Bordel j'en avais presque mal. Cette foutue garce, ce tyran ne sachant visiblement qu'ordonner divers exercices depuis l'échauffement jusqu'à maintenant. Tout avait été enchaîné, elle n'oubliait de faire travailler aucun muscle, se permettait même de nous ridiculiser. J'avais oublié à quel point ces stages destinés à maintenir en forme les agents de la brigade étaient insupportables. J'étais persuadé de ne plus pouvoir me lever demain matin, les courbatures signalant leurs arrivées à grands pas. Sloàan, une chieuse, une garce, une insupportable nana qui prenait du plaisir dans ce domaine sadique. Attention il ne s'agissait pas là de faire quelques petits étirements, non c'était du sport en intensif. Limite j'aurais pu escalader l'Everest après le passage de cette tornade. Je n'avais qu'une envie, lui passer les menottes et la laisser en plan contre un poteau, sans avoir oublié de lui foutre une muselière histoire de faire taire ses aboiements. Je n'avais rien contre le sport, le pratiquant au quotidien histoire de, mais là c'était exaspérant, exagéré, on n'allait pas en guerre, on était juste censés ramasser la drogue ici et là et arrêter des petits dealers. Au final je commençais à penser qu'elle nous torturait autant rien que pour l'arrêter. Surement le fantasme et l'idée du flic en tenue qui viendrait la plaquer contre un mur. Idée intéressante et que je développerais bien en sa compagnie. Je l'avouais volontiers cette nana était franchement bien foutue et oser dire que voir cette souplesse dont elle faisait preuve ou encore ce fessier parfaitement rebondi ne me donnait aucune envie, ni me foutait aucune idée en tête aurait été un gros mensonge. Non elle était attirante et cette partie de moi ne refuserait pas le cinq à sept en sa compagnie, contraste au tableau son air de tyran. Au final si elle se la fermait un peu elle serait presque la femme parfaite. Visiblement c'était une chose impossible.
Dieu merci la torture touchait enfin à sa fin. Je voyais les autres collègues complètement mort, s'effondrant au sol, trempés de sueur. Ils étaient dégueulasses, pitoyables et entièrement pathétiques. Je comprenais à peu près pourquoi Sloàan était parmi nous durant quelques temps. Il fallait faire bouger leurs graisses un peu. Pour le coup je pouvais me vanter d'avoir tenu la distance et d'être plus frais qu'eux si bien qu'il me restait encore de l'énergie à dépenser. Ne répondant nullement à ses provocations, j'allais directement chercher une serviette et me désaltérer. La demoiselle, satisfaite et suffisante, se cassait à la douche, laissant les autres après une énième humiliation à leurs égards. Elle me faisait rire cette nana. Les autres lourdeaux se cassaient à leurs tours, j'étais le dernier dans la salle destinée au sport et me rendant ainsi au vestiaire je la trouvais en compagnie du chef de brigade. En parlant d'un type ayant besoin d'entrainement, son bide aurait besoin de perdre quelques centimètres. Visiblement peu satisfaite de notre travail elle se plaignait des incapables de la brigade. Je levais les yeux au ciel, par pitié qu'elle se taise, mais tout cela allait finir par se retourner contre elle, du moins je commençais à me dire que remettre les choses en ordre n'était pas une mauvaise idée. Ensemble on filait aux vestiaires, chacun de notre côté, pas un mot, quelques regards, les autres étaient déjà partis, ou alors ils étaient morts en chemin. Cette idée me faisait sourire et même rire. Bien des incapables en moins dans ce coin ne ferait pas de mal. J'étais peut être un type ultra arrogant, mais j'étais le seul avec des capacités dans le coin.
