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| NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale | |
| Auteur | Message |
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MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Jeu 24 Mai - 22:49 | |
| next time, i will let you rot in jail! ft. Dale« Mae’ … si t’es libre ce soir… on pourrait peut-être… » ….Ew? Le regard subjectifs de son supérieur et ses insinuations comme quoi il voulait VRAIMENT la voir en dehors des heurs de boulot – qu’elle passait à 50% sous le bureau pour avoir son job le lendemain, suffit à la mettre hors d’elle. Non. Ce soir, c’était jeudi, le soir où les fêtards de son immeuble crade étaient de sortie. Le soir où elle avait droit au silence. Hors de question qu’elle sacrifie son temps libre pour s’enfiler un vieillard sur viagra. Niet! Pour la peine, elle lui jeta un regard de pure mépris – ce n’est pas parce qu’on est à genou devant lui qu’on doit forcément avoir l’air d’aimer ça – avait attrapé son sac et pris la porte sans un mot. Qu’il la vite si ça lui chantait, il ne trouverait pas d’autre employée aussi désespérée au point de lui rendre service! En mode liberté, notre brunette n’avait pas perdu une seconde pour regagner son domicile. Oh jeudi soir, ce soir serait un moment de pure bonheur et Maelyn le savourait déjà. Pas de boulot pour l’embêter, pas de copies à corriger, rien! Pour une fois, elle passerait une bonne nuit de sommeil dans son propre lit et non pas à bout de force sur une pile de papiers environnementaux au bureau. Ainsi, prête à savourer ses instants si rares de solitude – et au moins aussi agréable qu’une bonne baise, qu’on se le tienne pour dit – notre peste avait balancé ses fringues dans un coin de son logis, enfilé un short de pyjama à motif léopard et son T-shirt Mickey Mouse. Abandonner son habituel titre de carte de mode ambulante? Oh que oui! C’est donc dans la plus grande sérénité que la soirée c’était déroulée, elle, enveloppée dans son snuggie, blottie sur son sofa avec pour seule compagnie son gros chat obèse et le dernier épisode de sa série préférée. Oui, ça lui avait bien effleuré l’esprit que de vivre comme ça, à 29 ans, c’était minable…Mais d’un autre côté, elle était libre des rides, libres de l’engagement… et ça faisait bien son affaire. Elle préférait mille fois vivre comme une bohème que de devenir une incubatrice sur pattes, mère de dix enfants! La solitude, il n’y avait que cela de vrai… Tu sais Mae… quand on ne peut faire confiance à personne, ce n’est pas étonnant…La ferme narrateur! Ainsi donc, somnolant, béate de bonheur et persuadée que rien ne viendrait le troubler dans son sommeil réparateur, elle avait fini par s’assoupir, espérant ne pas avoir à abandonner ses rêves avant l’aube… Mais elle devait avoir la poisse, pas de doute, parce qu’à 2 :00 AM tapant, le son infernal de son téléphone la tira des bras de Morphée. D’abord, on cligne des yeux, ensuite, on s’étire et finalement, prise de panique, on se jette sur le téléphone. Elle pensait toujours au pire : la mort d’un parent, un accident, n’importe quoi mais ce maudit téléphone était signe de mauvais augure… Du coup, le cœur battant la chamade, elle porta le combiné à son oreille, une minute inquiète avant de reconnaître la voix qui la mis immédiatement dans un état de colère noire. Le ton sec, elle lança : - « P*tin Freeman, tu peux pas t’auto-satisfaire en pleine nuit comme tous les pré pubères de ton âge, et me laisser DORMIR ?!? » Irritée, oh que oui. Furax? Et le mot est faible! Et sans un mot de plus, elle raccrocha le combiné avec force, manquant de l’envoyer contre un mur dans sa crise de colère. Dans cet état, dormir était impossible…Sans compter que la menace planait : elle l’envoyait balader sur une base routinière…. Mais de là à ne pas obéir? C’est autre chose, elle craignait beaucoup trop qu’il dévoile le pot aux roses…Et comme faire le trottoir n’était pas encore dans ses options de plan de vie, autant conserver son boulot. C’est donc pour cette raison que, d’un air grognon, elle attrapa son sac à main et ses clés de voitures. Seul changement sur sa tenue pyjama mode? Elle lui fit quand même l’honneur de se brosser les dents avant de partir, plus pour elle-même que pour réellement lui montrer qu’il était important. Ainsi donc, dans ses shorts léopards, elle pris le volant de sa voiture et conduit direction abruti de service. Si elle c’était calmée en chemin? Pas un brin, surtout pas quand elle se mit à tambouriner sur sa porte avec force, rouge de rage pour lui hurler au visage, dès qu’il lui ouvrit : - « C’est quoi l’urgence?! J’te préviens tout de suite que si c’est pour me dire que t’es précoce, je le sais déjà! » … Non, elle n’est pas agréable avec du sommeil, alors imaginée en pleine nuit! |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Jeu 24 Mai - 23:18 | |
| J'avais toujours eu la vie facile, comme quoi... Certains avaient de la chance, j'étais probablement la pire enflure de la ville, ou au moins du lycée, et pourtant, Dieu continuait de me faire des fleurs, encooooooooore et toujours. Une justice ? Je doutais qu'il en exista réellement une et dés lors, je n'en avais clairement rien à foutre de ce qui se traînait autour de moi tant que ça ne m'atteignait pas, tant que je ne pouvais pas en tirer quelque chose. Et lorsqu'il s'agissait de profiter des autres, je savais manipuler avec génie le psychique de mes victimes. Je ne m'attaquais généralement pas à des proies difficiles, plutôt des filles sans importances qui tombaient raides dingues de moi et qui m'offraient tout ce que je voulais. Je dis bien tout. Et puis au delà du sexe.. Il y avait d'autre plaisir. Par chance j'avais un jour surpris ma chère avocate entrain d'astiquer le manche de mon cher proviseur, j'avais encore une fois été envoyé dans son bureau et puisque je n'étais pas un modèle de politesse je ne me souciais pas de toquer à la porte, j'avais donc découvert avec grand étonnement (et surtout beaucoup d'amusement) la Dawner entrain d'offrir une petite gâterie au boss de l'établissement. Elle m'avait aussitôt supplié de ne rien dire pour ne pas perdre son emploi et sa réputation et forcément... J'en tirais les bénéfices. Sur la base simple du chantage, je la faisais faire ce dont j'avais envie et ce, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, si j'avais faim, je lui demandais de