This is the last time you tell me I've got it wrong. This is the last time I say "It's been you all along". This is the last time I let you in my door. This is the last time I won't hurt you anymore.
DATE D'ARRIVEE : 07/04/2012 POSTS : 3001 DC : NENA OTILIA, L'INSOLENTE CRÉDITS : OH DAMN IT, IT'S HALLELUJAH AVATAR : L'INSPIRATIONREPUTATION : 24 QUARTIER : FONTAINEBLEAU TERRACE ETUDE : SENIO YEAR AGE : DIX-HUIS ANS CONSO :
Tout le monde ne parlait que de ça, le bal du Homecoming. Tu trouvais ça tellement désespérant que tu ne voulais pas y aller, mais la capitaine des Cheerleaders ne pas y aller, ne serait-ce pas un peu trop mal pris de la part de tes coéquipières ? Sûrement. Alors, vaut mieux pour toi d'y aller si tu ne veux pas attirer leurs foudres. Au moins bon point pour toi pas de thème mais t'aurais bien aimé ne pas avoir à te coltiner un cavalier, car en plus il fallait que ça soit lui ! Qui aurait pu deviner que vous iriez ensemble à la soirée ? Pas toi, ni même lui. Il a juste fallu que tu sois maudite et que tu te trouves sur son chemin au mauvais moment. Pas ta faute quand même s'il n'est pas capable de dire non à une fille. C'est donc grognon, que tu ouvres les yeux pour voir les premiers rayons du soleil. Aujourd'hui t'avais comme pas le droit à l'erreur, tu devais être jolie surtout pour ton père en fait dont t'as réellement l'impression qu'il va se mettre à pleurer, ce qui est mignon en soit, car il essaye en même temps de te faire oublier que ta mère ne sera pas là pour ton premier bal. Tu soupires, il est temps pour toi de te lever et d'assister à cette dernière journée de cours si courte soit-elle car tu devais participer au défilé en compagnie des équipes sportives du lycée et ensuite supporter l'équipe de Basket pour l'ouverture de la nouvelle saison. Miracle, tu avais pu supporter tout ça aisément puis tu ne vas pas te mentir t'adores être une cheerleader, une vraie c'est juste que tu n'aimes pas les préjugés qui s'en suivent. Mais sous ton règne tu comptes bien en profiter pour changer cette image de la cheer qui a un corps à la place d'un cerveau, heureusement pour toi que tu sois la meilleure élève de ta promo était une chose connue de tous.
Le match d'ouverture venait de se terminer, tu agitais tes pompoms toutes joyeuses, car la saison commençait bien. Les joueurs avaient été parfait jusqu'au bout et bien entendu ils ont apporté la victoire à l'équipe des Pirates. T'es resté un moment au gymnase puis face à la préparation du bal tu devais retirer ta tenue de cheerleader. Dans les vestiaires vous vous êtes croisés brièvement, il t'a sorti son fameux petit clin d’œil et toi tu roules légèrement des yeux. Un coup d’œil à l'heure, tu vois qu'il te reste du temps pour te préparer alors tu enfiles rapidement un short et rejoins ta voiture pour aller au parc courir une petite demi-heure puis c'est pas comme si tu étais excité à l'idée d'y aller. Trente minutes suffirent amplement pour tout évacuer, te défouler comme il le fallait, oublier tes tracas et surtout pour te sentir toute fraîche, car oui s'en était épuisant mais c'est fou ce que le sport avait le don de te faire sentir toute revigorante. Sourire aux lèvres tu rentrais tranquillement chez toi, tu savais que vous alliez être en retard pour le bal, mais faut avouer qu'être là parmi les premiers c'était juste stupide.