Enfin bref, je quittais ces fringues trempés, quelque peu endolori, elle faisait quand même du très bon travail, je me devais de reconnaître que ses tortures n'étaient pas inutiles, mais bordel ce n'était clairement pas agréable ! Je m'étirais, évitant avec soin de me prendre une crampe. Je laissais couler l'eau, m'apprêtais à partir sous le jet, mais j'entendais à travers le mur fin et la porte séparant les deux vestiaires la presque douce Sloàan. Oh non l'idée qui me venait n'était pas une bonne idée. Cette pulsion qui allait prendre le contrôle de mes gestes était à éviter et pourtant c'était comme plus fort que moi. Impossible de m'en empêcher, c'était décidé et j'allai droit vers la porte. Comme par hasard et comme un avis favorable d'une quelconque divinité celle-ci était ouverte, j'en profitais donc pour entrer. Voyant à quelques mètres à peine l'objet de mes convoitises, celle qui venait de donner quelques idées salaces à souhaits, celle que j'allai coincer dans un coin de la douche dans quelques secondes. J'approchais, dos à moi elle ne semblait rien voir, m'accoudant contre l'entrée de la douche, je m'offrais l'opportunité de décrire son corps forgé comme aucun autre. Me mordant légèrement la lèvre inférieure, j'allai saisir ce qui s'offrait à moi. « Finalement pour une garce tyrannique t'es plutôt bien foutue. A croire que la torture que tu t'infliges fait effet. » Souriant en coin, comédien dans l'âme je savais faire mes entrées et en parlant d'entrée, je me rapprochais de cette superbe créature, plaçant mes bras comme pour l'emprisonner entre moi et le carrelage froid de la douche « J'aurai la quelconque idée de faire travailler votre endurance mademoiselle. J'ai vu quelques signes tendant à prouver que sur la distance vous ne tiendrez jamais un effort intense. » Je la provoquais, l'amenais sur mon terrain de jeu, avec mes règles. Il était temps que l'élève devienne le professeur et inversement. Du moins c’est ce que j’aimais me dire par simple esprit de contradiction envers elle.
Dernière édition par Ethan Knight le Sam 12 Mai - 19:47, édité 1 fois
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Sujet: Re: Give me your breath, give me your skin -hot- Sam 14 Avr - 15:38
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« Allô ? » Rien d’inquiétant, encore du boulot. Cet appel datait de deux-trois jours à peine. Le patron de la police avait fait appel à l’une des meilleurs pour entrainer ses hommes des stup. Rien d’étonnant, après tout ils pensent sûrement qu’ils vont être tranquille dans leur job, bien dans leurs pompes, à se contenter d’arrêter un petit dealer par ci par là, à fouiller des bagnoles aux douanes avec les chiens à la recherche d’une drogue quelconque. Ils allaient parfois loin dans leur boulot, vidant des bagages, fouillant de fond en comble des voitures. Et parfois c’était nécessaire. Et ce jour-là, leur patron avait aussi jugé nécessaire qu’ils se bougent le cul. Alors elle était venu, avec de l’équipement sur les bras, une tenue de sport courte : un mini short, une brassière et des baskets. Elle allait leur montrer ce que c’était de faire du sport, ce que c’était de se dépenser et surtout de se muscler. Il y aurait qu’elle, elle les aurait entrainé doucement, progressivement, mais le patron avait bien précisé : je veux que ça fasse mal, je veux que ça cogne, humilier les s’il y a que comme ça qu’ils comprennent. Ils allaient donc souffrir le martyr, tous les jours, pendant deux heures. Et elle n’avait pas mis de temps à commencer la séance de torture. Si elle y prenait plaisir ? Pas spécialement, ce qui la satisfait le plus, c’est le résultat à la fin de plusieurs heures : plus d’endurance, plus de force, un rythme cardiaque plus propice à la course. « Et le jour où vous pensiez arrêter un petit dealer et que vous tombez sur un abruti avec un flingue prêt à tirer, vous allez faire quoi si vous êtes mous comme ça ? Rien alors bougez-vous bande de loques, on se grouille ! » Les tours de terrain n’en finissaient plus, les pompes elle ne les comptait plus, les levés de poids s’enchaînaient avec toujours plus de kilos. Elle avait beau faire comme eux, faire les mêmes exercices et parler en même temps, elle voyait clairement que contrairement à elle, le sport, c’était pas leur tasse de thé qu’ils prennent chaque matin avec deux bonnes grosses tartines de beurre, ça c’est sûr. Même les femmes les plus sveltes de la troupe qui semblaient faire un petit jogging chaque matin suaient à s’en dessécher les organes.