me ramener à manger, si j'avais soif, à boire, etc, etc.. Je m'amusais de plus en plus à l'appeler pour des choses futiles, jubilant de la voir folle de rage. J'avais passé la soirée seule, totalement, mes parents étaient partis pour quelques jours en voyage " d'affaire " ou je ne sais quoi (rien à foutre...) et j'étais donc pépère, j'avais traîné presque à poil toute la journée, m'étais doré la pilule, j'avais nagé, fumé des joints, regardé Into the Wild pour la 387e fois et finalement... j'avais décidé d'appeler Maelyn Dawner a 2h du matin. « P*tin Freeman, tu peux pas t’auto-satisfaire en pleine nuit comme tous les pré pubères de ton âge, et me laisser DORMIR ?!? » avait-elle répondu, apparemment de mauvaise humeur et sans que j'ai le temps de dire quoi que ce soit. Elle raccrocha, me laissant hilare à l'autre bout du téléphone. Quelques minutes plus tard, on frappait à la porte. Alors que je ne m'attendais pas à la voir, me résignant à l'idée qu'elle s'était recouchée.. En fait non, elle avait accouru, tout naturellement. Je vins lui ouvrir. « C’est quoi l’urgence?! J’te préviens tout de suite que si c’est pour me dire que t’es précoce, je le sais déjà! » lança-t-elle durement. Je la regardais un instant avant de me mettre à rire et de l'inviter à entrer d'un geste de la main. Je n'étais vêtu que d'un simple caleçon, le stricte minimum selon moi, et encore. « Je m'ennuyais et j'aimerais que tu me tiennes compagnie. » rétorquais-je avec légèreté en me dirigeant vers ma chambre qui donnait sur la terrasse. Je m'installais sur le lit et lui demandais avec humour « Tu me ferais un strip tease ? Ca m'aiderait à m'endormir, franchement.. Et puis vu comme t'es habillée, franchement, tu serais mieux à poil, on dirait une gamine de 12 ans et après c'est moi que tu traites de prépubère. Ahah.Nan plus sérieusement... Détends toi ok ? Tu veux fumer ? » sans attendre sa réponse je me redressais pour saisir mon matériel de roulage, feuille, tabac.. weed... |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Ven 25 Mai - 0:06 | |
| Une petite partie d’elle-même espérait quelque part que la porte ne s’ouvrirait jamais, que ce n’était qu’une mauvaise blague, un cauchemar et qu’il n’avait pas vraiment importuné son repos pour lui pourrir la vie… Et pourtant, elle aurait tout autant apprécié que ne jamais être découverte pendant ses tentatives de copier Harry Potter – ce n’est pas comme ça qu’on appelle jouer avec la baguette magique du proviseur – oui bon bref. Ça non plus ça n’avait pas été un mauvais rêve…comme quoi, avec Dale, aussi merdique et chiant que ça puisse être, c’était réel! Et une fois de plus, elle eut la confirmation que Dieu la détestait personnellement – jaloux de ses yeux à vous damner? – lorsque la porte s’ouvrit sur son tortionnaire. « Je m'ennuyais et j'aimerais que tu me tiennes compagnie. » Et puis quoi encore? Maelyn releva son minois furieux vers lui, roulant les yeux pour bien lui montrer qu’elle ne gobait pas un mot de ce qu’il disait, et peu importe comment il le disait! Qu’on lui donne un prix pour ne pas avoir flanché devant le corps à moitié nu de son vis-à-vis, bien des femmes auraient perdu l’usage de leurs langues après ça! Ou du moins… l’auraient utilisée pour autre chose que formuler des insultes! Mais pas notre avocate, elle avait la force jedi pour résister aux emmerdeurs et surtout, oui surtout, elle n’en était plus à son premier corps mâle à voir. Dis comme ça… t’as l’air d’une trainée…Bah… c’est pas totalement faux quand on y pense… AHEM! Oui donc, la fureur, colère des dieux, pas lourds et énervé… oui mais, entre temps, tu lui as quand même emboité le pas… T’es entrée dans l’antre du dragon… La ferme narrateur!
- « Tu sais, il y a des lignes d’écoutes pour les ado’ dépressifs, qu’est-ce qui va pas, ta copine t’as largué, ton chien est mort… »
Truc numéro un quand vous devez gérer un monstre? Lui hurler dessus avant de le laisser s’exprimer. Bon, ça ne réglait rien, ça le faisait sourire limite, de voir votre mauvais caractère…mais c’était sacrément défoulant. Ah mais le voilà, le point positif de se faire chier nuit et jour par un môme! Elle n’avait pas à faire d’effort pour être civilisée. Aussi grossière, arrogante et violente qu’elle puisse être, il ne semblait pas s’en catégoriser…Avec lui, pendant une nano-seconde, elle n’avait pas à avoir cette crainte de ne pas être à la hauteur qui la hantait depuis 29 ans. Ça ne le rendait pas moins chiant hein… Bon il était bon à enfermer mais, on prend ce qui passe! Et pour l’instant, il était encore supportable... Jusqu’à ce qu’il ouvre la bouche. « Tu me ferais un strip tease ? Ca m'aiderait à m'endormir, franchement.. Et puis vu comme t'es habillée, franchement, tu serais mieux à poil, on dirait une gamine de 12 ans et après c'est moi que tu traites de prépubère. Ahah.Nan plus sérieusement... Détends toi ok ? Tu veux fumer ? ». Ok, bien joué, ça, elle ne s’y attendait pas. Notre brunette se contenta de le dévisager avec un air complètement pris de court. Pas qu’elle soit prude hein… elle avait plus d’antécédent de danse à poil sur des tables que n’importe quelle lycéenne respectable – ah, la vie de débauche qu’elle avait pu mener – mais elle ne comptait pas du tout lui faire se plaisir! Les mecs, tous les mêmes. Reprenant son sourire provocant, chiant, celui qui semble bon qu’à le faire enrager, qu’à se montrer supérieur, elle lança :
- « Ah Freeman…. Ça ne risque pas d’arriver tu le sais ça? Faudra continuer à fantasmer… je ne voudrais pas choquer tes yeux pures de puceau avec mon sex-appeal! Et au lieu de me critiquer, enfile donc quelque chose tu me file la nausée, ce que t’es moche! »
... Ça t’arrive de réfléchir avant de parler? Non. Non non et non! Surtout pas à deux heures du matin. Là, elle voulait dormir, pas qu’il critique son pyjama ridicule – d’ailleurs oui, après l’avoir entendu s’en plaindre, elle avait un brin honte. Soupirant, parce qu’elle s’emmerdait, parce qu’elle refusait catégoriquement de lui faire un strip-tease et espère qu’il oublie la proposition une fois bourrée, elle s’approcha du lit – quitte à être coincée là, autant se mettre confortable et elle n’avait pas l’habitude d’être timide – s’y laissant tomber en soupirant.
- « T’as pas quelque chose de plus fort qu’un joint? T’endurer à jeun c’est pas vivable! »
…. Et non, avocate mais pas sainte! Vous la prenez pour qui tsss.