Devant chez toi, tu gares soigneusement ta voiture pour filer tel un éclair dans ta maison. Au passage tu croises ton père, lui fait une bise rapide et monte dans ta chambre enlevant déjà le peu de tissus que tu avais sur toi pour filer dans la douche directement. Près d'une heure à prendre soin de toi, munis de ta serviette tu retournes dans ta chambre afin de choisir la robe que tu allais porter ce soir. Surprise, pendant que tu prenais ta douche, ton père s'était faufilé pour y installer soigneusement une robe. Tes yeux brillent, les larmes se tiennent prête à sortir à la vue de cette robe, car ce n'était pas n'importe laquelle. Ce tissu portait l'histoire qui unissait ta mère et ton père et qu'il te la lègue ainsi apportait son petit lot d'émotion. Une demi-heure suffit pour que tu arranges ta coiffure et ton maquillage et surtout pour entendre la sonnerie d'entrer faire un gong pour signifier que ton cavalier était là. Rapidement, tu retires la robe noire incrusté de quelques effets or de son cintre et l'enfile. Devant le miroir, tu te regardes plutôt satisfaite de ton allure. Entendant ton père crier avec impatience, tu sors de ta chambre pour le retrouver en compagnie de ton cavalier. Grand silence. Dans le fond tu riais sûrement, car ton père avait dû lui faire la morale. Honteuse face à ses regards, tu baissais les yeux et remarqua ton père avec un appareil photo. Hochant la tête et avec un sourire, tu tentes de le lui enlever des mains. « Papa ! C'est qu'un bal pas besoin de photo. » Un petit raclement de gorge te rappelle que vous n'êtes pas seul, tu te retournes et lui adresse un petit sourire. « Alors, à ce qu'il paraît c'est avec toi que je vais passer la soirée ? J'espère que tu sais danser au moins. »
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Match d'ouverture de saison des pirates. Tout se passe à merveille, le match est une réussite, vous gagnez aisément. Enfin vous .. Eux, plutôt. Toi, tu es déjà suspendu pour t'être battu. Heureusement ce n'était que pour un seul match, m'enfin c'était le premier quand même, le match d'ouverture. Ben tant pis. Et puis comme si ça ne suffisait pas, tu es obligé de rester là, sur le banc à attendre comme un con, sachant pertinemment que le coach ne te fera même pas rentrer. Ça va que tu peux encore mater les cheers remuer pompoms et fesses sous ton nez, c'est déjà ça. Puis le match se termine et tu rentres chez toi. T'as quelques trucs à finir de préparer pour la soirée. Le bal du Homecoming.L'occasion, en temps normal, de se trouver une belle cavalière et de la sauter dans la limousine. Mais changement de programme cette année. Non seulement tu n'as pas envie de te la jouer comme ça, et en plus tu ne peux pas. Y en a bien une que tu aurais aimé inviter, mais elle est maquée. Et même si tu l'avais fait, t'aurais peut-être même pas tenté de la sauter dans la limo. Non. Puis, ta cavalière de cette année .. Tu ne t'attendais vraiment pas à ce que ça tombe sur elle. Elle ne devait pas s'y attendre non plus. Cette histoire est un mauvais (ou bon ?) enchaînement de situations. Quand l'autre jour une fille que tu ne connaissais pas est venue t'aborder pour te demander si tu voulais bien l'accompagner au bal, tu voulais dire non parce qu'elle ne te plaisait pas, mais tu n'as pas su le faire. Tu n'as étrangement pas réussi à te comporter comme le connard que tu es depuis tant d'années. Tout ce que tu as trouvé à faire, c'est dire à cette pauvre fille, « non, désolé, j'y vais déjà avec quelqu'un. ». Énorme mensonge. Qui s'est amplifié quand elle t'a demandé avec qui tu y allais. Le soucis, qui choisir ? La première qui passait par là bien évidemment, et qui s'est trouvé être Sea. Sea qui, quelques explications plus tard, n'a pas du tout refusé. D'autant plus "étrange". Mais du coup tu te retrouves à devoir tout bien préparer parce que dans le fond tu ne veux pas trop la décevoir.