Au bout de deux heures de souffrance, elle mit fin à la séance sous les ordres du patron de la brigade. Une bonne partie de cette dernière était restée au sol pour reprendre leur souffle, d’autres s’en étaient allés aux douches pour se rafraichir au plus vite et de rares personnes avaient compris le principe des étirements que Sloàan pratiquait elle-même, à l’instant, tout en parlant au chef. « J’ai comme l’impression que certains de vos hommes se sont relâchés après votre test physique d’entrée à la brigade. Soit vous ne les faites pas assez bosser, soit ils ne se bougent pas à l’extérieur de leur boulot, mais d’une façon ou d’une autre ça va venir par leur coûter cher, peut-être même la vie s’ils ne font rien pour contrebalancer cette mauvaise tendance au laisser aller. » Elle était ferme, elle sait très bien ce qu’elle dit et encore plus ce qu’elle fait. Certes elle critiquait dans un sens, mais dans l’autre c’était aussi des conseils sous forme de mise en garde. Le jour où ils tombent sur des gros poissons comme on dit dans le jargon policier, ils seront mal, très mal, et ça, elle le sait plus que personne, n’étant pas la première brigade qu’elle entraine et probablement pas la dernière. Attrapant sa bouteille d’eau, elle en liquidait une bonne moitié avant d’aller vers les vestiaires pour femmes en compagnie de Knight. Pendant l’entrainant, elle l’avait longuement observé, le seul ayant réussi à la suivre au niveau du rythme. Il a du potentiel, elle le sait depuis longtemps, et elle compte bien le pousser à bout, jusque dans ses retranchements pour voir ses capacités.
Mais pour l’instant, malgré de bons souvenirs en sa compagnie, l’heure était à la douche. Détachant ses cheveux, elle ne fit pas spécialement attention à ses gestes et fermait mal la porte séparant les vestiaires des femmes de celui des hommes. Se débarrassant de ses vêtements dans un coin, elle posait sa serviette pliée sur un banc avant de foncer sous une douche approchant plus de la fraicheur que de la chaleur. L’eau coulant le long de ses courbes éveillait de légers frissons marquant sa peau. Les yeux fermés, elle ne faisait pas spécialement attention à ce qu’il se passait autour d’elle, plus préoccupée à se revigorer qu’autre chose. C’est bien pour ça qu’elle n’entendit pas la porte s’ouvrir. De toute façon ce n’est pas comme si elle est pudique, et si elle l’avait entendu, elle n’aurait pas cherché à comprendre, elle sait parfaitement de qui il s’agit, le chef n’ayant pas fait de sport et Ethan étant le dernier dans les douches. Un fin sourire se dessinait à la commissure de ses lèvres lorsqu’elle entendit sa voix, ne cherchant même pas à se cacher. Restant de dos alors que la mousse dégagée par l’eau suivait les traits de son corps, elle se décidait à lui adresser la parole : « Faut bien prouver que ça fonctionne, et puis ça contraste avec le côté tyrannique il parait, ce n’est pas plus mal. » Se collant contre la paroi froide de la douche, elle le laissait approcher, son regard croisant le sien et ne le quittant plus. Il voulait jouer, elle le sentait, et à la vue des nouveaux frissons sur sa peau, il n’était pas le seul à le vouloir. Glissant sa main le long de la nuque du jeune homme, elle approchait ses lèvres de son oreille. « Prouve-le. » Simple, net, précis, elle lui proposait de prouver ses dires, ou plutôt elle le défiait. A la fois dans ses paroles et dans son regard qu’elle lui lançait. Un sourire malicieux au coin des lèvres alors que sa main libre descendait le long de son torse, le frôlant avec ses ongles. Lentement, sa jambe montait le long du corps d’Ethan, se mordant légèrement la lèvre inférieure à la vue de ses muscles s’activant sur son passage. Approchant ses lèvres des siennes, elle les scellait ensemble, l’eau devenant soudainement plus chaude à la vue de la scène qui se déroulait sous son jet.