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| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Ven 25 Mai - 0:35 | |
| Je m'installais sur mon lit et commençais donc à rouler un joint, j'égrainais les têtes de marijuana pour les mélanger au tabac, transposant le tout sur une feuille slim, un ptit carton déjà plié à disposition posé sur ma table de chevet, j'étais confortablement assis, les coussins calés derrière mon dos, lorsqu'elle reprit finalement la parole « Ah Freeman…. Ça ne risque pas d’arriver tu le sais ça? Faudra continuer à fantasmer… je ne voudrais pas choquer tes yeux pures de puceau avec mon sex-appeal! Et au lieu de me critiquer, enfile donc quelque chose tu me file la nausée, ce que t’es moche! » avait-elle rétorquer, ce qui une fois de plus, avait provoqué chez moi l'envie de lui rire au nez. Je ne fis rien, me concentrant uniquement sur le roulage du pétard, je souriais, moqueur, ne prenant absolument pas en compte ce qu'elle venait de dire; elle n'était qu'une idiote et si ça lui plaisait de m'insulter, si ça la faisait se sentir mieux, alors soit, ça ne m'atteignait pas, je n'avais rien à faire de ses remarques débiles, de ses plaintes... C'était la seule chose qu'elle pouvait faire après tout contre moi, j'étais en position de force et elle le savait, elle avait beau me lyncher sur mon âge, elle s'était faite avoir et j'étais beaucoup plus malin qu'elle. Je n'avais pas l'intention de m'habiller, j'étais chez moi, elle devait s'estimer heureuse que je ne lui ai pas ouvert complètement à poil, j'avais fait l'effort de mettre un caleçon. Je coinçais le joint entre mes lèvres pour l'allumer tandis qu'elle prenait place sur le lit et me demandait si je n'avais pas quelque chose de plus fort qu'un joint, puisqu'apparemment j'étais trop insupportable. Je levais les yeux vers elle, un sourire arrogant sur les lèvres. Elle me cherchait et m'insultait, et si ça ne m'atteignait pas, je n'avais tout de même aucun scrupule à lui rendre la pareille, c'était donnant donnant après tout, et si elle commençait à me chercher des noises j'allais pouvoir lui montrer que j'avais plus de répartie qu'elle ne le pensait et que ce n'était pas car elle avait dix ans de plus que j'allais m'écraser devant elle, après tout, elle le savait, rien ne me faisait peur. Elle était celle qui me défendait lorsque la justice m'attrapait, lorsque j'étais hors la loi.. C'était arrivée deux ou trois fois, elle avait toujours bien fait son boulot, elle avait toujours réussit à convaincre tout le monde que ce serait la dernière fois, et pourtant... Elle savait que c'était faux, que je n'en avais rien à faire, et mes parents ? pff, ils se contentaient de payer la caution pour me faire sortir, rien de plus. Me mettre dans un centre de désintox ? C'était exclu, leur réputation en prendrait un coup, ils préféraient largement qu'on m'arrête de temps en temps pour possession de stupéfiant, c'était moins pire. " Et si t'allais tapiner histoire de te payer une dose de coc ? C'est ça que tu veux ? De la coc ? Et bah.. Tout se paye; Tu sais à combien est le prix du gramme hein ? C'est de la pépite. " ok l'argent n'était pas un problème pour moi mais pour elle si, et je prenais un plaisir à en jouer. C'était purement dégueulasse mais qu'est-ce que ça pouvait me foutre franchement ? J'allumais donc le joint et tirais plusieurs lattes dessus, ce n'était pas assez fort pour elle hein ? Tant pis alors. Je le garderais pour moi. " Sérieusement, tu devrais arrêter tout de suite de faire la grande sous prétexte que t'es plus vieille que moi, tu sais aussi bien que moi que je pourrais détruire ta petite carrière minable en quelques secondes. Tu devrais être beaucoup plus gentille avec moi. Beaucoup, beaucoup plus gentil. " je lui adressais un sourire pervers avant de tirer à nouveau sur le joint pour finalement, dans un geste de générosité immense, le lui tendre. " Tu m'en diras des nouvelles. " Je décidais alors de poser les yeux sur elle plus en détail, elle portait un pyjama très singulier, ridicule surtout, le bas passait.. des motifs léopards, c'était en vogue en ce moment, mais le t-shirt mickey, c'était comme un soutien-gorge hello kitty, on faisait pas plus tue l'amour, dans le genre gamine vierge... A son âge, ça avait quelque chose d'assez pathétique, au fond, elle l'était.. Elle était célibataire, obligée de tailler des pipes à un vieux con pour garder son emploi.. J'aurais put alléger ses peines et ne pas profiter de la situation, mais le fait était que je ne pouvais pas m'en empêcher et en plus des tracas qu'elle avait déjà, je lui ajoutais un énième soucis : adolescent insupportable qui a besoin d'un esclave. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Ven 25 Mai - 1:40 | |
| Notre brunette observait ses moindres mouvements, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il avait l’habitude de se rouler des pétards… pas qu’elle en ait douté mais d’en avoir une telle preuve, une vraie expertise de pro, la forçait à remettre en question sa défense, la prochaine fois qu’elle devrait sauver ses fesses en Cour! En même temps…ce n’est pas comme si elle c’était déjà imaginé que Dale était un saint. Il était déficient, à mieux, dangereux au pire. C’était probablement la seule personne au monde qu’elle pouvait considérer comme pire qu’elle. Se comparer à ce mec totalement antipathique ça avait quelque chose de thérapeutique. En le voyant se ficher de tout et de tout le monde, elle en venait presque à ne pas se trouver totalement déficiente envers ce monde qui l’écœurait tant. Même si 99% de ses émotions étaient de la colère, au moins elle, elle pouvait ressentir quelque chose! Un soupire, un bâillement, pour quelle raison analysait-elle se loser? Il avait un problème, ça c’était certain, mais elle n’avait aucune envie de jouer les psychiatres, imaginez ce qu’elle pourrait trouver! Faisant comme chez elle, elle l’avait bousculé sans gêne pour s’installer confortablement sur son lit à lui, déterminée à continuer sa nuit dans les prochaines minutes, comme il n’avait visiblement rien de prévu… Mais non, il fallait qu’il parle, encore, sur le même ton, celui qui avait le don de l’énerver, de cibler ses moindres points faibles et d’appuyer, comme s’il voulait s’amuser à torturer une plaie déjà béante. « Et si t'allais tapiner histoire de te payer une dose de coc ? C'est ça que tu veux ? De la coc ? Et bah.. Tout se paye; Tu sais à combien est le prix du gramme hein ? C'est de la pépite. » Un nouveau roulement des yeux, elle allait se taper une migraine…Devait-il vraiment lui ramener ses problèmes en pleine gueule? Si elle était pour endurer une remise en question de ses choix de vie, elle préférait encore le striptease, au moins il aurait une incapacité momentanée à la déprimer…Sur un ton qu’elle voulait léger mais qui cachait mal son irritation, elle rétorqua :