Costard noir enfilé, nœud de cravate de la même couleur fait, chaussures noires également aux pieds, tu quittes enfin ta maison. Arrivé devant la maison de ta cavalière, tu descends de la limousine. La tradition aurait voulu que tu lui aies acheté un beau corsage assorti à une boutonnière que tu porterais, mais pour toi il était hors de question d'en faire trop, tant pis si elle le prend mal. Tu sonnes à la porte d'entrée et son père vient t'ouvrir. Il a les larmes aux yeux, tu te demandes un instant si tu es arrivé au bon moment. Mais vu l'appareil photo qu'il tient en main, ça a l'air d'être bon. Il te fait rentrer et tu attends finalement debout aux pieds de l'escalier. Il commence alors à te faire un espèce de sermon, te disant de faire attention à sa fille, de ne pas lui faire de mal, de ne pas la faire boire, de ne pas la forcer à faire quoi que ce soit, et j'en passe, finissant par le fait qu'il finirait par tout savoir. Ça te fait sourire au fond, mais tu acquiesces, respectueux. « Ne vous en faites pas, je traiterai votre fille comme une princesse Mr Burn. » Ta façon de parler te donne envie de rire, tu te sens ridicule. Puis elle fait enfin apparition dans sa robe, éblouissante. Tu restes sans voix. Elle est très belle. Un sourire fin apparaît au coin de lèvres. Elle passe devant sans te calculer et tente en vain d'arracher l'appareil photo des mains de son père. « Papa ! C'est qu'un bal pas besoin de photo. » Tu es du même avis qu'elle, mais s'il faut se prêter au jeu, pourquoi pas. Tu te racles la gorge, te sentant un peu seul. Elle se retourne enfin vers toi et te souris. « Alors, à ce qu'il paraît c'est avec toi que je vais passer la soirée ? J'espère que tu sais danser au moins. » « Comme un dieu, sans me vanter. » Tu te postes à ses côtés et passes ta main autour de ses hanches afin que son père vous prenne rapidement en photo. Un sourire et c'est dans la boîte. Cette soirée promet d'être digne d'un film pour adolescentes pré-pubères, félicitations.
Le trajet jusqu'au gymnase se fait plutôt silencieux mais pas de ces silences gênants (quoi qu'à force ça commençait à le devenir un peu), mais plutôt de ces silences qu'on apprécie dans le fond. Tu n'as rien trouvé à dire pour engager une quelconque conversation, ton cerveau était trop absorbé par tes pensées. Dans le fond tu te demandes quelles vont être les réactions de tes amis et des siens. Bien sûr, les gars de l'équipe vont te féliciter parce qu'ils penseront sans doute que tu vas pécho la capitaine des cheers, ce qui en soi est un "exploit", mais tu es vraiment loin de t'imaginer quelle pourrait être la véritable réaction des gens que tu connais, très, très loin. Tu descends de la limo et va, en charmant et galant jeune homme, lui ouvrir la portière. Même si le chauffeur aurait pu le faire, tu préfères quand même le faire toi-même. Accrochée à ton bras, vous entrez silencieux dans le gymnase dont le décor a été complètement changé en quelques heures seulement. Du beau boulot il faut bien l'avouer. Vous n'arrivez pas en avance, et ce n'est pas plus mal, mais pour le coup tout le monde vous remarque, vous pouvez en être bien sûrs. Vient le moment de la photo. Comme si celle du père de Sea n'avait pas suffit, il faut en plus que vous passiez devant le photographe du lycée qui immortalisera ce moment. Comme ça au moins, tout le monde sera au courant que vous étiez venus ensemble. Une petite photo et un sourire plus tard, vous vous engagez vraiment dans le gymnase cette fois. « Tu veux boire quelque chose ? » Tu te fais poli. C'est bizarre cette situation pour toi, être poli, galant pour un bal, ça te semble vraiment étrange. Pas trop le choix en même temps. Puis, tu peux bien faire ça pour elle.