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Sujet: Re: Give me your breath, give me your skin -hot- Mer 25 Avr - 23:39
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Tout avait été très physique, tout avait été assez délicat. Mes muscles me faisaient comprendre que j'aurai tort de venir pousser les limites de mon corps ainsi, mais l'appel de mes démons était le plus fort, mes pulsions l'emportaient toujours. Je ne pouvais qu'aller vers ce corps féminin qui m'appelait, vers le corps de Sloàan. Ma tortionnaire. Ne mesurant pas la teneur de ses exercices. Les courbatures me pendaient au nez et pourtant je me devais, par esprit de revanche surement d'approcher cette naïade. Cette nymphe sous sa cascade. Profitant de la vue première offerte, de cette chute de reins, de cette cambrure maléfique. Je la voulais, la désirais. Mon corps la réclamait, la sentir contre moi. Respirer son doux parfum, l'eau ruisselant sur elle et moi. Silencieux je me laissais porter par l'avant-gout d'une tentation sucrée. Des idées j'en avais, je n'en manquais pas. Les courbes de ce corps m'en donnaient davantage. Sloàan, douce Sloàan, tu tortures mon esprit autant que tu torturais mon corps. Tu as réussi à éveiller des choses en moi, choses qu'il me fallait maintenant satisfaire et évacuer en ta compagnie. Petite revanche d'un traitement qui passe mal, j'allais me faire un plaisir de plaquer cette nana contre le carrelage froid de la douche, j'allai me faire un plaisir de sentir sa fine peau brulante contre moi, de réunir nos êtres. Je la voulais, je me répétais, me le rabâchais alors que je n'avais qu'à conquérir ce qui me rendait fou. La brune volcanique, si belle, si maléfique n'était en fait qu'une jeune femme presque angélique. Je me devais de provoquer ses instincts et sa fierté, titiller son égo à mesure que j'irai titiller d'autres parties sensibles de son corps. Pervers et malsain je m'assumais entièrement alors que je n'avais pourtant rien commencé. Que je me laissais à peine glissé vers elle. Doucement, tel un courant d'air me plaçant tout contre elle. Profitant de la chaleur de sa peau nue et ruisselante. Provoquant à son oreille.
« Miroir miroir dis-moi qui est la plus belle ? Fidèle à cette citation tu es aussi belle que tyrannique. » Je me faisais charmeur, relativement tendre pour l'instant. Ce n'était certainement pas mon genre, je me contentais sans parade habituellement d'aller droit au but, prenant ce que je convoitais sans me faire doux avec ma proie. Pourtant avec elle je me permettais de jouer un peu car le jeu dans ce genre de moment avait du bon et j'étais en bonne compagnie pour jouer, je voulais jouer avec cette tempête brune. Elle m'aguichait et je lui répondais. Mais déjà mes mains découvraient ce corps taillé par les dieux et pour le plaisir. La plaquant davantage contre le carrelage gelé de cette douche, embrassant le creux de son cou et collant nos corps je passais à l'action crescendo, Sloàan me rendant fou sans faire quoi que ce soit, juste mon esprit tordu et mes démons m'y forçant. Jouer avec et la travailler au corps. La faire s'essouffler, fatiguer la coach. Gagner une première manche qui en appellerait sous peu une seconde car gourmand je l'étais et je la soupçonnais d'être du même ressort que le mien. Joueuse elle se plaisait à me provoquer, me quémandait de lui faire voir par les gestes les preuves de mes dires. M'engageant dans une joute corporelle, attrapant sa jambe, jouant de ma langue avec la sienne, profitant de la douceur de sa peau sous mes mains, caressant et découvrant. La chaleur se laissait grimper progressivement. Et profitant j'allais de plus en plus contre elle. Mordillant vivement sa lèvre inférieure, son menton, descendant embrasser son cou, laissant mon souffle s'y perdre. Sloàan, douce Sloàan écoute ce requiem festif vers le plaisir.