- « Il est plus que temps que j’augmente mes tarifs pour te sortir de prison la prochaine fois, vu comme t’aime t’attirer des ennuis… »
Sans lui demander son avis, elle s’était approchée de lui et lui avait piqué un coussin stratégique, juste assez pour lui enlever son petit confort. Quoi c’est puéril? Oh que oui! Mais devant une telle démonstration de mauvaise foi, notre avocate en oubliait presque qu’elle devait être mature! Il voulait lui faire la guerre, alors tous les moyens étaient bons! Une fois bien certaine de l’avoir déranger, elle installa la coussin dans son dos, se callant plus confortablement. Ne devrait-elle pas remettre sa présence en question… elle était quand même bien écrasée sur le lit d’un élève…Mais au point où elle en était, ça ne serait plus une entache à sa réputation qui devrait lui faire peur. Et telle un tortionnaire d’expérience, Dale lui fit remarquer à nouveau : « Sérieusement, tu devrais arrêter tout de suite de faire la grande sous prétexte que t'es plus vieille que moi, tu sais aussi bien que moi que je pourrais détruire ta petite carrière minable en quelques secondes. Tu devrais être beaucoup plus gentille avec moi. Beaucoup, beaucoup plus gentil. » … Et le voilà, cet air dégoutant, cet air méprisant, pervers, cet air de connard que la majorité des hommes en position d’autorité ont tendance à aborder. Mais au moins, aussi humiliée et impuissante qu’elle était, elle refusait de montrer son désarrois, elle affichait cette mine en contrôle, fier, parce qu’au fond, il n’y a que son égo qui la tien en un seul morceau… Au moins, il lui tendait son joint… Qu’elle saisit sans une seconde d’hésitation, le portant à ses lèvres pour en tirer quelques lattes – elle allait se gêner pfff – avant de lui tendre à nouveau, un sourire amusé aux lèvres :
- « Pas mal… Beaucoup plus gentille? Hmmm…comment? Tu as des recommandations peut-être? »
Prenez garde de l’eau qui dort… pour la peine, de l’avocate fourbe! Répondant à son air entendu par un sourire des plus suggestifs – s’il y avait une chose que l’âge lui avait appris, c’est bien de jouer de ses charmes – elle c’était approchée un minimum, déposant sa main sur la cuisse de l’abruti qui avait osé la réveiller. Une chance qu’elle avait de l’assurance parce que contrer l’effet Mickey Mouse c’était une chose ardue! Laissant ses doigts déambuler un instant, elle c’était approchée un brin laissant son autre main s’appuyer sur le torse nu du maître des lieux… Elle c’était approchée un peu plus, d’un air félin, tout en douceur……Et évidement, inclinée vers lui, avec cet air langoureux, elle lui avait tiré son sourire le plus chieur en le bousculant brusquement, regagnant sa position initiale : bien éloignée. Bon, ce fut sans grand effet, mais ça allait mieux sur ses nerfs.
- « Ça ne risque pas d’arriver, même pas en rêves, gamin! T’es à ce point indésirable qu’il te faut menacer les femmes pour qu’elles t’approchent…mon pauvre, tu me fais pitié. Ce n’est pas d’une avocate que t’as besoin, c’est d’un psy’ et de cachets. »
Et sur ce, elle lui chipa son joint à nouveau. Vraiment, une femme charmante! |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Ven 25 Mai - 10:20 | |
| « Il est plus que temps que j’augmente mes tarifs pour te sortir de prison la prochaine fois, vu comme t’aime t’attirer des ennuis… » me dit-elle et je haussais les épaules, n'en ayant absolument rien à foutre, après tout, ce n'était pas moi qui payais les frais d'avocat alors qu'est-ce que ça pouvait me faire qu'elle augmente ses honoraires ? Sur un ton désinvolte et complètement détaché je lui rétorquais « Bah quoi ? Ton patron te paye pas assez bien malgré les services que tu lui rends ? Tu veux que j'aille lui dire ? » Il y avait des aspects positifs à ma condition, le fait d'être complètement protégé de tout état d'âme me rendait éhonté et culotté, je ne craignais rien, pas même les forces de l'ordre, je n'acceptais pas que l'on puisse me dominer et être en position de force, dés lors je savais qu'il fallait que je fasse tout pour toujours avoir le dessus, j'y arrivais plutôt bien, les personnes de l'autorité du lycée me voyaient seulement comme un garçon turbulent et un peu imbus de lui même, rien d'alarmant, pour la police je n'étais qu'un jeune inconscient, riche et ne sachant pas quoi faire de son argent. Ma mère abandonnait de jour en jour toute tentative de communication et rêvait de me voir finir mes jours avec la voisine Drizzle Burrows. Pour ce qui était de Maelyn Dawner.... Elle croyait tout savoir sur moi et faisait des tentatives de vannes débiles, infondées, sur ma sexualité qu'elle croyait inexistante alors qu'elle était bien loin de savoir que je pouvais me trouver une fille en un seul coup de fil, une fille consentante et gratuite. Je lui avais donc fait savoir qu'il fallait qu'elle se comporte mieux si elle ne voulait pas que je détruise sa carrière, après tout j'en avais les moyens, si mes parents apprenaient qu'elle couchait pour garder on job au bahut, ils trouveraient un autre avocat pour me défendre, c''était certain, et ils lui feraient sans aucun doute une réputation des plus désastreuse. De plus, pour elle, il n'y avait rien de bon à ce que je raconte qu'elle faisait des gâteries à son boss pour arrondir ses fins de mois. Elle commença alors à s'approcher, j'arquais un sourcil alors qu'elle posait ses mains sur moi, me demandant clairement à quel jeu elle était entrain de jouer, et si elle s'imaginait que j'avais une quelconque envie de la baiser elle était bien loin, de la réalité, elle me répugnait au contraire, une catin qui ne méritait pas qu'on la respecte, elle n'avait pas assez de respect pour elle même pour se trouver un autre job, elle préférait tailler des pipes. Je ne la trouvais cela dit pas attirante du tout, j'avais une préférence réelle pour les filles qui ne se laissaient pas faire, elles étaient plus intéressantes, les autres c'était simplement des trous pour se vider.. Elles n'étaient bonnes qu'à ça, c'était le cas de Maelyn apparemment, j'avais un peu plus d'estime pour elle avant de ne la surprendre à quatre pattes devant son patron, mais elle avait à présent perdu toute crédibilité. Elle se recula finalement, j'étais complètement passif, défoncé par le joint, elle me dit « Ça ne risque pas d’arriver, même pas en rêves, gamin! T’es à ce point indésirable qu’il te faut menacer les femmes pour qu’elles t’approchent…mon pauvre, tu me fais pitié. Ce n’est pas d’une avocate que t’as besoin, c’est d’un psy’ et de cachets. » je levais péniblement les yeux vers elle et lui prenait les joints des mains, bizarrement, je me demandais pourquoi elle s'efforçait à me dire toutes ces conneries ? Par simple vengeance parce que je lui faisais voir de toutes les couleurs ou bien car elle en avait quelque chose à faire ? Je l'effrayais peut être.. « Quelle pétasse...» lâchais-je avant de sourire, tirant sur le joint avec ardeur. J'en recrachais la fumée et m'étalais définitivement sur le lit, les yeux à demi clos. « Bon, tu me fais un massage ?.» |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Ven 25 Mai - 12:45 | |