MOI JE FAIS LA FÊTE AVEC Sea Burn
ADMINISTRATRICE ☮ CHEER CAPTAIN
- MERRYMAKER..
LET IT GO
lost, lost, the precious is loooost
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DATE D'ARRIVEE : 07/04/2012 POSTS : 3001 DC : NENA OTILIA, L'INSOLENTE CRÉDITS : OH DAMN IT, IT'S HALLELUJAH AVATAR : L'INSPIRATIONREPUTATION : 24 QUARTIER : FONTAINEBLEAU TERRACE ETUDE : SENIO YEAR AGE : DIX-HUIS ANS CONSO :
L'espace d'un instant, tu n'as pas fait attention à ton cavalier. Plus occupé à t'éviter la honte que ton père te procure à ce moment-là. Par un raclement de gorge, Jordan te rappelle que lui aussi est dans la pièce, ce que tu lui concèdes. Pour la première fois peut-être depuis que vous vous étiez rencontré, tu lui accordes un large sourire avec une pointe d'ironie dans tes mots. Sans grand étonnement, tu as le droit à une réponse digne de son nom. « Comme un dieu, sans me vanter. » Puis comme s'il avait lu dans les pensées de ton père, il te prend par les hanches afin que vous tapiez la pose devant l'objectif de l'appareil. Du coin de l’œil, tu jettes un petit regard sur Jordan. Costume, cravate, il avait sorti le grand jeu et tu le trouves complètement plaisant à regarder. Sous les yeux remplient d'étoile de tonpère, c'est au bras de Jordan qu'il te laisse quitter le domicile. Devant toi, une limousine. T'en étais vraiment abasourdis, tu n'aurais jamais pensé qu'il puisse prendre ça au sérieux surtout vu la manière dont vous vous êtes retrouvé à être ensemble pour la soirée. Dans la limousine, le trajet se passe en silence. Aucun de vous ne sait quoi dire, en même temps pas étonnant vu votre « passé » ensemble. A l'intérieur tu te tiens quand même un peu à l'écart de Jordan, faisant passé le temps tu ouvres légèrement la vitre afin de regarder la route défiler. Peu de minutes plus tard, vous arrivez enfin à destination. Jordan sort de la limousine en premier, tu t'apprêtes également à ouvrir la portière du côté passager quand tu la vois déjà en train de s'ouvrir, Jordan derrière. Il te tend la main afin de t'aider à sortir avec la traîne de ta robe. Du regard, tu le remercies et passe ton bras sous son bras. Tu souffles un instant, car il est clair que pour passer inaperçu vous alliez devoir repasser vu l'heure plutôt tardive à laquelle vous débarquez. Bras dessus, bras dessous, c'est ensemble que vous entrez dans le gymnase, plus méconnaissable que jamais. Le décor était splendide, les organisateurs avaient fait-là du bon boulot au moins maintenant tu comprenais vraiment que l’heure était à la fête et non à l’entraînement. Un sourire d’émerveillement et quelques pas, un photographe vous arrêtes afin de prendre une photo pour l’annuaire. Un petit peu gêné, tu es obligé d’accepter. Dans ses bras, un sourire, cette photo te rappellerait que le bal du homecoming tu l’avais passé en sa compagnie. Une fois prise, vous continuez votre chemin découvrant le reste de la salle, la musique battant son plein sous une foule de jeune en train de se déchaîner. « Tu veux boire quelque chose ? » D’un petit hochement de tête, tu lui fais comprendre que tu veux bien. Te tenant à l'écart de toutes ces personnes dansant autour de toi, tu attends ton cavalier. Tu as hâte de le revoir en compagnie des boissons, car tout ce monde, cette chaleur te donnaient un peu le tournis. De ta place, tu regardes les gens défiler de sous tes yeux, tous aussi pitoyable de croire que cette soirée était la plus importante de leurs vies. Parfois t'as vraiment l'impression de ne pas être à ta place, d'être du genre anormal. Jordan te sort de tes pensées, te tendant un petit verre de ponch. Autour de vous, tu entends déjà les messes basses, les chuchotements et tous les yeux rivés sur vous comme si vous étiez des bêtes de foires. Un petit sourire en coin, tu regardes Jordan. « Regarde-moi toutes ces personnes qui n'ont rien d'autre à faire de leur soirée que de nous observer, pitoyable j'ai envie de dire. » Puis d'un rire amusé, tu approches tes lèvres de son oreille pour lui murmurer. « Ca te dis pas de t'amuser un peu ? D'alimenter de potin leur petite vie misérable ? » Un petit sourire malicieux, tu le prends par la main. « Danser ? D'après ce que j'ai entendu tu danses comme un dieu. » Un petit rire, tu t'engages en compagnie sur la piste de danse vous frayant un passage dans toute cette foule, subissant les regards des uns et des autres. Ok, tu n'aurais jamais pensé être au bal en la compagnie de Jordan Hopper, mais plutôt que de te lamenter autant en profiter et t'amuser, ça te changerait un peu de tous ses mélodrames à la Burn.