Langue taquine je la laissais sans préavis ni avertissement se perdre sur la poitrine de la belle, découverte dans un premier temps par les lèvres, parcourant les deux monts de chaires délicieux de Sloàan. Mordillant, léchant, embrassant j'alternais mes sévices auprès de cette partie sensible et particulièrement érogène. Mon envie me menait plus bas, toujours plus bas, me forçant à descendre vers un coin inexploré de la belle. Vers une terre convoitée par mon corps. Embrassant le ventre, continuant ma descente affriolante j'allais lui offrir par un jeu de langues habiles divines sensations. Laissant cette partie de moi explorer et provoquer, adroit et allant appuyer sur des points précis, voulant avant tout allumer le volcan Sloàan, la voir me supplier de la délivrer d'un désir trop prétentieux. Mes lèvres embrassaient et exploraient l'intérieur des cuisses de cette fleur délicate que je m'offrais, retournant sans trop tarder jouer sur cette intimité s'ouvrant à mon passage. Réclamant davantage je n'en faisais pas plus, j'allumais, j'aguichais sans lui laisser trop gros répit. Je la voulais mienne et jouant avec son désir je provoquais l'étincelle, provoquant un brasier, provoquant le mien car au fond je ne faisais que jeter plus d'essence face à un incendie intense. Je me consumais d'avance face à mon plaisir demandant satisfaction car le traitement que je me permettais de lui infliger était loin de me laisser indifférent, mon instinct me priait de remonter, de me laisser aller et de conquérir ce qui de toute évidence était déjà mien, le rythme des percussions à venir me rendais déjà fou, mais ma fierté et mon arrogance me forçaient à tempérer le tout et ne pas précipiter les choses, il fallait entretenir la flamme de cette douce nymphe. Je voulais lui couper le souffle, la rendre folle et prendre l'ascendant sur elle, je voulais prouver mes dires et gagner face à elle. Vengeance, douce vengeance tu te faisais brûlante entre nous, mais au fond cette rancune futile n'allait me servir que de prétexte pour arriver à mes fins, celle de posséder entièrement Sloàan. Me mouvoir contre elle, sentir sa peau frotter et buter contre la mienne. Sous peu la délivrance serait divine. Il me fallait faire preuve d'une patience que je ne connaissais pourtant pas. Délicieuse torture se transformant en une frustration difficilement supportable.