| Freeman, il avait cette capacité surhumaine de la mettre hors d’elle, à croire qu’il était fin psychologue pour viser en permanence la faille dans la carapace de marbre qu’elle c’était forgée avec le temps. Ça ou il avait un instinct méga-développé pour être un chieur de classe mondiale. En temps normale, Maelyn aurait tout simplement ignoré ses remarques, en fait, venant de n’importe qui d’autre, elle s’en serait probablement fiché… parce que n’importe qui d’autre n’aurait pas eu ce dédain, ce mépris si unanime à son égard à chacun des mots prononcés. Le dégoût qu’elle pouvait lui inspirer, il n’était qu’une pâle copie de celui qu’elle avait envers elle-même. Non parce que… avec un égo comme le sien, en être réduite au rang de secrétaire sous le bureau ne lui plaisait guerre, elle avait même du mal à se regarder dans une glace sans bouillir de honte contre la loque qu’elle était devenue…Alors qu’il lui rappelle avec une franchise aussi déroutante – pas un mot pour tenter d’amoindrir le choc, pas une étincelle de rancune pour laisser croire qu’il exagérait, non, ce qu’il disait, il le pensait – ça suffisait à lui donner des envies de se jeter par la fenêtre. Vraiment… un mioche qui lui faisait la morale sur sa vie, ce qu’il ne faut pas entendre. Tirant sur le joint un moment, elle espérait vraiment que ça suffisait à lui embrouiller les idées et à chasser ce sentiment désagréable d’échec qui ne la quittait plus… Ah mais, à quoi bon, ce crétin qui la faisait chanter n’avait que cela à faire, lui remémorer sa piètre condition! Elle avait beau l’insulter, le bousculer, rien n’y faisait, il restait de marbre. Ça avait quelque chose de frustrant, de profondément vexant, qu’elle puisse prendre les nerfs au quart de seconde et que lui, rien, mais alors là rien ne le fasse flancher! Raaaah! « Quelle pétasse... » Quel homme charmant, vraiment. Notre brunette soupira longuement, faignant de n’avoir rien entendu. Elle n’en était plus à une insulte près et il aurait au moins pu innover… pétasse, elle l’avait entendu plusieurs fois. Et c’est probablement pour cette raison qu’elle passa une main dans ses cheveux, bien décidée à l’ignorer jusqu’à ce qu’il trouve une autre connerie à lui ordonner : « Bon, tu me fais un massage ?. »
- « Wow, tu deviens presque raisonnable, si on oublie qu’il est 2AM…Après je pourrai retourner me coucher dis… parce que si tout ce que tu voulais c’était une pute de compagnie, j’vais te filer le numéro d’une agence d’escorte et tu me ficheras la paix… »
Parce que tu vas vraiment faire un massage à cet abruti Mae’? Oh ça suffit hein! Si vous lui demandez son avis, elle avait plutôt une envie irrésistible de lui briser tous les os et de danser sur son cadavre – ah oui, c’était l’amour fou! Mais elle n’en ferait rien, parce qu’au-delà d’avoir des informations qui pourraient ruiner sa vie, ce mec lui faisait froid dans le dos. Pour le commun des mortel, Dale était un arrogant méprisant avec un problème contre l’autorité, un jeune en crise d’identité à la limite… hors, Maelyn voyait en lui un tout autre danger. Durant sa carrière prestigieuse d’avocate, elle avait pu observer des sociopathes, des monstres sans culpabilité qui se tenaient au banc des accusés, entendant le verdict pour leurs nombreux crimes…Et leur détachement, leur arrogance, leur indifférence face au bien et au mal, parfois elle avait l’impression de retrouver cette attitude exacte chez son tortionnaire…Alors autant ne pas le mettre en colère, elle n’avait pas spécialement envie de finir comme une catin dans un mauvais remake de jack l’éventreur… Ainsi donc, elle soupira longuement en l’observant, allongé sur son lit, pas encore défoncé mais ça viendrait.
- « Qu’est-ce que t’y gagne à ruiner ma vie? Si tu manques à ce point de divertissement, inscrit toi dans un cirque, va faire du saut en parachute, participe à des orgies mais trouve toi d’autre passe-temps. Et bouges, je ne vois pas comment je peux te faire un massage dans cette position, morveux. »
…Ça ne pouvait être qu’un mauvais rêve… elle allait se réveiller, se retrouver dans son lit et constater qu’aucun gamin pré pubère ne pouvait réellement avoir de contrôle sur sa vie… Ou pas. Au point où elle en était, non seulement elle n’avait plus sommeil, mais elle se sentait encore plus lasse que tous les autres jours de la semaine. Adieu tant convoité jeudi soir…Et alors qu’elle se préparait mentalement à lui briser les vertèbres pendant le massage exigé, son iphone se mit à vibrer dans la poche arrière de son micro-short. Soupirant elle l’extirpa et fixa un moment l’id du troublefait : « DO NOT ANSWER » … ah elle et ses appellations uniques. Et qui était donc ce connard qui lui aussi voulait une partie de son temps : ah mais le directeur voyons. Comme si elle allait répondre! Relevant les yeux vers Dale, son portable toujours en mode vibration mais elle s’obstinait à ne pas décrocher, elle lança :
- « Bon alors ce massage… »
Comme quoi, entre deux maux, autant prendre le moins pénible? |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Ven 25 Mai - 14:52 | |
