en absence dont 7 en inconnu, sans oublier des messages des potes qui m’demandaient où j’étais pour avoir d’mes nouvelles et surtout pour me dire les endroits où y’avaient une putain de soirée pour se défoncer entre pote. Sauf que là, j’voulais être seul, et le bruit de la mer m’apaisait, j’en réclamais pas plus jusqu’à qu’une vois m’interpelle. « Tiens t’es toujours en vie. » Je tournais la tête vers cette voix avec des petits yeux et j’ai de suite reconnu ma Riley. Putain, j’étais encore défoncé d’la veille, car j’avais même pas reconnu sa voix, alors que pourtant c’est pas la 1ère fois que j’l’entend vu notre passé commun. Je ne pris même pas la peine de répondre à sa remarque, j’lui répondis juste avec un petit sourire en lui tendant mon joint légèrement en me doutant parfaitement qu’elle allait m’le prendre tôt ou tard sans m’demander mon avis. Vu que lever la tête vers elle, ça m’donnait trop mal au crâne, je regardais le sable et mes pieds nus dedans en retroussant mon jeans jusqu’à mi-cuisse. J’avais chaud, c’était affreux, limite fallait que j’me foute à poil, mais vu que là on est pas chez les nudistes, j’veux pas que quelqu’un appelle les flics et après passer la nuit chez les poulets, alors là : hors de question. Je me décalais légèrement de quelques centimètres pour faire comprendre à Riley de s’asseoir à mes côtés. Bon, j’voulais rester seul, mais Riley, c’est pas n’importe qui, c’est ma dernière ex en date et c’est la dernière fille avec qui j’ai été in love. C’était fusionnel, passionnel, destructeur, sexuel, mais parfait pour moi. J’aime que Riley soit pas une fille à maman, et qui sache s’éclater. « Tous le monde te cherche partout, les profs m’ont demandés où t’étais j’leur ai sorti que tu devais surement dormir, j’étais défoncé le jour là et j’ai zapé que ca faisait cinq jours que t’étais pas venu, du coup je te conseille de pas revenir tous de suite parce qu’ils n’ont pas trop aimé.» Les cours, les cours, toujours les cours. « A mon retour, j’vais m’faire défoncer de toute façon. Cette aprem j’ai gerbé aux pieds du dirlo et j’pense que lorsque j’oserais refoutre les pieds dans ce bahut de merde, il va pas me louper. Chance à moi. » Je dis cela sur un ton blasé, avec une voix assez enroué. J’osais même pas parler normalement au niveau de l’intensité d’ma voix, sinon mon mal de crâne allait ressurgir.
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Sujet: Re: Traian & Riley ▼ Dim 3 Juin - 16:52
JJ hausse un sourcil. Putain il a gerbait aux pieds du dirlo, ce mec m’épatera toujours, se dit elle. Elle sourit tout en laissant son regard se perdre dans l’horizon. Elle était contente de le revoir même si elle n’en laissait rien paraitre, il lui manquait toujours un peu lorsqu’il partait pendant longtemps.
« putain t’es vraiment pas doué, tu pouvais pas gerbé ailleurs que sur le dirlo ? j’sais que sa gueule donne envie de dégueuler mais quand même »
Elle rit légèrement et récupère une nouvelle fois le bédo, inspirant de grande bouffé elle s’amuse à recracher la fumée en forme de rond avant de repasser le joint à Traian. Elle tourne la tête vers lui, il à l’air fatigué, ses yeux sont plissé et injecter de sang néanmoins il reste l’un des mecs les plus beaux qu’elle ne connaisse.
« si t'as pas envie de rentrer chez toi cette semaine, tu peux venir squat hein, jte mettrais les clé sous le paillasson où tu passeras par la fenêtre comme tu veux. »
Ouais Riley savait pertinemment que le beau père de Traian allait encore péter un câble lorsqu’il rentrerait donc si elle pouvait lui éviter une énième confrontation pendant quelques jours autant le lui proposer, de toute façon sa mère n’est jamais à la maison donc il n’y aurait pas de soucis la dessus. Levant la tête vers le ciel elle remarque que le ciel est étoilé. Un petit sourire en coin se dessine au creux de ses lèvres. Décidant de s’allonger elle se laisse tomber en arrière, tant pis pour ses cheveux qui seraient parsemé de sable.
« ca fait longtemps qu’on à pas été à une fête tous les deux. »
lance t-elle le regard vide, non elle ne disait pas que cela lui manquer, elle l'insinuait n'aimant pas avouer qu'elle avait besoin de lui, de le voir. Le regard plonger dans les étoiles elle se remémore les dernières soirées qu'ils avaient passé ensemble, généralement ces deux là lâcher à une fête c'était plutôt le gros bordel. Elle sourit une nouvelle fois en repensant à toutes les conneries qu'ils avaient pu faire.
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Sujet: Re: Traian & Riley ▼ Mar 5 Juin - 20:15
Petites retrouvailles.
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Cette Riley, je ne pourrais jamais me passer d’elle-même si j’avoue qu’à une certaine époque, l’idée m’est passée par la tête. Mais heureusement que je ne suis pas allé au bout de mes idées et qu’elle est encore là à mes côtés, j’aime bien notre relation, sans prise de tête, on se défonce, on rigole, on s’fait plaisir. Rien de tel que pour embellir mon monde et me faire oublier mes tracas quotidiens. Certes, je ne montre jamais rien de mes pseudos faiblesses, mais je crois que si Riley m’avait lâché, je n’en serais peut être pas là où j’en suis. Je serais peut être même plus de ce monde.