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Le trajet dans la limousine te permet de réfléchir calmement sans risquer d'être perturbé par quoi que ce soit puisque Sea se tient loin de toi. Dans le fond, tu te demandes ce qui t'as pris d'y aller avec elle. Certes, tu n'as pas eu d'autre choix que de la choisir elle pour le mensonge, mais rien ne t'obligeait à tenir ce mensonge. Tu aurais très bien pu, quand Sea était venue te voir après tes paroles, décliner « l'invitation » et choisir d'y aller avec quelqu'un d'autre. Mais étrangement non, tu as pensé bon sur l'instant de l'inviter. La capitaine des cheerleaders comme cavalière, tout de même, ce n'est pas commun. Disons que pour le capitaine des basketteurs, ça aurait paru banal, mais pour un "simple" membre de l'équipe de basket, ce n'est pas courant. Surtout quand le-dit membre n'a pas participé au match d'ouverture pour cause de suspension .. Mais la question malgré tout qui te tracasse le plus, bien que tu ne vas certainement pas t'en plaindre, est : pourquoi a-t-elle accepté ? Elle qui était si distante, et même presque froide, avec toi depuis ce qu'il s'était passé dans les vestiaires. Situation vraiment peu commune.
Tu entres dans la salle de "réception", cavalière au bras et passes par le traditionnel photographe de bal avant de proposer à boire à Sea. L'abandonnant quelques instants afin d'aller vous servir à boire, tu tentes parmi tout le monde présent d'apercevoir un des gars histoire d'aller les saluer et surtout voir avec qui ils s'étaient ramenés, -ce n'est pas parce que tu es un mec que tu n'es pas curieux-, mais personne en vue. Ils étaient sûrement là, mais tu ne les voyais pas. Tu ne voyais que des couples plus que ravis d'être ici comme si c'était le soir de leur vie, souvent les filles surexcitées et toutes enjouées, et les garçons n'attendant qu'une chose : la fin de la soirée pour les troncher. Dans le fond, vous les mecs, vous êtes tous les mêmes. Tu rejoins enfin ta cavalière et remarque tout comme elle tous les visages se retourner vers vous et tu entends les gens murmurer. Pas de doute, c'est de vous qu'ils parlent. Il faut dire que vous êtes vraisemblablement le « couple » le plus inattendu. « Regarde-moi toutes ces personnes qui n'ont rien d'autre à faire de leur soirée que de nous observer, pitoyable j'ai envie de dire. » Tu ris, elle a l'air d'avoir lu dans tes pensées. « Laisse-leur ce plaisir, c'est tout ce qu'ils ont dans leur vie. » Elle s'approche alors dangereusement de toi, tu te demandes ce qu'elle va faire, t'attendant au pire. « Ça te dis pas de t'amuser un peu ? D'alimenter de potin leur petite vie misérable ? » Tu souris. Sa proposition te semble garce, tu ne la pensais pas comme ça. « Continue, tu m'intéresses. » Tu chuchotes. Vous êtes capables de messes basses vous aussi.