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Sujet: Re: Give me your breath, give me your skin -hot- Sam 12 Mai - 22:31
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La détente la plus totale, rien ne pouvait perturber la jeune coach. L’eau chaude glissait sur ses courbes endolories. Positionnant ses mains derrière son cou, elle soufflait doucement. Alors qu’elle posait l’une de ses mains contre le mur froid, elle ne pouvait que sentir ce corps qui venait de se glisser derrière elle. Un fin sourire à ses paroles alors qu’elle imaginait déjà le corps du jeune homme. Des muscles saillants tranchant avec sa douceur inégalée, des gestes puissants et précis à la fois. Fermant légèrement les yeux sous la pression de ses lèvres sur sa peau, un frisson parcourait son corps, partant du baiser pour se frayer un passage le long de son échine. La chaleur de la pièce montait et elle n’avait aucun mal à constater que son envie s’envolait également. Sentant ses mains sur elle, elle s’était retournée pour lui faire face, augmentant par la même occasion la chaleur de l’eau, même si d’ici quelques instants ça serait plutôt de l’eau froide dont ils auraient besoin. Un léger pincement de lèvres, un sourire puis une réponse. « Tu te fais poète maintenant ? » Moqueuse ? Un peu. Elle s’amusait à le provoquer, sachant parfaitement ce qu’elle pourrait en retirer. Reculant sous l’action d’Ethan, elle se laissait faire, profitant de ses baisers au creux de son cou et s’engageant dans un baiser fougueux par la suite. La chaleur de ce baiser contrastant avec la paroi gelée du mur lui octroyait mille et un frissons, le traduisant par un frôlement de ses ongles sur la peau du jeune homme. Préjudice corporel, délice puni. Dieu avait puni l’homme de ses pêchés, celui de se séparer en deux corps différents, homme et femme. Qu’il assiste donc à cette scène où certes ils pratiquaient un pêché charnel mais ils allaient s’unir après tout, c’est toujours ce qu’on leur a rapproché non ?
Un frémissement, du désir à perte de vue. Un regard empli de plaisir venait de se poser sur Ethan qui semblait apprécier de la faire attendre. Sentir ses baisers et ses mains descendre au même rythme que lui ne faisait qu’aviver une flamme déjà bien haute. Premier gémissement arraché de ses entrailles, entrecoupé par un soupire et une main qui se glisse dans ses cheveux. Du plaisir elle en voulait et elle savait qu’avec Ethan elle n’en manquerait pas. Passant sa jambe au-dessus de son épaule, elle ne cherchait pas à l’empêcher, bien au contraire, elle l’encourageait à continuer sa douce torture aux allures de paradis. Se pinçant doucement la lèvre, la chaleur continuait de monter alors qu’elle semblait avoir du mal à retenir son plaisir. Les gémissements tendres et bas s’enchainaient sans aucun mal. Se grandissant légèrement, l’un d’eux s’avérait plus puissant, plus marqué. Point faible trouvé sans aucun mal comme d’habitude. Mais elle ne voulait pas être seule à prendre du plaisir et atteindre la petite mort. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle l’obligeait à quitter son nid, descendant d’un étage à son tour. Les joues légèrement rosées par le plaisir et l’effort de se retenir, elle retrouvait ses lèvres dans un somptueux baiser. Titillant sa langue avec la sienne, lui mordillant la lèvre de temps en temps, ses mains glissèrent sur son torse pour l’obliger à se coucher sur le sol hors de portée du jet qui s’était de toute façon arrêté tout seul.
Restant redressée, son regard se portait sur ce corps qu’elle voulait sien, qu’elle voulait sentir contre elle coûte que coûte. Tant pis si quelqu’un entre, tant pis s’ils se font prendre. C’est la règle du jeu et ça en valait largement la peine. Elle le confirmait d’ailleurs en passant à califourchon par-dessus ce dernier. Se penchant sur lui, ses dents vinrent attraper délicatement la peau de son cou avant d’y faire jouer sa langue taquine. Si elle avait envie de lui ? Si elle avait envie de nouveau s’unir à lui ? Evidemment. Aucune femme normalement constituée et qui est hétéro ne résiste pas à ce genre d’invitation à la chair. Mais cette fois, elle n’allait pas se laisser faire aussi facilement, de son côté aussi elle avait envie de jouer. « Il me semble que pour le meilleur des élèves de la brigade, la torture doit continuer. » Un sourire malicieux au coin des lèvres qui ponctuait ses paroles. Jouer, faire monter le désir et le plaisir, le pousser à bout jusque dans ses retranchements. Quelques objectifs fixés alors qu’elle effectuait à son tour une vertigineuse descente. Prenant soin de lui lancer quelques regards de temps en temps, elle ne laissait pas vierge la moindre parcelle de peau qu’elle croisait, les recouvrant de chauds baisers et de caresses sensuelles. Mordillant son bas ventre elle prit soin de détourner la partie la plus sensible du monde chez un homme pour le faire patienter, qu’il hurle qu’elle arrête de le faire attendre et qu’elle s’y mette. Le jeu du chat et de la souris était lancé alors qu’elle se décidait enfin à lui prodiguer des soins de son cru. Douce, délicate, tendre, elle se voulait joueuse en se faisant lente. Le plaisir de le voir craquer et de prendre du plaisir sans se presser. Ils ont tout leur temps de toute manière, même si la pression de se faire surprendre est bien là, elle ne rendait que les choses plus excitantes encore. Jeu de mains, jeu de vilains à ce qu’on dit. Et c’est fou comme Sloàan pouvait être vilaine, invitant sa langue dans le match à disputer. Un regard, de nouveau, le faire craquer jusqu’à ce qu’il l’a supplie de remonter : un nouvel objectif bien alléchant qu’elle s’empressait de mettre en œuvre.