« Roh c’est bon viens pas m’saouler là, c’est que d’la gerbe. Ces pompes à 200 dollar ils se les repaient en triple s’il veut tellement il est friqué ce mec. »
Je pouvais pas me le blérer ce mec, il était d’une inutilité monstre. Ah si, faire chier les gens, ça il adorait, d’ailleurs je crois qu’il me kiffait à mort tellement il me convoquait dans son bureau. D’ailleurs tout le long de cette semaine, son bureau tout beau tout propre m’avait manqué ! Je suis vraiment sérieux lorsque j’pense, c’est ça le plus effrayant en fait.
« T’en fais pas, je sais que ta house is my house. »
Je me retournais vers Riley entrain de fumer mon joint et je lui repris aussitôt qu’elle me le tendit. Il en restait à peine la fin et j’me gênais pas pour la finir en quelques lattes. Après tout, dormir chez les autres c’est mon lot quotidien, toujours là à traîner chez tout le monde et à espérer qu’on m’héberge cette nuit juste pour avoir un toit sur ma tête. C’est d’ailleurs pour ça que les soirées existent, au moins je suis sûr d’avoir un toit sur la tête jusqu’à 5h du mat par là, et après c’est les copains qui s’chargent d’me ramener chez eux tellement je suis mort la plupart du temps. Je retournais mon regard vers l’océan entrain de regarder les quelques étoiles qui commençaient à apparaître en sentant Riley s’allonger à côté de moi, je ne pus m’empêcher de sourire en sentant cela. Pourquoi ? No idea, la défonce peut être, parfois faut pas chercher à comprendre les choses mais juste se contenter de les vivre. Pourquoi se poser 1000 questions alors que la vie est absurde ? J’me suis même demandé si elle méritait d’être vécue. Une fois mon joint finit, je jetais ce qu’il restait au loin devant moi sans gêne. Polluer ? Rien à battre, si j’ai une vie, c’est pour me défoncer, non m’occuper de ce qu’on appelle la planète bleue qui est plutôt pour moi la planète noire.
« J’avoue que ça fait un moment qu’on est pas sorti ensemble. »
Je retournais légèrement mon visage pour elle en voyant ses cheveux se mélangeaient au sable ce qui me fit encore plus sourire et je me laissais tomber à la renverse comme une merde pour être allongé à ces côtés. De réflexe je mis ma main sur son ventre et je lui caressais à travers son haut. J’adorais les ventres plats chez les femmes, et j’en sais rien, c’est mon truc, encore une fois faut pas chercher.
« T’as branlé quoi cette semaine à part me couvrir en cours bien évidemment. »
Je tournais ma tête vers elle pour chercher son regard des yeux pour plonger les miens dans les siens. A nous voir on dirait un petit couple romantique à la con. En plus sur la plage, ça arrange pas mon cas, mais j’avais besoin d’affection face à une telle journée.
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Sujet: Re: Traian & Riley ▼ Mar 5 Juin - 21:58
Insouciant, Traian est insouciant et le meilleur la dedans c’est que Riley l’est tout autant. Rien à foutre d’être dans la merde, de faire n’importe quoi de leurs vies, ils font ce qu’ils veulent quand ils le veulent et c’est surement garce à leur façon identique de voir les choses qu’ils arrivent à se supporter. Elle rit légèrement et ne répond rien, il avait raison de tout façon cet enculé de dirlo n’était qu’un gros bourge de merde bon qu’à faire chier la populasse pour oublier que sa vie est nulle. L’idée de savoir que Trai allait surement ramener ses fesses à la maison Carter dans les jours à venir lui fit plaisir, un petit sourire se dessina aux coins de ses lèvres.
« Exact. Et puis si tu passes je prévoirais de quoi ce mettre bien. »
Quand est elle devenue accro ? Riley ne s’en souvient pas vraiment. A vrai dire elle a commencer les joints à l’âge de 15ans environ, le reste n'ai venu que plus tard. Une chose est sur la relation qu’elle avait entretenu avec celui qui était aujourd’hui son frère, son meilleur ami, l’avait fait couler un peu plus. En fait, ils avaient sombré ensemble, main dans la main, ils étaient tombé un peu plus qu’ils ne l’étaient déjà dans le gouffre de la drogue et de l’alcool, dans le cas de Trai.
« ca m’manque de pas m’incruster à une fête chez des p’tits bourges qu’on connaient pas. »
Elle termine sa phrase par un clin d’œil et s’allonge dans le sable, ses mains jouent avec celui-ci, elle se perd dans le ciel. Rapidement elle sent Trai se laissait tomber à coter d’elle ce qui lui décroche un nouveau sourire, surement la seule personne sur terre capable de la faire autant sourire sincèrement en si peu de temps. La main de Traian vient se poser sur le ventre de la brunette ce qui lui procure un léger frisson, elle profite de ses caresses en fermant quelques secondes les yeux.
« J’ai branlé quoi ? la bite de ton voisin tiens. » sarcastique et direct à souhait « non plus sérieusement, j’ai trop rien foutu, deux trois soirées.. Ah si j’ai été chercher ma dope chez un mec.. laisse tomber le plan foireux m’enfin c’était plutôt comique »
Sentant le regard de Trai se poser sur elle, JJ tourne la tête en direction des yeux du jeune homme, plongeant son regard océan dans ceux ci. La main de Trai toujours sur son ventre elle s’approche légèrement, se collant un peu plus à lui. Ils avaient besoin de se toucher, de garder un contact physique bien qu’ils se considéraient maintenant comme frère et sœur, c’était ainsi, leur corps se retrouver toujours comme attirer même si ca ne dépassait jamais les préliminaires.