Elle te prend par la main, ce qui t'étonne, et t'entraine directement au plein milieu de la foule après t'avoir lancé un : « Danser ? D'après ce que j'ai entendu tu danses comme un dieu. », toute ravie. Au moins, elle a réussi à tirer profit du fait d'être ici avec toi, c'est déjà ça. Et, rien que pour le plaisir de faire parler les gens et principalement de danser avec la belle mademoiselle Burn, tu acceptes la danse. Marrant, normalement c'est le garçon qui demande sa première danse à la fille, et non l'inverse. Mais de toute façon, vu comme vous êtes partis, vous êtes loin de passer une soirée dans la tradition. Tu commences à la faire tourner deux ou trois fois lentement sur elle-même et observes sa robe virevolter. Ébloui tu te remémores l'after party à la plage durant lequel elle s'est évanouie après que tu l'aies faite tourner de la même façon, alors tu arrêtes immédiatement ça, même si vous n'étiez pas dans les mêmes « conditions ». Et immédiatement la musique entrainante s'arrête pour laisser place à un slow. Forcément, il fallait que ça vous arrive à vous. Tu vérifies que le dj ne se soit pas fait "voler sa place" par un de tes potes voulant te faire une farce, ce qui serait fort probable. Mais non, même pas. Vous avez juste la poisse. Ou au contraire de la moule ? Tout dépend le point de vue. Quoi qu'il en soit, tu poses tes mains sur ses hanches, prêt à lui montrer tes talents de danseur, et lui offres un sourire éblouissant, l'invitant à passer ses mains autour de ton cou.
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DATE D'ARRIVEE : 07/04/2012 POSTS : 3001 DC : NENA OTILIA, L'INSOLENTE CRÉDITS : OH DAMN IT, IT'S HALLELUJAH AVATAR : L'INSPIRATIONREPUTATION : 24 QUARTIER : FONTAINEBLEAU TERRACE ETUDE : SENIO YEAR AGE : DIX-HUIS ANS CONSO :
Des regards posés sur vous, des lèvres bougeant pour en sortir des petites phrases à votre encontre. Vraisemblablement vous êtes le couple phare de la soirée ou pas. Mais une chose à ne pas nier c'est qu'on parle de vous. Ça t'exaspère tellement que quand tu vois ton cavalier approcher avec les verres à mains que tu ne peux t'empêcher de faire une remarque à propos de ces personnes qui te laissent entendre un petit rire de sa bouche. La première fois depuis que vous vous connaissiez n'empêche. « Laisse-leur ce plaisir, c'est tout ce qu'ils ont dans leur vie. » D'un petit sourire, tu t'approches légèrement de lui, de quoi alimenter encore les dire des participants de la soirée avant de lui proposer de t'amuser. Oui bizarrement tu ressentais le besoin de jouer un peu à la garce, ce qui était loin de te ressembler. Tu lui arraches un petit sourire à l'entente de ta réflexion, tu rougis un peu, car même si tu es à l'aise pour ce soir ça ne t'empêche pas de te sentir intimider en sa présence. « Continue, tu m'intéresses. » Murmure-t-il à ton oreille laissant un frisson te parcourir avant que la chanson de Gustavo Lima 'Balada Boa' n'attire ton attention. De ta main, tu l'attires sur la piste de danse voulant profiter de la musique tout en trouvant un moyen d'alimenter toutes ses messes basses du moins la première étape. Pour ton plus grand bonheur, il ne refuse pas et au contraire compte bien te faire profiter de la soirée. Tu ris, car Jordan te fait tourner sur toi-même pour s'amuser, mais toi ça te rappelle la soirée à la plage qui s'était plutôt mal terminer pour toi à croire que vous êtes connectés, il s'arrête soudainement dans ses mouvements. Instant choisi pour faire la place à une musique plus douce, plus lente, le slow. Sur le moment, quand tu avais attiré Jordan pour danser, tu n'avais pas pensé un instant qu'il y aurait un slow pourtant les mains de Jordan se glissant sur ton corps pour s'arrêter sur tes