| J'aurais put être un acteur grandiose si seulement je n'avais pas été si imperméable aux sensations, j'étais capable de jouer la joie car je connaissais l'extase, j'étais capable de jouer la colère car j'étais impulsif et que je m'emportais facilement, cela dit.. lorsqu'il s'agissait de tristesse, de pitié, j'étais incapable de faire quoi que ce soit, j'avais beau regarder les autres faire, fondre en larmes, se morfondre, éclater en sanglot.. J'étais incapable de compatir et de communiquer une quelconque tristesse à l'égard des autres. Il m'arrivait de pleurer lorsque j'étais complètement ivre et défoncé, que j'étais seul... Sans raison aucune, juste parce qu'il fallait que ça sorte, mais du plus loin que je m'en rappelle, personne ne m'avait jamais vu pleurer. J'étais paisiblement allongé sur le lit, il faisait chaud, comme d'habitude, été comme hiver, il faisait toujours une chaleur folle ici, les nuits étaient lourdes, on avait parfois même du mal à respirer tant le vent était humide à cause de la proximité avec la plage. On s'y habituait mais parfois, les nuits étaient difficiles, alors rien de mieux qu'un massage avant d'aller se coucher. Si j'étais déjà bien détendu, je comptais sur Dawner pour jouer avec ses doigts de fée et me faire passer un agréable moment. Je n'écoutais qu'à moitié ce qu'elle me disait, mon esprit presque totalement envolé dans une autre dimension, je l'entendais brièvement, percevais quelques mots comme pute, escorte... j'en concluais que ça n'avait rien d'intéressant et que ça ne valait pas la peine que je m'attarde sur ses dires,je restais donc ainsi à fixer le plafond, ma main sur mon ventre. Je soupirais lentement, me demandant si elle allait oui ou non me faire ce massage lorsque je l'entendis reprendre la parole,j'ouvris les yeux pour l'écouter, tendant l'oreille vers elle, puis tournant finalement le visage dans sa direction « Qu’est-ce que t’y gagne à ruiner ma vie? Si tu manques à ce point de divertissement, inscrit toi dans un cirque, va faire du saut en parachute, participe à des orgies mais trouve toi d’autre passe-temps. Et bouges, je ne vois pas comment je peux te faire un massage dans cette position, morveux. » me disait-elle alors que je me tournais pour me mettre sur le ventre afin qu'elle puisse me faire mon massage si attendu. je réfléchissais alors à la question qu'elle venait de me poser, je n'y gagnais rien à ruiner sa vie et en vérité, je ne cherchais pas à le faire, je me contentais de la titiller, de l'embêter un peu, je n'avais pas l'intention de crier sur tous les toits qu'elle se tapait son boss, non pas car j'avais de la pitié ou de la compassion pour elle, mais tout simplement car ça ne m'apporterait rien, ni plaisir, ni excitation, alors ça ne servait à rien, je me contentais donc de tirer les avantages de la situation, pour une courte durée puisque je finirais par m'en lasser, comme avec tout.« Tu ne comprends pas. L'important c'est le pouvoir... Plus t'as d'emprise sur les autres... Plus.. tu t'élèves. T'es tombée bas Dawner mais t'as plus qu'une chose à faire maintenant, c'est de remonter. Et tu peux le faire. C'est toi qui a le contrôle. Tu le tiens par les couilles, pourquoi tu prends pas le contrôle ? Faut que tu te bouges, sinon tu vas t'enfoncer. » un discours moraliste mais surtuot très optimiste. je me surprenais moi même. Après tout ce n'était pas faux. Maintenant qu'elle était au fond du gouffre, elle ne pouvait plus que remonter, et ce n'était pas si mal. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Ven 25 Mai - 18:46 | |
| Avec tout le merdier qui lui tombait dessus, il ne fallait surtout pas se surprendre que notre brunette ait décidé de ne pas croire en Dieu hein…après tout, elle ne pouvait pas être aussi malchanceuse et se persuader qu’un être tout puissante devait veiller sur elle. Alors là non, elle en serait venue à la conclusion que le créateur était un maniaque sadique qui s’amusait à voir ses bers s’en prendre plein la gueule. Était donc plus sage d’adopter une position indifférente… enfin pour l’instant, parce que face au miracle qui viendrait plus tard, elle devrait forcément revoir ses convictions profondes! Mais l’heure n’était pas à la plaisanterie, elle était à être profondément et totalement exploitée par un gamin qui avait beaucoup trop de temps libre. Il ne pouvait pas passer ses nuits à mater des sites 18+ comme tous les jeunes de son âge? Non? Il fallait vraiment qu’il se divertisse en emmerdant une femme respectable qui avait besoin de sommeil !! Et le pire, c’était qu’à force de lui rendre la vie aussi pourrie, elle aurait bientôt des cheveux blancs par sa faute! Que le diable l’emporte s’il accélérait son processus de vieillissement naturel! Elle lui enverrait les factures de coiffeuses tien, pour les teintures… Enfin, tout cela pour dire que c’est avec un soupire de lassitude et un sentiment vague de calme – merci ô marie-jeanne – qu’elle accepta la demande de massage. À bien y réfléchir, il avait déjà proposé pire et c’était vachement moins énervant qu’un strip-tease ou quelque soit les idées machiavéliques qui pourraient lui traverser l’esprit…Alors qu’elle suggérait à son tortionnaire de se positionner plus confortablement pour recevoir son massage, elle avait quand même décidé de l’accuser, encore. Bah quoi! Elle obéit ok, mais pas de bon cœur! Une fois Satan en personne allongé confortablement, elle se permit l’outrage jusqu’à l’enjamber pour se positionner tout bonnement à cheval sur lui. On vous voit d’ici groupies fanatique, jalouses à crever, mais pour notre avocate, c’était simplement une façon plus simple d’avoir un accès complet à son dos – elle veut bien le masser, mais pas se disloquer des membres dans le processus! Et puis… vu son poids plume, ce n’est pas comme si elle risquait de l’écrabouiller.
Ne songeant qu’à regagner son lit, elle avait déposé ses mains sur les omoplates du jeune homme, débutant donc ce qui devait être un massage des plus banales! Normalement, elle aurait plaisanter en demander s’il le voulait avec ou sans finitions… mais lui donner des idées douteuses était déconseillé. Il en avait assez par lui-même! Ainsi donc, elle se retenait simplement de ne pas lui broyer les os – Mealyn Ariel Dawner est une combattante, pas une loque qui se plis aux ordres d’autrui, lorsque l’imprévisible se produisit! « Tu ne comprends pas. L'important c'est le pouvoir... Plus t'as d'emprise sur les autres... Plus.. tu t'élèves. T'es tombée bas Dawner mais t'as plus qu'une chose à faire maintenant, c'est de remonter. Et tu peux le faire. C'est toi qui a le contrôle. Tu le tiens par les couilles, pourquoi tu prends pas le contrôle ? Faut que tu te bouges, sinon tu vas t'enfoncer. » Que cette journée soit marquée au calendrier et qu’on célèbre chaque année sa venue, un miracle c’était produit : des paroles limite encourageantes avaient franchis les lèvres du ténébreux fourbe! MAMAMIA! Heureusement qu’elle n’était pas cardiaque… Et pourtant, ses mains c’était un instant immobilisées sur le dos de son tortionnaires et elle avait quand même battu des cils une bonne dizaine de fois, certaine d’avoir des problèmes d’ouïe, ça ne pouvait pas continuer comme ça… Mais il avait tellement raison que ça la frustrait… ça l’énervait à un point tel… Elle savait très bien qu’être aussi pathétique ce n’était pas digne d’elle-même, mais que LUI ose le mentionner… Allez savoir… et le fait qu’il soit sympa… était-elle devenue stupide au point de se mériter de la pitié? Et pourtant, en moins de dix secondes, elle avait repris son air de glace et son massage, ses mots raisonnant dans son esprit.