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Sujet: Re: Give me your breath, give me your skin -hot- Ven 8 Juin - 1:56
Give me your breath, give me your skin
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Le temps s'écoulait à la fois vite et lentement, paradoxe étrange pour un moment des plus agréables, des plus délicieux. Sa compagnie m'était plus que parfaite, satisfaisante à bien des égards, j'étais presque paisible, j'oubliais même le contexte, la situation. Ce rapport de force, ces deux corps se frottant, se toisant ensemble. Elle était bonne. Vulgaire jugement d'une nana aux courbes dévastatrices. J'étais ainsi fait, dans mon comportement, loin d'être un ange, j'aimais mon image au fond. Elle était mienne de toute façon, me targuant d'avoir un gout véritable et certain dans le choix de mes partenaires. Sa peau trempée et pourtant si brûlante, appel à la luxure. Je n'y résistais pas, il m'était impossible d'y résister, elle m'appelait, me hurlait de rappliquer lui offrir mille supplices, mille vices. Je laissais les démons l'emporter, la déraison avoir raison de moi. Trop tentante, ma tête finalement entre ses cuisses suffisait à confirmer ce qui était en train de se passer en ce moment même dans cette douche brûlante, dans ce vestiaire. Elle et moi, tout un symbole, n'ayant même pas pris le temps de répondre à sa pique acide. Je lui faisais comprendre par la torture de ma langue sur cette partie de son anatomie la réponse acerbe que je lui amenais. Vicieux je savais faire usage des pires tourments pour la rendre folle. Une chaleur intense en elle, je pouvais le sentir, jouer avec, rendre le tout plus intense en jouant sur ce bouton aux pouvoirs incroyables. Allez simple pour le septième ciel, ses gémissements fendaient l'air, mon égo lui se dorait toujours plus, la coach était mienne, je la travaillais, torturais et l'essoufflais. Lui faire payer les sévices endurés depuis des jours par d'autres bien plus plaisants certes. Elle semblait aimer la tournure des choses, l'adorer même, son corps trahissait si elle le cachait, mais elle assumait parfaitement à mesure que mon jeu de langue se faisait plus vicieux, n'y tenant plus elle me forçait à remonter non pas sans grogner sur le chemin, de mordre sa peau passant si proche, de l'embrasser.