hanches te font comprendre que tu ne peux y échapper. Autour de toi se trouvant de nombreux couples bras l'un dans l'autre, tournoyant au rythme de la musique. Prenant exemple sur eux, tu places tes bras autour du cou de Jordan qui te lance un petit sourire que tu lui rends. Vos corps se touchent, vos corps se frôlent faisant place à cette tension dont vous avez l'habitude maintenant. Tension qui pour ta part, tu avais su mettre de coter, du moins jusqu'à maintenant. Te laissant entraîner par ce tempo tout doux, ton visage effleure la joue de Jordan. Évitant de croiser son regard, tu remarques qu'une fille de ton équipe proche du dj de la soirée te fait un sourire en compagnie d'un signe de la main, tu comprends que ce slow n'est autre que son idée. N'y prêtant aucune attention, tes bras l'enlaçant, tu croises son regard. Il retire une main de tes reins pour la prendre avec douceur t'entraînant dans ces pas. L'espace d'un instant, tu oublies tout ce qu'il se passe autour de toi, il n'y a que vous deux dansant sur un air de Gary Jules. De votre proximité, tu entends les battements de son cœur, tu sens son souffle contre ta peau, vos regards s'entretenant. Et tu ne sais plus te détacher de son regard te perçant à nu. Ta tête ne régissant plus ton corps, tu t'approches de Jordan effaçant l'espace qui vous séparait. En possession de ses lèvres, tu fais durer l'instant avant d'éloigner ta bouche et de lui lancer dans un murmure. « Voilà comment alimenter les potins. » Une part de vérité se cache dans tes mots, mais au fond tu sais très bien que ce baiser, tu l'avais désiré. Coupant court à cette danse, tu retires tes mains te dirigeant vers la sortie attrapant un verre au passage, Jordan t'emboîtant le pas. Dehors, l'air frais t'enveloppe et tu respires. A tes côtés, Jordan allume un clope que tu lui retires de la bouche pour la porter à tes lèvres. Inspirant la fumée, tu te colles contre le mur puis prends la parole. « Désolé pour tout à l'heure, je n'aurais peut-être pas dû. » Tu t'arrêtes un instant, tirant de nouveau sur la cigarette que Jordan te reprend des mains. Tu souris. « Mais j'en avais envie, j'sais pas pourquoi. Bref, on n'est pas venue pour être un couple alors si tu veux rejoindre tes potes histoires de t'amuser, tu peux. J'vais survivre sans toi. »
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Au beau milieu de la piste de danse, tout se passe pour le mieux. Vous êtes le parfait centre de toutes les attentions, tous les yeux rivés vers vous. Certains en seraient ravis, disant qu'on ne peut rêver mieux. C'est vrai que la gloire, la popularité, ça en fait rêver plus d'un, et c'est normal. Mais vous, la popularité, c'est votre quotidien. Et avec ça, vont bien évidemment les potins. Alors ça aurait été bien qu'au moins pour une soirée, vous soyez tranquilles, mais non. Vous avez visiblement, l'un comme l'autre, choisi le(la) mauvais(e) cavalier(e). Qu'importe, toi, tu fais comme si de rien était. Et quand un slow passe alors, c'est d'autant plus facile de faire comme si de rien était. Tu te sens désormais comme si vous n'étiez que tous les deux dans le gymnase. Tu ne fais plus attention aux regards rivés sur toi, ces regard de jalousie, car il faut bien le dire. Si on vous regarde, si on parle de vous, c'est juste par jalousie. Parce que tous ces mecs auraient adoré danser un slow avec la capitaine des cheer. Parce que toutes ces filles n'attendaient qu'une chose : que tu les invite au bal. Alors ça papote. Mais tu n'entends même plus ces murmures autour de vous. Le silence absolu. Que Sea, toi, et Gary Jules, chantant Mad World. Le parfait slow dont tout le monde rêverait. Oui, une chose est certaine, vous êtes drôlement chanceux, autant l'un que l'autre.