- « …Si je te connaissais moins, je pourrais PRESQUE croire que t’en a quelque chose à foutre… Et ces sages conseils, ça s’applique aussi aux profiteurs qui me font chanter hmm? ~ »
Un ton moqueur et pourtant en rien agressif? Un petit risque presque… divertie? QUI ÊTES VOUS ET QU’AVEZ-VOUS FAIT DE MAELYN !!! … C’était la journée des miracles? Bah… défoncé, il était tolérable, limite, il était moins chiant que les gens qu’elle avait tendance à fréquenter 90% de son temps. Un gros plus…Il devrait consommer plus souvent, ça rendrait leurs rencontres moins chiantes…S’appuyant un peu plus sur lui pour continuer à appliquer de la pression stratégiquement dans son dos, elle se mit à jongler mentalement avec les conseils du jeunot… Il n’avait quand même pas tord, elle pourrait menacer son patron de le poursuivre pour harcèlement sexuel, lui faire cracher un max… il suffisait qu’elle ait des preuves… Oh douce vengeance, c’était un sentiment assommant, au moins aussi jouissif que la drogue ou l’alcool, une sensation qui s’immisçait en elle et lui donnait cette étincelle, cette petite lueur d’être encore elle-même : une peste beaucoup trop bien pour l’humanité! Et vous pensez qu’elle allait lui dire merci? Et puis quoi encore.
- « Dis Freeman… si t’as tellement de temps à perdre et une attirance pour les emmerdes, t’as pas envie de m’assister dans la démolition de ton proviseur? Je suis certaine que t’en retirerait beaucoup plus d’avantage qu’en m’appelant à 2AM ~ »
… Mae’ … tu sais que tu nous ferais presque peur, demander au maître de la torture de t’assiter… Oh et puis quoi, elle était loin d’être une sainte! |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Ven 25 Mai - 21:24 | |
| Elle acceptait de me faire un massage, c'était plaisant évidemment, je sentais ses mains se balader sur mon dos, elle savait y faire, en même temps ce n'était pas la première fois que je lui demandais un service pareille, ni la seule. J'aimais être le centre du monde oui, et j'aimais qu'on prenne soin de moi, était-ce une honte ? Lorsque j'avais la possibilité de "contrôler" une fille, je m'arrangeais toujours pour qu'elle me donne ce qui me ferait plaisir, au maximum. Ca allait parfois jusqu'au sexe, ça s'arrêtait souvent à un massage, je m'en accommodais et puis je n'avais pas envie de me taper toutes les pétasses présentes dans ce vaste univers. J'avais eu comme tout garçon une période où je ne me souciais que très peu des filles avec qui je pouvais coucher, mais j'avais trouvé ça lassant à force, elles se ressemblaient toutes, ou presque.. Je cherchais donc la perle rare, ou les perles rares, celles qui se différenciaient, celles qui avaient assez de caractère pour oser me tenir tête avant de me céder, c'était bien plus attirant et intéressant. Elle s'arrêta alors que je finissais mon petit discours moralisateur. après tout, elle ne faisait que de se plaindre de sa situation, elle jouait les victimes, comme si elle avait atteint le fond, et si vraiment, elle était tombée au plus bas (bien que j'en doutais) elle avait toujours moyen de s'en sortir. Je n'étais probablement pas très bien placé pour lui dire ça, j'avais toujours eu la vie facile, je n'avais jamais eu de problème d'argent et pour l'instant je n'avais pas à travailler pour me faire plaisir, d'ailleurs, avec l'héritage que me lèguerais mes parents, je n'aurais peut être jamais à travailler du tout. J'avais la possibilité de choisir n'importe quelle carrière, aussi minable soit-elle tant qu'elle me plaisait puisque j'avais derrière moi un confortable coussin financier, un compte en banque bien fourni me permettant de vivre selon mes désirs et mes envies. « …Si je te connaissais moins, je pourrais PRESQUE croire que t’en a quelque chose à foutre… Et ces sages conseils, ça s’applique aussi aux profiteurs qui me font chanter hmm? » répondit-elle, ses derniers mots me visant clairement. Je n'en tenais pas compte et restais indifférent, profitant du massage qu'elle avait recommencé. Ma tête était posée sur l'oreiller, confortablement, j'avais les yeux clos et voyais défiler devant moi de nombreuses images, j'avais envie d'aller à la plage, faire du surf, me lancer dans l'eau... J'avais aussi envie de voir quelqu'un pour parler... Quelqu'un comme Adonis, qu'il considérait à la fois comme un frère et comme un rivale mais qui le comprenait, le seul sans aucun doute, parmi tous les cons qui l'entouraient puisqu'ils étaient pareilles, aussi barrés l'un que l'autre. Je lâchais un soupire d'aise, plutôt bien installé, Maelyn reprit la parole « Dis Freeman… si t’as tellement de temps à perdre et une attirance pour les emmerdes, t’as pas envie de m’assister dans la démolition de ton proviseur? Je suis certaine que t’en retirerait beaucoup plus d’avantage qu’en m’appelant à 2AM » Je me redressais un peu, m'appuyant sur mes coudes et tournais la tête pour pouvoir la regarder du coin de l'oeil, je ris légèrement, cynique, avant de me recoucher et d'enfoncer à nouveau ma tête dans le coussin. C'était trop simple, si elle croyait qu'elle pouvait m'attirer dans ses emmerdes.. « Chacun sa merde Dawner. Si tu crois que j'en ai quelque chose à foutre que cet enfoiré t'exploites... » je me tournais, la poussant un peu avec le bras pour qu'elle s'enlève de moi. Je me redressais et la regardais un instant. « Tu m'as comme témoin... J'vous ai vu. Et je peux dire ce que tu veux. » je lui adressais un sourire mesquin, plutôt excité à l'idée que quelque chose de mal se tramait. |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Dim 27 Mai - 13:50 | |
| …Il y a des moments où, vraiment, quoi qu’il fasse, Dale la terrorisait, ses réactions, son amusement devant les plus grands troubles qui s’annonçaient, ça la forçait presque à remettre en question la santé mentale du jeune homme. Rectification, c’était un maniaque sur tous les aspects, seulement, elle en venait à se dire qu’il était peut-être bien dangereux… Après tout, quand il se serait lassé de manipuler et d’utiliser les gens, quand ces activités d’emmerdeur ne lui apporteraient plus satisfaction, vers quoi allait-il se tourner? Il pouvait difficilement consommer plus que maintenant ou être plus désagréable… tout ce qu’elle espérait, c’était que ses vieux trouveraient une autre avocate quand il aurait définitivement franchit la ligne de la moralité. Mais ce n’était pas le moment d’y penser, à l’instant, elle en venait presque à apprécier son excitation face à la situation : au moins lui, c’était certain, il ne pèserait pas le pour et le contre de faire faire un arrêt cardiaque au proviseur… Les mains bien à plat sur le dos de son tortionnaire, elle avait proposé une vengeance, et quelque part… ce sentiment d’enfin se faire justice, elle y prenait goût…Limite, elle devrait consulter aussi, peut-être que Freeman était contagieux! «Chacun sa merde Dawner. Si tu crois que j'en ai quelque chose à foutre que cet enfoiré t'exploites... » … Non évidement non, il n’en avait rien à faire, elle n’était pas naïve au point de croire que ça pouvait l’atteindre et ou lui donner envie d’éprouver le moindre noble but… D’ailleurs, lorsqu’il proposa : «Tu m'as comme témoin... J'vous ai vu. Et je peux dire ce que tu veux. » c’est un rire ironique qui s’en suivit de la part de notre brunette. Elle s’était assise juste à côté de lui, le temps n’était plus au massage!
