MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC Kepa MakalaSTUDENTS - MERRYMAKER..
TA GUEULE & PASSE-MOI DU FEU
SORRY BITCH, I'M ALLERGIC TO BULLSHIT DATE D'ARRIVEE : 09/05/2013 POSTS : 82 DC : aucun CRÉDITS : hallelujah, l'amour de ma vie (avatar), citation (soprano),citation (rockn'rolla) AVATAR : Dylan R. REPUTATION : 2 ETUDE : Senior JOB : Plongueur dans un resto chinois. T'veux un lavage d'estomac ? Prends leurs crevettes sautées AGE : 19 ballets CONSO : | Sujet: (F) RUBY ALRIDGE ∞ Fuck you, I'm a 9 lives cat, bitch Sam 18 Mai - 21:11 | |
| Maryloo nom au choix Âge : 19 ballets, ballerines usées, foutues à la poubelle ∞ Nationalité : je t'emmerde ( au choix ) ∞ Je suis actuellement : en première année de fac, elle a réussi à décrocher son bac comme décrocher la lune , le reste : à ta sauce ∞ Orientation sexuelle : tu la fais comme tu veux tendance hétérosexuelle ∞ Statut : dynamite moi tout ça ∞ Situation familiale :Parents toujours mariés, une petite sœur ∞ Traits de caractère : Arriviste - Contreproductive - Délurée - Extravagante - Militante - toujours prête à sauver la veuve et l'orphelin - Grande gueule - TROP d'la gueule - Enquiquinante. Evidemment, ma grande : poses-y tes marques ∞ Avatar : Ruby Alridge ou simplement une gonzesse qui fasse pas toute lisse ∞ Groupe : tu choisis, j'vais pas faire tout le boulot ∞ | ▽ Freestyle. Scénario à accaparer, entiendes ? Tu en fais ce que tu veux cela dit : on s'entend sur un point précis : je ne veux pas de fautes hallucinantes du type : tu croi t ? Nombre de lignes : pas de quantité, de la qualité Avatar négociable tant qu'il ne me sort pas par les orbites et qu'elle fasse badass, on peut en discuter. Après, ma bonne, t'attends quoi pour t'inscrire ? Allez vite, j'te kiss sur la fesse crédit - (passez le curseur sur l'image) |
locate from the jungle C'EST TON PROBLEME. Par contre, comme Kepa n'est pas vraiment d'genre à avoir un panel de potes et encore moins avec un vagin, j'imagine que ces deux-là auraient un lien de parenté. Genre fille d'sa tante ce qui rendrait leur complicité assez malsaine. Ouai bah du coup, ta fifille est obligée d'être au moins au quart hawaïenne. Sinon :
i got a ticket, do you wanna go ? « Maryloo Makala » elle exulte la fumée comme une dragonne. Elle a un air féroce qui viserait les jugulaires, charcuterait les cœurs. Un sourire et, j’en ai vu qui se seraient contentés de lui servir d’paillasson. « Maryloo, sérieusement ? Bois et ferme-là » deux rapaces paumés, assis comme des loques sur la plateforme devançant une fenêtre aux vitres cassées, couvertes d’un vieux papier journal. Nuit d’encre et quelques étoiles survivantes, lampes de chevet brisées en plusieurs morceaux éparpillés. Au-dessus de nos crânes à briller, lueurs acariâtres, fielleuses et amères. « Quoi ? Dans cette putain de ville, tu ne trouveras jamais une meuf comme moi » peut-être bien. Je me retiens quelques secondes de lui faire remarquer qu’elle a autant de charisme qu’un stylo. Qu’un Snickers me ferait plus bander qu’elle. Qu'une côtelette a au moins l'mérite d'me faire saliver. Même s’il lui prenait l’envie d’se foutre à poil devant mes yeux. Primaire. Je grogne. Maryloo Makala ? Quelle connerie. « Toi, t’es juste trop foncedée » elle ricane, me lance un regard. Glacé. Je détourne mes billes, insoutenable. J’y ai lu quelque chose d’étrange, indescriptible et inadmissible comme un reproche. Permissif, j’hausse les épaules. Changeons de sujet. « En attendant, tu t’fais vieux garçon ». Ping-pong, on est là pour