J'étais forcé de tomber au sol, elle avait de la force dans les bras et son baiser m'ayant coupé le souffle je ne résistais pas bien longtemps. Le carrelage de la douche complètement gelé me faisait dans un premier temps frissonner et regretter la chaleur de l'eau qui semblait s'être fait la malle. Grognant un instant je voulais la plaquer contre ce même carrelage, sans attendre, mais la lionne avait faim, faim de moi et je n'y pouvais rien et finalement est-ce que je cherchais à l'en dissuader ? Pas le moins du monde, je la laissais s'installer à ses aises sur moi. Une nouvelle pique, une nouvelle phrase tranchante cependant refroidissait mes ardeurs. Elle était décidée à jouer, à me torturer comme elle le disait si bien et je sentais, je comprenais que cette fois les sévices qu'elle allait me faire endurer serait insupportable, pire que ça, mais si délicieux, si bons. Je voyais tout ça arriver à mesure qu'elle descendait, qu'elle jouait sur mon corps. Mon esprit hurlait, pestait, plus bas bordel, plus bas. Mais elle m'avait, me tenait au propre comme au figuré. Je tenais bon, je résistais alors qu'elle se jouait de moi. Je n'avais qu'une envie, la tuer, l'étrangler pour me rendre fou à ce point et elle le voyait dans mon regard. Elle savait que je le voulais et ce râle d'un plaisir salvateur dès lors qu'elle cessait de me torturer était un signe de détente. Délicieuse attraction, jeu habile de ses mains loin d'être amatrices. Jeu affreusement pervers de cette langue agile. Ouais elle me rendait fou et je ne pouvais rien y faire, elle me tenait finalement, elle jouait avec moi comme la petite fille avec sa poupée. Atroce sensation d'être à la merci totale d'une personne, de la voir se jouer de sa propre personne, elle voulait me faire craquer et sans aucune surprise elle y arrivait sans problème.
Car dans un mouvement plus que brutal, plus qu'impatient, l'ayant saisi par les bras je la faisais remonter à ma hauteur. Certes je me frustrais de ne plus sentir ses lèvres et tous autres organes m'ayant procurés un plaisir intense, mais l'étape supérieure m'appelait. Je ne pouvais résister à cette envie de chaire, de luxure. Il me la fallait, il fallait m'unir à elle, ne faire plus qu'un avec cette succube. Diablesse aux mille tortures me faisant céder sans problème aucun à la tentation de ses courbes et de ses cuisses. N'y pouvant plus et retournant la situation, le lion, le tigre affamé que j'étais, allait tout simplement la bouffer, la dévorer ne laissant aucune miette sur son passage. L'heure n'était plus aux négociations, habiles de nos langues nous avions exposé nos arguments et maintenant j'allai abuser de la force pour gagner la guerre. Lui plaquant les poignets contre le sol, fermement au-dessus de sa tête, l'empêchant de se débattre, de se mouvoir de trop « Il est temps que la coach apprenne de nouveaux exercices. » Elle ne bougeait pas, presque patiente, elle le voulait autant que moi, tous les deux bouillants et impatients, n'y tenant plus. L'écart de ses cuisses plus que suffisant je laissais l'instinct animal de ma conscience faire le reste en allant prendre possession de ce corps. Je ne pouvais retenir ce soupire de plaisir qui s'échappait de mes entrailles. La tension était à son comble et je n'étais pas mécontent de mener la danse, m'attendant à voir la tigresse se débattre sous peu à mesure que mes assauts prendraient en intensité. Ils se faisaient d'ailleurs déjà plus insistants. La vitesse allait bon train, ralentissait pour mieux accélérer, contrôlant les moindres détails je me jouais un peu plus d'elle, logeant mes pupilles d'un bleu profond dans son regard, y lisant un plaisir certain, me pavanant au-dessus d'elle d'un sourire arrogant j'enchaînais les mouvements, les assauts emplis de désir à son égard, nichant mes lèvres contre les siennes, cherchant sa langue, laissant ce tango dangereux m'emporter je ne sais où en sa compagnie. Visitant d'autres contrées tel que le cou de la demoiselle, mordillant, embrassant. Sa peau douce et sensible, ses sens en éveille et les miens tout aussi en alerte m'amenant vers un précipice de folie certain. Elle aurait raison de moi.
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Sujet: Re: Give me your breath, give me your skin -hot-