Sea se sépare de toi quelques instants, brisant la magie de la danse et plante son regard dans le tien. Impossible désormais de t'en détacher. Hypnotisé. C'est le mot. Et elle semble bien dans le même état que toi. Deux abrutis, voilà ce que vous êtes maintenant. Les murmures grandissent alors que vous vous arrêtez de danser. Et comme un automatisme, la belle s'approche de toi et s'empare de tes lèvres. Tu ne t'y attendais pas vraiment, tu resserres juste l'étreinte de ta main au creux de ses reins. Les murmures grandissent un peu plus. Tu te rends alors compte que vous n'êtes vraiment pas seuls. Elle semble s'en être rendue compte aussi puisqu'elle se détache doucement de toi. « Voilà comment alimenter les potins. » Tu souris, mi-amusé, mi-gêné. Et elle s'en va. Elle te plante là, au beau milieu de la danse. Alors tu la suis jusque dehors, sans rien dire. Ne pas faire de vagues. Se taire, sortir, et parler dehors, au calme. Une bouffée d'air frais te fait le plus grand bien, c'était étouffant à l'intérieur. Tu t'allumes une cigarette, qu'elle te retire des mains immédiatement pour en profiter à elle seule. « Désolé pour tout à l'heure, je n'aurais peut-être pas dû. » « Non, c'est .. » Elle te sourit et tu ne sais plus finir ta phrase. Tant pis. Tu te contentes de lui sourire en retour. « Mais j'en avais envie, j'sais pas pourquoi. Bref, on n'est pas venue pour être un couple alors si tu veux rejoindre tes potes histoires de t'amuser, tu peux. J'vais survivre sans toi. » Après ses paroles, tu retiens principalement qu'elle en avait envie. Tu t'assois sur le muret face à vous. Elle en avait envie ? Envie de t'embrasser ? Et ça lui est venu comme ça, subitement. Pourquoi pas. On ne peut pas dire que ça t'ai déplu non plus. « Non, j'vais rester avec toi. À moins que tu ne veuilles plus de moi .. Mais je ne compte pas abandonner ma cavalière de si tôt. » Tu lui souris et tire une latte sur ta cigarette que tu viens de récupérer.
Plusieurs minutes se passent dans le silence le plus profond. Vous ne parlez pas, vous vous faites seulement passer la cigarette de l'un à l'autre comme s'il s'agissait du calumet de la paix. Cette histoire de baiser te trotte toujours dans la tête. Même si tu n'as rien ressenti de plus que cette habituelle attirance physique envers elle, ça t'intrigue. Tu n'y peux rien. C'est à dire qu'on ne s'excuse pas souvent auprès de toi après t'avoir embrassé. C'est même certainement la première fois que ça t'arrive. Mais dans le fond, ça ne t'étonne pas, tout est tellement différent avec Sea. « Sea ? » Tu brises le silence. Son regard se tourne vers toi, tu déglutis difficilement. Tu ne sais pas comment tourner ta phrase. Lui demander pourquoi elle en a eu envie ? Pourquoi si subitement ? Non, ça, la réponse est évidente. Elle a croisé ton regard, a craqué, et t'a embrassé. Rien de plus simple. Mais, plus sérieusement, ça te perturbe. Comme quoi, on peut être un mec et être complexe, si, si ! En attendant, elle attend toujours que tu parles .. « Ça te prend souvent d'embrasser les gens avec qui tu danses ? » Une pointe d'ironie, d'humour, tu prends la situation à la cool. Le tour est joué. Tu souris, tire une autre latte et lui tends la cigarette arrivant à terme de sa vie.