- « …Tu me prends pour une conne Freeman? »
Forcément… Si elle avait appris une chose en ses nombreuses années d’existences – oui il fallait bien qu’elle ait tiré UNE leçon de toutes ses conneries parce que côté temps perdu, ça n’aurait pas été rentable autrement… - c’était que rien dans ce monde n’est gratuit. Les gens qui proposent de vous aider, s’ils ne disent pas dès le début les clauses du contrat, alors vous vous ferez avoir. Bon, une désillusion chronique appuyait son raisonnement comme quoi le monde était moche et insupportable hein… il existait probablement quelques cons profondément altruiste mais elle n’en avait pas encore rencontré alors, autant prévenir…Et puis Dale quoi, s’il y a une personne de qui elle devait se méfier, c’était lui. Aussi dérangé qu’il puisse être, elle était persuadée que les coups de mains gratuit, ce n’était pas dans ses habitudes. À moins qu’il soit totalement défoncé… et encore, parce qu’une fois de retour à son état habituel, il aurait oublié! Un sourcil arqué, elle le fixait plus intensément, quelque part, elle respectait probablement cette façon de procéder : un peu d’aide contre un service… Et au point où allaient les choses, elle était déjà plutôt à la botte de ce démon alors… ça pouvait difficilement être pire. D’un ton entendu – le temps n’était plus aux conneries, on parlait affaire, elle demanda :
- « Pourquoi tu m’aiderais hein? Qu’est-ce que tu veux en échange? Les pactes avec le diable… c’est jamais gratuit. »
Un sourire entendu fut adressé au jeune homme alors qu’elle passait une main dans ses cheveux. Ce sentiment d’émerger, de toute puissance, ça faisait si longtemps qu’elle ne l’avait pas ressenti, c’était encore mieux que d’être dans les vapes à cause de drogue, non, elle se sentait ENFIN reprendre sa misérable vie en main. Comme quoi…. ce type avait de bon côtés. Après, hors de question qu’elle l’admette hein! Les idées filaient à toute vitesse dans son esprit : cet abruti, il méritait beaucoup beaucoup mieux comme vengeance qu’une simple accusation pour harcèlement sexuel! Il méritait un grand coup, quelque chose qui le ruinerait… Oui bon, elle était probablement folle…mais surtout, surtout rancunière. Elle posa ses iris océaniques sur son vis-à-vis, les termes de l’entente pourraient être négociés plus tard au fond…
- « J’ai envie de faire original… et ça devrait te plaire comme idée, vu le nombre de plainte que cet abruti a déposé contre toi pour tes consommations « illicites » ….. le faire accuser de possession de stupéfiant, ça te plairait? … J’suis certaine qu’il serait à sa place derrière les barreaux à se faire défoncer par des armoires à glace en manque de chaire fraiche… »
… Tout ça pour quelques tours sous le bureau? Ouai. Ça et le joint faisait son effet : ressortir les pires côtés de sa personnalité déjà chieuse. Si elle se sentirait coupable après coup? Surement… D’où l’utilité de Dale… la culpabilité, il ne connaissait pas, ça lui éviterait d’abandonner le projet en chemin… non? |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC InvitéInvité | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale Jeu 31 Mai - 20:42 | |
| « …Tu me prends pour une conne Freeman? » demanda-t-elle ? Question à laquelle j'acquiesçais instantanément, comme si c'était une évidence, un sourire narquois sur les lèvres. « Oui. » rien de surprenant, c'était tout à fait habituel, j'avais le chic pour me moquer du monde, c'était pour moi un plaisir presque sans fin, les filles étaient des proies faciles, elles étaient souvent plus crédules. Et je n'avais aucun scrupule à l'admettre à ces espèces de gourdes. Maelyn réfléchissait, j'avais implanté dans son esprit le désir de se venger de son bourreau, pas moi non, mais son patron, celui qui profitait d'elle, qui la faisait chanter, qui lui demandait des prestations peu catholiques en échange d'un salaire.. Il était pour le commun des mortels une véritable ordure, personnellement je n'avais aucune pitié pour Maelyn, si elle était assez conne pour se laisser entraîner dans des emmerdes pareilles c'était qu'elle le méritait. Ou bien simplement que c'était tant pis pour elle. « Pourquoi tu m’aiderais hein? Qu’est-ce que tu veux en échange? Les pactes avec le diable… c’est jamais gratuit. » Le diable. J'esquissais un sourire amusé en l'entendant m'appeler ainsi. Un autre aurait put mal le prendre, après tout, il n'était pas très sympathique d'être comparé à l'incarnation du mal.. Mais ça ne me faisait rien, en fait si.. J'étais presque flatté. Sérieux. Je ne cherchais pas cependant à faire du tort autour de moi, avec mon comportement cependant, beaucoup croyait le contraire. J'avais l'attitude typique d'un ado rebelle et anticonformiste, je n'étais pas un metalleux qui détestait la société et revendiquait l'anarchie partout autour de moi. Je ne faisais pas du mal au gens pour leur montrer qu'ils avait tort, que leur mode de vie était le mauvais et qu'il fallait changer, non, je me foutais bien de tout ça. Si je faisais du mal au gens, c'était souvent inconsciemment, parce que j'avais l'impression d'être invincible et que je ne concevais pas que les autres ne l'étaient pas. Je décidais de répondre simplement « T'as raison, t'as rien qui m'intéresse. Jvoudrais même pas que tu me fasses une pipe. » je pinçais les lèvres avant de l'observer de haut en bas d'un oeil critique. Elle finit par m'évoquer son plan et tenta tant bien que mal de trouver un prétexte pour m'impliquer dedans. Elle utilisait des arguments dans le but de me motiver à m'investir dans sa vengeance personnelle contre le proviseur. Je me redressais pour m'asseoir et la regardais longuement, mitigé. Je doutais que ça puisse marcher, c'était trop simple, comme si glisser un pochon de weed dans son bureau allait suffire à le faire inculper, c'était des conneries. Je soupirais longuement avant d'attraper mon paquet de clopes sur la table de chevet, j'en extrais une avant de l'allumer et de tirer dessus, réfléchissant à sa proposition. En soi, faire plonger ce fils de p*te serait jouissif, clairement. Mais l'aider ? Elle ? «[color=goldenrod] Honnêtement, je pense que c'est un peu facile. C'est pas en glissant 10g de coc dans son bureau que tu vas pouvoir le faire inculper, il serait capable de dire que ça m'appartient et qu'il me l'a confisqué. Tu vois. /color] » Je laissais un blanc avant de reprendre « Bref... On est pas Bonnie & Clyde, tu t'es foutu dans la merde toute seule donc c'est mort si tu crois que jvais t'aider. Et puis la situation actuelle me plaît bien. » |
| | | MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC Contenu sponsorisé | Sujet: Re: NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale | |
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| | | | NEXT TIME, I WILL LET YOU ROT IN JAIL ♦ ft. Dale | |
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