se tacler ? « En attendant, j’suis pas nympho’ ». Deuxième regard ça s’emporte et se tire. C’est vrai, je suis coupable d'être con. « Qu’est-ce que tu fous là ? » mes lippes s’étirent en un énorme sourire. Œillade appuyée : à ton avis ? « J’viens t’chercher. C’Mardi soir et les mardis soirs sont à nous ». Elle se dérobe, orgueilleuse d’un seul jour. J’emboîte son pas, pas du tout démonté. « Perds pas ton temps, j’viendrai pas » « Toi, t’as d’la fierté ? ». Volte face. Poing dans ma face, verbalement, j’entends. Elle court, elle court toujours s’enfermer dans sa tour stérilisée. Des infections comme moi, elle en a connu, pas d’aussi coriaces cela dit. Tout à mon honneur, tout à son horreur. Elle fait mine. Elle fait juste mine. Bras croisés sur sa poitrine, elle attend. Des paroles à m’écorcher la langue. « C’était pas réglo d’ma part » un sourcil qui s’arque, ça en veut plus : « Ouai, veux-tu accepter mes plus plates excuses ». Elle jubile, m’attrape le bras. Maudite catin à la gueule séraphique pour laquelle j’briserai surement des vitres à coup d’brique pour lui offrir une parure. C’est beau, la misère amicale, trop bancale comme un chien qui aurait la gale. « Une seule condition ». Sa condition je la connais. ▦ ▦ ▦ « T’as au moins 56 % d’risques de crever d’un infarctus, moitié plus d’un anévrisme. 10 % de t’électrocuter comme une conne. 65 % d’être diagnostiquée complètement irrécupérable. Tu pourrais glisser du haut d’tes escaliers, récolter une commotion cérébrale. Une hémorragie interne. N’avoir plus que 24 % d’chances de t’en tirer. Tu peux crever d’ces différentes façons rien qu’en restant chez toi ou crever d’toute façon en mettant l’nez dehors. On va tous claquer un jour, toi, peut-être plus tôt que la moyenne. Et alors ? J’casserai ma pipe avant toi, ou après toi, peut-être qu’on cassera not’ pipe tous les deux dans un accident d’bagnole. Le fait est que ça arrivera, c’inéluctable. Les toubibs t’ont dit que tu n’étais plus qu’à 70 % d’tes capacités respiratoires ? Il t’en reste 30, putain, prends-les pour vivre ta vie. Statistiquement j’en n’ai 100 % rien à battre de ce que tu dis, de c’que disent ces charlatans : multiplie même ça par 10. T’attends quoi, Maryloo ? Hein, dis-moi ? T’attends quoi pour prendre un grand bol d’air frais ?» je soutiens son regard, on a 14 ans à cette époque et ses poumons sont d’jà flingués. On se voit tous les dimanches pour prier l’seigneur en mifa, grailler à s’en péter le bide. On ne se parle pas mais quelque part, j’finis par la comprendre. Maryloo elle n’est pas malade, elle a juste 200 % la trouille d’être elle à 100 %. Maudites statistiques. Alors moi, je l'aide, tout simplement. Précision : je la vois bien attendre une greffe voir être sur le point d'en subir une. Cas désespérés, à deux ils redéfinissent le mot famille. |
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MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC Sea BurnADMINISTRATRICE ☮ CHEER CAPTAIN - MERRYMAKER..
LET IT GO
lost, lost, the precious is loooost This is the last time you tell me I've got it wrong. This is the last time I say "It's been you all along". This is the last time I let you in my door. This is the last time I won't hurt you anymore. DATE D'ARRIVEE : 07/04/2012 POSTS : 3001 DC : NENA OTILIA, L'INSOLENTE CRÉDITS : OH DAMN IT, IT'S HALLELUJAH AVATAR : L'INSPIRATION REPUTATION : 24 QUARTIER : FONTAINEBLEAU TERRACE ETUDE : SENIO YEAR AGE : DIX-HUIS ANS CONSO : rhum-rhum-diet-diet
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